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Marketing genré et sexisme: le top 10 des produits «pour femmes» les plus étranges

Marketing genré et sexisme: le top 10 des produits «pour femmes» les plus étranges
Temps de lecture: 11 min Si vous avez acheté un pyjama bleu à votre petit garçon et une gigoteuse rose pour votre petite fille, vous avez, tel Monsieur Jourdain et sa prose, fait du «gender marketing» sans le savoir. Derrière cette appellation anglo-saxonne, se cache un concept tout droit venu des Etats-Unis qui consiste à segmenter l’offre produit en fonction du sexe. Si les publicitaires décident ainsi de s’adresser de façon différenciée aux femmes au sein des linéaires c’est surtout parce qu’elles prennent 80% des décisions d’achat au sein des foyers. En France, la tendance semble s’installer progressivement depuis une dizaine d’années. Une brosse à dent pour femmes et un stylo pour hommes Ce qui est nouveau c’est l’utilisation du gender marketing dans des domaines pour le moins inattendus voire farfelus. Top 10 des pires produits segmentés 1 Le Stylo Bic «for her» Quand les marketeurs décident de sexuer un objet aussi neutre qu’un stylo, ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère! 5 Be Related:  Genres?

A rebrousse-poil, des économistes lancent un manifeste contre la rigueur | Rue89 Eco Deux économistes de renom, qui en ont assez de voir les hommes politiques vanter sans relâche la rigueur budgétaire, ont décidé de pousser un coup de gueule. Publié dans le Financial Times [lien payant] et titré « Manifeste pour le retour à la raison économique », ce texte fait l’objet d’une pétition que tous les économistes sont invités à signer. La liste des signataires, des universitaires de nombreux pays, s’allonge très rapidement depuis jeudi. Les deux signataires du texte sont : le prix Nobel américain de l’économie Paul Krugman, professeur à Princeton et chroniqueur au New York Times ; Richard Layard, économiste anglais, fondateur du Centre for economic performance à la London School of Economics. Leur texte est un véritable plaidoyer pour la relance de la dépense publique, une politique keynésienne assez classique en période de crise mais qui, ces temps-ci, n’a pas beaucoup de succès parmi les gouvernements occidentaux – c’est une litote. Voici leur texte, traduit par nos soins.

Je suis vraiment choquée ! (cartes du monde genrées) Alors, je vous explique. Je fais des courses avec toute ma bande et Baptiste m’interpelle. « Regarde maman, ça va te plaire … » Bon, il me connait bien mon garçon, il sait que ça a le don de m’agacer ces livres/cahiers réservés aux filles et aux garçons. Comme s’ils ne pouvaient pas faire les mêmes activités ! Vous avez déjà eu droit à deux articles coup de gueule sur le sujet : marre du rose et boy’s book. Donc déjà, je commence à pester contre cette manie qu’ont maintenant les éditeurs de faire des cahiers filles et garçons… Comme par hasard, les filles ont droit aux princesses, danseuses et autres fées et licornes. Et puis si vous regardez bien sur ces deux cahiers qui s’adressent l’un comme l’autre à des enfants du même âge, il y a une carte du monde à l’intérieur. J’ouvre le cahier « garçon » : une carte du monde assez sympa illustrée. J’ouvre le cahier fille : Euh … il y aurait pas un problème là ? côté garçon : côté fille : Je ne sais pas vous, mais je suis hyper choquée !!! WordPress:

Les Archivistes Le Monde.fr - Actualité à la Une Le miracle argentin était en trompe-l'oeil Planerait-il sur l'Argentine un parfum de "déjà-vu" ? Voilà que les cacerolazos, les tapeurs de casseroles, ont refait leur apparition. Fin 2001, c'est ainsi que l'on avait surnommé ces manifestants qui tapaient nuit et jour sur leur batterie de cuisine pour protester contre le gouvernement - accusé d'avoir saccagé le pays - et le Fonds monétaire international (FMI), leur bailleur de fonds rebaptisé alors l'"International Misery Fund" ("Fonds de la misère internationale"). Aujourd'hui, les Argentins sont de nouveau en colère. En cause : une inflation à deux chiffres, une croissance qui ralentit et un chômage qui progresse. Pour tenter d'endiguer cette fuite des capitaux (20 milliards de dollars en 2011, soit 15,9 milliards d'euros), la présidente Cristina Fernndez de Kirchner a rétabli, début avril, un strict contrôle des changes. De quoi démythifier le "miracle argentin", que certains économistes ont vanté au point d'en faire un exemple à suivre pour la Grèce.

Le droit au pantalon En hommage à la citoyenne Marie-Rose Astié de Valsayre, la première à avoir demandé l’abrogation de l’ordonnance de 1800, dans une lettre adressée aux députés en 1887. Elle n’en finit pas de mourir, cette ordonnance de 1800 qui interdit aux femmes de s’habiller en homme – les obligeant donc à s’habiller en femmes. La voilà à nouveau dans l’actualité. Le 31 janvier 2013, le ministère des Droits des femmes a fait savoir que l’ordonnance est « implicitement abrogée ». Demandes d’abrogation en cascade L’ordonnance en question est celle du 16 brumaire an IX (7 novembre 1800), qui dispose que « toute femme désirant s’habiller en homme doit se présenter à la préfecture de police pour en obtenir l’autorisation et que celle-ci ne peut être donnée qu’au vu d’un certificat d’un officier de santé ». Le communiqué du ministère de janvier 2013 répondait à une question du sénateur de la Côte-d’Or Alain Houpert (12 juillet 2012) demandant l’abrogation de la « loi » interdisant le pantalon. Dans le passé

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