Laboratoire de Zététique, Université de Nice-Sophia Antipolis Fa c u l t é d e s S c i e n c e s d e N i c e Le sérieux n'empêche pas un petit clin d'oeil à StarWars TSG (et à la 20th century Fox)... Le laboratoire de Zététique a été nommé "Center For Inquiry-France" par le CSI (USA) "to promote and defend reason, science and freedom of inquiry in all areas of human endeavor." Zetetique.com Invisible Pink Unicorn The Invisible Pink Unicorn (IPU) is the goddess of a parody religion used to satirize theistic beliefs, taking the form of a unicorn that is paradoxically both invisible and pink.[1] She is a rhetorical illustration used by atheists and other religious skeptics as a contemporary version of Russell's teapot, sometimes mentioned in conjunction with the Flying Spaghetti Monster.[2] The IPU is used to argue that supernatural beliefs are arbitrary by, for example, replacing the word God in any theistic statement with Invisible Pink Unicorn.[3] The mutually exclusive attributes of pinkness and invisibility, coupled with the inability to disprove the IPU's existence, satirize properties that some theists attribute to a theistic deity.[4] History[edit] The Invisible Pink Unicorn logo used to depict atheism The concept was further developed by a group of college students from 1994 to 1995 on the ISCA Telnet-based BBS. Invisible Pink Unicorns are beings of great spiritual power. Concepts[edit]
Licorne rose invisible Représentation de la Licorne rose invisible. La LRI est utilisée comme exemple afin de mettre en évidence l'aspect arbitraire des croyances surnaturelles; par exemple, remplacer le mot « Dieu » dans n'importe quelle déclaration théiste par « Licorne rose invisible »[3]. Les attributs de couleur rose et d'invisibilité qui s'excluent mutuellement, conjugués à l'incapacité de réfuter l'existence de la LRI, fait une satire des propriétés que certains théistes attribuent à leur divinité[4]. Historique[modifier | modifier le code] L'idée de la Licorne rose invisible est apparue sur Usenet, notamment sur alt.atheism, au début des années 1990[5] — ce qui explique que la quasi-totalité des références à son sujet soient en anglais. Petit à petit, ses « adeptes » créèrent une série de sites web, consacrés à la pseudo-divinité. Cette idée a ensuite été développée principalement entre 1994 et 1995 par un groupe d'étudiants de l'Université de l'Iowa. — Serah Eley, Manifeste (en) Peter A.
Church of the Flying Spaghetti Monster Les pseudo-sciences nuisent-elles à l'image de la science ? Ce texte reprend l’essentiel de l’intervention faite lors de l’atelier « Image de la science » au Colloque National sur les Études Scientifiques Universitaires (Bordeaux, 3, 4 et 5 février 2003). La croyance dans le paranormal et l’image de la science Des croyances très répandues Force est de constater que la croyance dans les phénomènes paranormaux est encore largement répandue comme en témoigne une série d’enquêtes menées depuis une vingtaine d’années par la SOFRES et dont le dernier sondage réalisé (2000) confirme les précédents : Outre l’étonnante stabilité de ces croyances au long de ces deux décennies, une autre leçon se doit d’être soulignée : le niveau d’instruction ne semble pas prémunir de ces croyances. Un business important et lucratif L’autre facette du tableau, c’est un fabuleux commerce qui se développe, où chacun, de l’escroc au fisc, en passant par des cabinets de conseil en recrutement et les groupes de presse, tire sa part de bénéfice. Quels dangers ?
La démarche scientifique face à la parapsychologie - Méthode et prudence scientifiques 1. Introduction Ce texte a été rédigé particulièrement pour ceux qui luttent contre les pseudo-sciences, mais aussi à destination des parapsychologues, médiums, partisans de l’ésotérisme etc., pour montrer la différence de point de vue entre celui des scientifiques et le leur. J’ai voulu répondre à leur attente, en apportant un point de vue plus « scientifique » que celui habituel adopté par les tenants des thèses parapsychologiques ou ésotériques, car il m’a semblé intéressant de confronter le point de vue des scientifiques avec celui des médiums, tenants de l’ésotérisme et des parapsychologues. Mais avant de pouvoir le faire, il est nécessaire de procéder à un rappel de la démarche scientifique. 2. La démarche scientifique part d’un certain nombre de présupposés, issus de l’expérience, que nous allons exposer. Voici ces principaux présupposés. 2.1. Tous les phénomènes de la nature procèdent par une série de causes et d’effets déterministes. 2.2. 2.3. 2.4. 2.5. 2.6. 2.7. 3. 4. 4.1. 4.2.
