Fond diffus cosmologique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le fond diffus cosmologique est le nom donné au rayonnement électromagnétique issu, selon le modèle standard de la cosmologie, de l'époque dense et chaude qu'a connue l'Univers par le passé, le Big Bang. Bien qu'issu d'une époque très chaude, ce rayonnement a été dilué et refroidi par l'expansion de l'Univers et possède désormais une température très basse de 2,728 K (-270,424 °C). Le domaine de longueur d'onde dans lequel il se situe est celui des micro-ondes, entre l'infrarouge et les ondes radio. Le fond diffus cosmologique est une conséquence des scénarios des théories de Big Bang et son existence a été prédite dans ce cadre-là. En 2010, le fond diffus cosmologique est un sujet de recherche extrêmement actif du fait qu'il donne un aperçu de l'Univers tel qu'il était très peu de temps après le Big Bang (environ 380 000 ans plus tard). Découverte[modifier | modifier le code] Sources (en anglais) de cette partie[modifier | modifier le code]
Liste de particules Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article est une liste de particules en physique des particules, incluant les particules élémentaires actuellement connues et hypothétiques, ainsi que les particules composites qui peuvent être construites à partir d'elles. Particules élémentaires[modifier | modifier le code] Une particule élémentaire est une particule ne possédant aucune structure interne mesurable, c’est-à-dire qu'elle n'est pas composée d'autres particules. Les particules élémentaires peuvent être classées selon leur spin : les fermions possédant un spin demi-entier qui constituent la matière de l'univers,les bosons ayant un spin entier et qui donnent naissance aux forces agissant entre les particules de matière. Modèle standard[modifier | modifier le code] Fermions (spin demi-entier)[modifier | modifier le code] Structure du proton : 2 quarksup et un quark down. Les fermions possèdent un spin demi-entier ; pour tous les fermions élémentaires connus, il s’agit de ½.
Particules Histologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’histologie (du grec ancien ἱστός tissu et λόγος discours), autrefois appelée anatomie microscopique[1],[2], est la branche de la biologie et de la médecine qui étudie les tissus biologiques. Elle se situe au carrefour de la biologie cellulaire, l'anatomie, la biochimie et la physiologie. Elle a pour but d’explorer la structure des organismes vivants, les rapports constitutifs et fonctionnels entre leurs éléments fonctionnels, ainsi que le renouvellement des tissus. Elle participe à l'exploration des processus pathologiques et de leurs effets. Histoire[modifier | modifier le code] La notion de tissu biologique est due à Xavier Bichat, en 1799, grâce à son ouvrage Traité des membranes en général et de diverses membranes en particulier. Les techniques de biologie cellulaire, de biologie moléculaire, de clonage et de génétique moléculaire ont permis de mieux comprendre le fonctionnement cellulaire et les interactions cellulaires.
Brevet secret us pour transmettre gratuitement de l'electricité sans aucun cable ni central "Power Beaming System." United States Patent Number: 5,068,669 Date of Patent: November 26, 1991 Inventor: Peter KOERT and James Assignee: APTI, Inc., Los Angeles, Ca. Ce brevet décrit un système permettant de transmettre, par ondes électromagnétiques, l'énergie nécessaire à un équipement situé à distance. L'invention consiste à émettre un signal électromagnétique à très haute fréquence, au moins 10 GHz selon KOERT, en direction de l'appareil à alimenter, ce dernier étant équipé d'un ensemble d'antennes de réception pour recevoir et redresser le signal en une source d'énergie DC. testé ce concept au début des années 90 en maintenant en vol, pendant 10.000 heures à 80.000 pieds et sans carburant, un petit avion alimenté par l'énergie électrique DC redressée à partir d'un rayonnement micro-onde dans l'axe duquel il évoluait. Figure 14. technique de transport d'énergie Source: U.S. "Power Beaming System with Printed Circuit Radiating Elements having Resonating Cavities." Date of Patent: June 8, 1993
Spin (propriété quantique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le spin est, en physique quantique, une des propriétés des particules, au même titre que la masse ou la charge électrique. Comme d'autres observables quantiques, sa mesure donne des valeurs discrètes et est soumise au principe d'incertitude. C'est la seule observable quantique qui ne présente pas d'équivalent classique, contrairement, par exemple, à la position, l'impulsion ou l'énergie d'une particule. Historique[modifier | modifier le code] La genèse du concept de spin fut l'une des plus difficiles de l'histoire de la physique quantique au début du XXe siècle[1]. Le spin a d'abord été interprété comme un degré de liberté supplémentaire, s'ajoutant aux trois degrés de liberté de translation de l'électron : son moment cinétique intrinsèque (ou propre). Enfin, c'est en théorie quantique des champs que le spin montre son caractère le plus fondamental. Le spin du photon a été mis en évidence expérimentalement par Râman et Bhagavantam en 1931[6].
