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L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain

L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain
"Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd'hui autour de l'impression 3D", s'énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs - la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars - et que Pirate Bay estime que les "physibles" - les plans d'objets qu'on peut réaliser via des machines 3D et qui s'échangent dès à présent sur The Pirate Bay - sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de "l'expédition". C'est-à-dire qu'il sera bientôt plus coûteux d'expédier une pièce depuis la Chine ou de n'importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l'impression 3D "Ce n'est pas seulement prématuré, c'est absurde", rétorque Christopher Mims. Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l'impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu'il y a encore à accomplir. Hubert Guillaud

Des steaks conçus à partir de matières fécales ! A priori répugnante, l’initiative du Japonais Mitsuyuki Ikeda présente néanmoins des avantages sur les plans sanitaire et environnemental Utiliser des matières fécales pour confectionner de la viande. Pas très ragoûtant, et pourtant… En mettant un certain nombre d’éléments que d’aucuns trouveraient élémentaires, la trouvaille du Japonais Mitsuyuki Ikeda dispose de plusieurs atouts de choix. Les stations d’épurations nippones sont actuellement dans l’incapacité de traiter la totalité des boues. Une situation qui déplaît de plus en plus aux autorités, lesquelles ont demandé à ce scientifique de réfléchir à de nouvelles solutions de recyclage. M. Le scientifique a donc pensé à les extraire, avec au bout du compte l’idée de les recycler pour un usage alimentaire. Pour que son expérience rencontre le succès escompté, le professeur a dû concevoir un processus de fabrication de viande artificielle. Crédits photos : flickr - Michael Cannon / Alexandre Vialle

Polémique : la nouvelle imprimante 3D de MakerBot a-t-elle trahi l'open hardware ? Le matériel libre, ou open hardware, en général et l’impression 3D en particulier, cela fait longtemps qu’on en parle sur le Framablog (notre premier article sur la RepRap date de 2008). Nous y croyons parce qu’avec une imprimante 3D libre, vous pouvez non seulement créer des objets en partageant leurs fichiers numériques sous format et licence libres mais également concevoir l’imprimante elle-même, puisque ses sources (c’est-à-dire ses plans de fabrication) sont aussi sous licence libre. À partir de là, vous voici potentiellement prêt pour… changer le monde (ou tout du moins, ne nous emballons pas, pour dessiner lentement mais sûrement les contours d’un nouveau paysage industriel). Évidemment cela ne se fera pas sans peine et l’on peut déjà anticiper de terribles batailles du côté de la propriété intellectuelle (pire encore que pour la culture), d’où notre long (mais passionnant) article : L’impression 3D, ce sera formidable… s’ils ne foutent pas tout en l’air !. Open Hardware meaning

Be Spoon mesure les distances à travers les murs Imaginez un dispositif capable de mesurer des distances de près d’un kilomètre, avec une précision de l’ordre du centimètre, et capable de passer à travers les murs. Impossible ? Pas pour Be Spoon, émanation du CEA Leti, qui a inventé la mesure par modulation ultra-large bande. Il s’agit d’émettre des pulsations brèves (de l’ordre d’une nanoseconde) et de mesurer le temps mis par le signal pour faire un aller-retour entre un émetteur et un récepteur. Dans l’industrie, les premières applications devraient concerner la prévention de collision. L’opportunité Le marché de l’électronique professionnelle mais aussi grand public. Wi-Fi et de repérer des cibles par triangulation. Frédéric Parisot L’innovation Des signaux brefs sont émis sur des bandes de fréquences de 500 MHz à 1 GHz de largeur.

Spécial Fukushima : Fukushima veut inventer l'éolien en mer de demain Les Japonais, à la recherche de solutions de substitution au nucléaire dont la part dans le mix énergétique s'est effondrée depuis l'accident de mars 2011, n'ont pas manqué de constater que les quelque 1700 éoliennes terrestres du pays avaient parfaitement résisté au tremblement de terre. De quoi convaincre plus de dix entreprises japonaises de se réunir pour construire une ferme d'éoliennes flottantes de 16 MW à proximité du lieu de la catastrophe qui a frappé le Japon il y un an. L'initiative avait été annoncée pour la première fois en septembre, lorsque le gouvernement japonais, qui table sur 1.000 MW installés au large des côtes japonaises d'ici à 2020, avait annoncé un investissement de 95 à190 millions d'euros dans le développement de cette industrie. La première sous-station en mer Une bataille mondiale

RepRap, la machine réplicante qui fait peur aux capitalistes L’un des multiples objets 3D réalisés par la RepRap Machine d’Adrian Bowyer, qui dit travailler sur l’auto-réplication des objets. En open-source, naturellement… © RepRap RepRap, la machine réplicante qui fait peur aux capitalistes « Nous sommes en 2020, les hackerspaces, fablabs et autres usinettes se comptent par milliers en France et pas seulement dans les grandes villes. Des gens de bonne volonté se sont regroupés dans certains villages désertiques, dans d’anciennes MJC-Algeco de banlieues "chaudes", dans des usines désaffectées. Nous sommes en 2010 et ceci n’est pas une fiction, c’est écrit sur le site d’Usinette. Adrian Bowyer présente son RepRap Project et sa machine infernale : Alors donc, cette RepRap machine (pour « replicating rapid prototyper ») et sa copine, la Makerbot, une imprimante 3D open source, sont des machines anticapitalistes. La Makerbot, la copine de la RepRa, version Dark Vador : Cindy désire une assiette pour son invité supplémentaire !