À propos de la brève « Deux façons de servir la science » Dans notre numéro 299 (janvier 2012), Suzy Collin-Zahn commentait, dans la rubrique « Regards sur la science », le livre de Christian Magnan intitulé Le théorème du Jardin. Christian Magnan a souhaité réagir à cette analyse. Vous trouverez sa lettre ci-après ainsi que la réponse de Suzy Collin-Zahn. La réaction de Christian Magnan J’ai été choqué par l’article de Suzy Collin-Zahn paru dans le numéro de janvier 2012 de Science et pseudo-sciences (page 9). Pour illustrer la bonne façon, à ses yeux, de servir la science, notre astrophysicienne choisit la dernière découverte-phare de la physique, à savoir la mise en évidence de neutrinos dont la vitesse dépasserait celle de la lumière : un comportement interdit par la relativité restreinte. C’est précisément cette proposition que conteste mon livre. Les cosmologistes connaissent bien cette façon vicieuse de produire des explications arbitraires face à des observations. Le débat sur les dérives de la science sera-t-il ouvert loyalement ? C.
Rationally Speaking Qu’est-ce que le matérialisme scientifique ? par Jean Bricmont Publié auparavant dans « Intrusions spiritualistes et impostures intellectuelles en sciences », sous la direction de J. Dubessy et G. Lecointre, Syllepse, Paris, 2001, et sur le site Dogma. En général, les dogmes matérialistes n’ont pas été édifiés par des gens qui aimaient les dogmes, mais par des gens qui pensaient que rien de moins net ne leur permettrait de combattre les dogmes qu’ils n’aimaient pas. Ils étaient dans la situation de gens qui lèvent des armées pour défendre la paix.1 Bertrand Russell 1. Lorsque La Raison a rendu compte de notre livre en disant que Sokal et Bricmont défendaient le matérialisme scientifique2, j’étais à la fois surpris, content et perplexe. 2. Pour aller plus loin, observons d’abord que le matérialisme moderne s’est développé en grande partie en réaction aux dogmes religieux. Malheureusement, la réaction scientifique-matérialiste prend souvent le contre-pied des deux thèses à la fois : 1’. 3. 4. 3 Ainsi que moi-même, évidemment.
L’ignorance prescriptrice Dans le numéro 291 de Science et pseudo-sciences (juillet 2010) nous avons présenté les notes de lecture de Gabriel Gohau et Laurent Loison, historiens et épistémologues des sciences (Centre François Viète, Université de Nantes), sur le livre de Thomas Lepeltier, Vive le créationnisme ! Point de vue d’un évolutionniste (Ed. de l’Aube, 2009). Une réponse de l’auteur à ces critiques a été publiée dans notre numéro 295 (avril 2011). Guillaume Lecointre, professeur au Muséum national d’histoire naturelle, a souhaité réagir, lui aussi, au même livre. Dans un petit livre paru en 2009, Vive le créationnisme ! Thomas Lepeltier sous-titre son livre « point de vue d’un évolutionniste », ce qui a pour fonction d’endormir votre méfiance éventuelle dès la couverture du livre. « Le créationnisme, en raison de sa prétention contestée à être une théorie scientifique, a le grand mérite de nous obliger à réfléchir à ce que signifie la notion de scientificité. Une ignorance candide de la science
La Vie, l’Évolution et l’Histoire - Michel Morange Note de lecture de Laurent Loison - SPS n° 299, janvier 2012 La Vie, l’Évolution et l’Histoire constitue le sixième ouvrage publié par Michel Morange, biologiste moléculaire et historien des sciences du vivant. Ce texte prolonge directement la réflexion conduite dans un livre paru en 2005, Les secrets du vivant, Contre la pensée unique en biologie. Dans ce premier essai, l’auteur voulait montrer la nécessité, pour la biologie, d’articuler différents types d’explications pour arriver à une meilleure connaissance du vivant. La biologie fonctionnelle regroupe l’ensemble des disciplines ayant pour vocation la compréhension du fonctionnement des êtres vivants tels qu’ils existent actuellement. Michel Morange observe que, depuis quelques années, les zones de contact entre ces deux biologies deviennent de plus en plus nombreuses et que cette convergence récente, si elle suscite évidemment de nombreuses difficultés, est d’abord porteuse d’espoirs pour les sciences du vivant (Chapitres 2 et 3).
Scepticisme scientifique Sense about Science – Equipping people to make sense of science and evidence Ask for Evidence in policy, advertising, media and more ... Learn more AllTrials For transparency in clinical trials Learn more Plant Science Panel GMOs, insecticides, biofuels … Learn more Sign up and get news about standing up for science and evidence Learn more