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La numérisation du patrimoine littéraire

La numérisation du patrimoine littéraire
En janvier 2010 un Rapport sur la numérisation du patrimoine écrit [1] est rendu au Ministre de la culture et de la communication. Une quarantaine de pages qui dressent un état des lieux des « avancées hétérogènes » du numérique dans le monde des bibliothèques et du livre, qui rappelle la genèse du concept de « bibliothèque numérique ». L'idée d'une numérisation des ouvrages du patrimoine littéraire est née au début des années 70 avec le projet Gutenberg dont l'objectif est de diffuser au plus grand nombre des textes de diverses natures (littérature, textes scientifiques..) relevant du domaine public. Gallica de la BNF ou par des moteurs de recherche comme Google Print devenu plus récemment Google Books. Related:  métamorphoses du livre et de la lecture

ARL metamorphoses numeriques du livre Les 30 novembre et 1er décembre 2009 à Aix-en-Provence, l'Agence régionale du Livre PACA a organisé, sous la direction d'Alain Giffard, un colloque intitulé "Les métamorphoses numériques du livre". Nous vous proposons de visionner ci-dessous des extraits vidéos des interventions réalisées. D'autres rendez-vous professionnels sur ce thème suivront. N'hésitez pas à nous faire part de vos attentes en écrivant à contact@livre-paca.org. La métamorphose numérique du livre est engagée depuis une vingtaine d'années. Cette métamorphose a souvent été présentée selon une logique de substitution au livre imprimé. Pour sa part, l'interrogation sur le devenir numérique du livre ne s'apaise pas. Liste des vidéos Pratiques de lectures à l'ère de l'ubiquité, de la communication et du partage de la connaissance, par Hervé Le Crosnier Livre numérique : quel modèle économique pour un changement de paradigme ? par Françoise Benhamou Devenir du livre et édition scientifique, par Yannick Maignien Read/Write Book.

Un livre sur quatre vendu dans le monde sera numérique en 2017 Voilà qui fait boum : une étude portant sur le marché américain du livre numérique assure qu'en 2017, le chiffre d'affaires sera supérieur sur le format ebook que celui de l'imprimé. Le cabinet d'analyse PwC assure que le premier dépassera le second, dans le cadre de son rapport annuel Entertainment & Media Outlook, diffusé ce mercredi. Les données avancées par la firme reflètent des projections établies depuis l'année 2012, aussi, convient-il de les prendre avec des pincettes. Mais voilà : en 2017, le marché de l'ebook pèsera 8,2 milliards $ en ventes, dépassant les projections faites sur les ventes d'imprimés. Or, le poids du livre dans le commerce américain sera de 16,1 milliards $ - inférieure à ce qu'il était en 2008, du fait de la baisse des ventes, que ne compenseront pas les ventes d'ebooks. Or, c'est bien en termes de chiffre d'affaires, que les ventes ne compenseront pas, parce qu'en volume, on assistera à un plus grand nombre de titres vendus.

Tablettes et liseuses au CDI De nombreuses expérimentations de tablettes ont été menées récemment. Quel bilan peut-on faire ? Concrètement, comment s’équiper de tablettes/liseuses au CDI et lesquelles choisir ? Pour quoi faire ? Quels projets ? Et pour entamer la réflexion, commençons avec deux définitions officielles extraites de Légifrance : Vocabulaire de l'édition et du livreLiseuse [1] : Appareil portable doté d'un écran et destiné au stockage et à la lecture des livres numériques ou des périodiques. Vocabulaire de l'audiovisuel et de l'informatiqueTablette [2] : Ordinateur portable et ultraplat, qui se présente comme un écran tactile et qui permet notamment d'accéder à des contenus multimédias.

Lecture et adolescents, à l’heure du numérique | CRDP de l'académie de Nice Conférence-débat : Lecture et adolescents, à l’heure du numérique Savoir lire ne veut pas dire aimer lire : en quoi l’univers littérature jeunesse permettrait-il alors de raccrocher les adolescents à la littérature, comment le documentaliste pourrait-il être le « passeur » et le CDI ce tiers-lieu favorisant les échanges autour de moments de lecture partagée. A l’heure où l’école marque officiellement son entrée dans l’ère du numérique, les professionnels de la lecture (enseignants, bibliothécaires, éducateurs…) se doivent d’investir le terrain des ados hyperconnectés y compris hors temps scolaire au travers d’espaces virtuels et de réseaux sociaux. Magalie Bossuyt présentera lors de la journée-événement du 4 décembre consacrée à la lecture, une conférence intitulée « Adolescents et lecture à l’heure du numérique ». Cette journée sera l’occasion de faire un point et d’échanger sur la lecture numérique. Qui est Magalie Bossuyt ? Deux interviews Deux articles sur Docs pour docs Deux prezi :