Bracelet Paracord - Gregos Bracelet en paracorde Tressage squelette Tressage King Cobra Tressage Anaconda Voici quelques liens vidéo pour comprendre la méthode de tressage des paracordes. Tressage Cobra Tressage Squelette Noeud Celtique Boucle à dégrafage rapide Lyon, vitrine japonaise de l'"énergie intelligente" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jacques Boucaud - Lyon Correspondance Le Japon va-t-il révolutionner les pratiques des Lyonnais en matière de consommation d'énergie ? Le quartier baptisé Confluence, sur la presqu'île lyonnaise, a été choisi par la New Energy and Industrial Technology Development Organization (NEDO), l'agence publique de soutien à l'innovation rattachée au ministère de l'environnement nippon, pour accueillir son premier démonstrateur de "réseau d'énergies intelligent" (smart community) en Europe. Ce projet en gestation depuis près de deux ans a été officialisé, jeudi 15 décembre, par la signature d'une convention avec la communauté urbaine du Grand Lyon. Le NEDO financera les 50 millions d'euros d'investissements jugés nécessaires au cours des quatre prochaines années. "Confluence est l'un des grands chantiers urbains en Europe", a expliqué Hideo Hato, président du NEDO, pour justifier le choix du site français. Le projet "vendu" par le Japon repose sur quatre piliers.

L’imprimante 3D, une opportunité pour créer un nouveau marché L’imprimante 3D est principalement utilisée pour la fabrication des prototypes directement à partir d’un plan. Devenue plus efficace et meilleur marché, elle est perçue comme une menace pour l’industrie. C’est en fait une opportunité… L’imprimante 3D offre aujourd’hui l’avantage d’une grande flexibilité dans le processus de fabrication. Chaque objet peut être fabriqué d’une manière individualisée pour répondre aux diverses demandes ou bien pour s’adapter en temps réel aux changements de la demande du marché. La technique d’impression 3D modifie la structure des coûts: le coût unitaire de fabrication pour les grandes séries est certes plus élevé que celui de la fabrication traditionnelle, mais il est meilleur marché pour les petites séries et les très faibles quantités personnalisées. Les sociétés Sculpteo et Shapeways fabriquent à la demande, et prennent les commandes par Internet. Quand l’imprimante 3D sera accessible au grand public… Mes conseils : Benoit Sarazin by

Au Japon, des soutiens-gorge pour sauver la planète Un fabricant japonais de sous-vêtements féminins a présenté mercredi à Tokyo une idée pour aider les femmes à endurer la chaleur estivale sans faire tourner les climatiseurs énergivores à plein régime : un soutien-gorge rafraîchissant. Le "Bra Super Cool", soutien-gorge de plage imaginé par Triumph Japan, contient un matériau qui, placé quelques heures au congélateur, gèle tout en restant doux. "Celle qui le porte ressent ainsi une sensation fraîche sur sa peau", a indiqué la firme dans un communiqué. Pour rendre cette impression multisensorielle, le soutien-gorge est aussi décoré d'une feuille de menthe qui dégage une odeur de fraîcheur et d'une traditionnelle clochette semblable à celles dont les sonorités résonnent aux abords des maisons en période estivale. Le gouvernement nippon reconnaît que tout ou partie de l'été, généralement très lourd et chaud, devra être passé sans réacteur nucléaire.

Stereolithography How are parts built? SLA enables the building of complex, 3-D models by successively "laser-forming" cross sections of liquid resin, using data from most surface or solid modeling CAD systems.The .STL file sent to the machine is sliced into small layers and the laser is driven by the design. The liquid plastic hardens only where touched by the laser beam, and the model is built layer-by-layer, without tooling, programming, or machining. After each pass of the laser, the platform on which the exposed polymer sits is lowered, submerging the hardened material under the surface of the liquid in the vat. When the part is finished the uncured resin is drained off and the supports are removed. The SLA machine The platform holds the part and is lowered to create new layers. Multiple parts made using SLA. The oven used to cure the finished part. If you would like to get a part manufactured using SLA, contact Jim DiPasquale (jimdipas@engrng.pitt.edu) from University of Pittsburgh.

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