Moon Publicity | Advertise on the Moon Le boson de Higgs, porte ouverte sur une nouvelle physique | Mariette Le Roux | Découvertes Mais plus ils en apprennent au sujet du boson, plus il ressemble au portrait esquissé pour la première fois voici tout juste 50 ans. Et moins les scientifiques ont de chances d'expliquer les questions laissées en suspens par le «Modèle standard» qui définit actuellement les lois de la physique: matière noire, énergie sombre, gravité, etc. Insaisissable, car extrêmement instable, le boson de Higgs est considéré comme la clef de voûte de la structure fondamentale de la matière, la particule élémentaire qui donne leur masse à de nombreuses autres. Son existence avait été postulée pour la première fois en 1964 par Peter Higgs, François Englert et Robert Brout, aujourd'hui décédé. À partir de 2015, les physiciens travaillant au LHC (Grand collisionneur de hadrons) près de Genève vont mener de nouvelles expériences avec une puissance de feu presque doublée. «Cela pourrait nous aider à lever de nombreux autres obstacles auxquels la physique se heurte actuellement». Physique 2.0 ?
Ondes ou particules? | Jean-François Cliche | La science au quotidien Partons d'une chose que tout le monde connaît: la lumière. La lumière, comme on l'a souvent vu dans cette rubrique, est une onde électromagnétique, c'est-à-dire de l'énergie électrique et magnétique qui se propage dans l'espace, un peu comme une vague à la surface de l'eau. Quand une charge électrique est accélérée ou change de direction (si on «brasse» un électron, par exemple), cela dérange le champ électromagnétique en un point de l'Univers et crée ainsi une «vague électromagnétique» - à la manière d'un caillou qui, jeté à l'eau, en dérange la surface. De la même façon, on croit que l'accélération de toute masse aurait un effet un peu similaire, en créant des ondes gravitationnelles. Celles-ci seraient une alternance de compression et d'étirement de l'espace-temps. Invraissemblances Maintenant, dans l'univers en apparence un peu bizarre qu'est la mécanique quantique, il arrive que des ondes se comportent comme des particules, et vice-versa. Des extrêmes Histoire à suivre, donc...
Solar System Scope Des neutrinos en flagrant délit de métamorphose -- Science et Technologie Pour la première fois, les physiciens de l'expérience T2K au Japon, parmi lesquels ceux du CNRS (1) et du CEA/Irfu, annoncent avoir très probablement détecté une transformation de neutrinos muons en neutrinos électrons. L'observation - probable à plus de 99% - de ce phénomène constituerait une découverte majeure pour la compréhension de la physique des particules élémentaires et ouvrirait la voie à de nouvelles études sur l'asymétrie entre la matière et l'antimatière. Les neutrinos existent sous trois formes ou « saveurs » : les neutrinos électrons, muons et tau. L'expérience T2K, située au Japon, étudie le mécanisme d'oscillation de ces particules, c'est-à-dire la faculté qu'elles ont à se transformer en une autre saveur dans leurs déplacements. Vue du détecteur géant Super-Kamiokande, qui avait déjà été utilisé pour étudier les neutrinos « naturels" provenant du soleil et ceux produits par les rayons cosmiques dans la haute atmosphère. Notes : Source: CNRS
"Le boson de Higgs est un élément central du