Super compétents mais quasiment illettrés Les diplômes ne reflètent toujours les compétences réelles de leurs titulaires. Après tout, l’habit ne fait pas toujours le moine, me diriez-vous. Cependant, s’il est parfois banal de rencontrer un bachelier en philo incapable de raisonner, le scénario d’un cadre d’entreprise ne maîtrisant pas les bases de l’écriture et/ou de la lecture demeure encore difficilement envisageable. On continue d’imaginer les illettrés comme étant des personnes analphabètes, destinées à (ou exerçant) un métier n’exigeant pas de compétences particulières en lecture ou en écriture. Et pourtant, la réalité semble toute autre. L’illettrisme touche aussi bien les cadres d’entreprises que leurs agents d’entretien. Un phénomène assez méconnu mais pourtant bien réel. De prime abord, il importe de préciser que parler "d’illettrisme" des cadres ne revient pas à les réduire à des analphabètes au sens premier du terme. Des causes diverses Du problème psychologique… La remise en question du système éducatif …

Les Français et la lecture en 2017 : les pratiques numériques progressent Malgré un contexte de crise et de ralentissement du marché du livre depuis plusieurs années, les Français sont toujours aussi nombreux à lire des livres. 84 % se déclarent spontanément lecteurs de livres : 24 % considèrent même en lire beaucoup (37 % moyennement, 24 % peu et 16 % pas du tout) Après précision des genres littéraires, ce taux de lecteurs augmente. Comme en 2015, 9 Français sur 10 ont lu au moins un livre au cours des 12 derniers mois, quel que soit son genre littéraire. À noter que les Français lisent le plus souvent les livres dans leur intégralité, cependant certains genres, comme les livres pratiques, se lisent par bribes et d’autres, comme le dictionnaire, sont seulement consultés. Ils lisent toujours aussi régulièrement (49 % lisent tous les jours ou presque) et la répartition des types de lecteurs (petits / moyens / grands) est stable. Le nombre de livres lus (papier + numérique) a sensiblement augmenté entre 2015 et 2017, passant de 16 à 20 livres (+4 livres).

Speed Booking : 3 minutes pour donner envie de lire J’ai découvert le concept de « Speed Booking » dans l’émission La grande Librairie du jeudi 8 septembre. Et j’en suis devenue fan ! D’ailleurs je suis loin d’être la seule puisque les organisateurs du Printemps du livre de Grenoble avaient proposé l’année dernière une soirée Speed Booking à la bibliothèque centre-ville de Grenoble. 3, 5, 10 minutes pour donner envie de lire A l’image du speed dating, les participants au speed booking déambules de table en table à la recherche du coup de foudre… littéraire bien sûr. Plus précisément, les participants disposent de quelques minutes seulement pour convaincre leur interlocuteur de lire le livre qu’ils présentent. Un vrai défi ! C’est aussi une manière ludique et dynamique de trouver sa prochaine lecture. A la rencontre de sa prochaine lecture Tous les moyens sont bons pour trouver un conseil ou une recommandation de lecture : amis, familles, libraires, blogs littéraires… Le speed booking est aussi l’un d’eux. Difficile d’y résister !

Focus sur La Revue Dessinée Marieke Mille : Comment est née La Revue Dessinée ? Sylvain Ricard : Ce projet a vu le jour sous l’impulsion de quatre auteurs de bande dessinée – Frank Bourgeron(2)Franck Bourgeron a décidé de lancer La Revue Dessinée en septembre 2011, il en est le rédacteur en chef. MM : Quel public visez-vous ? SR : Nous ciblons les lecteurs de 20 à 70 ans qui ont une culture en bande dessinée, curieux du monde qui les entoure et qui souhaitent trouver des informations sur des sujets variés. L’approche de l’information par la bande dessinée peut être également intéressante pour les adolescents. MM : Pourquoi avoir choisi de faire une version papier en sus d’une offre sur iPad en cette époque où il est beaucoup question de numérique ? SR : Au début, nous souhaitions faire une revue exclusivement numérique mais il nous est rapidement apparu que notre business plan n’était pas viable avec une offre seulement sous cette forme. Marieke Mille : Comment est née La Revue Dessinée ?

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