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Élèves en difficulté et métacognition : qu'en disent les neurosciences ?

Élèves en difficulté et métacognition : qu'en disent les neurosciences ?
On observe que les élèves en difficulté ont du mal à produire une réflexion métacognitive. La métacognition serait-elle trop difficile pour cette clientèle ? Peut-être que ce n’est pas pour eux ? Suite à une question soulevée par l’une de nos participantes à l’atelier TIC et métacognition tenue à l’AQUOPS en 2009 : « Pourquoi les élèves en difficulté ont-ils tant de mal à effectuer une réflexion métacognitive », nous avons cherché à y répondre. La réponse que nous avons trouvée est très encourageante. Apprendre La conception que nous avons de ce qui ce passe dans la tête d’un élève lorsqu’il apprend provient des grandes théories de l’apprentissage qui font encore autorité en ce moment : cognitivisme, constructivisme, socioconstructivisme. le cognitivisme [1] s’intéresse au processus de traitement de l’information lié à l’apprentissage et aux stratégies cognitives qui sont efficaces ou inefficaces dans ce processus. Comment rétablir ces fonctions du cerveau et rendre l’élève conscient ? Related:  métacognition`test 1017`test 1017

La carte conceptuelle : Un outil de développement de la métacognition Introduction En tant que formateur chargé d’une part d’organiser l’enseignement et d’autre part de dispenser des cours, et face à la masse de connaissances qu’un étudiant se doit d’apprendre et de retenir lors de ses études, vous êtes-vous posé les questions suivantes : Comment fonctionne le cerveau ? Cet article présente une technique pédagogique appelée « Carte conceptuelle » qui peut être utilisée par le formateur, quelles que soient les connaissances à enseigner et qui permet de développer les performances d’apprentissage des étudiants. La carte conceptuelle fait partie des outils qui servent à représenter les informations de façon visuelle. La carte conceptuelle en dehors de ses aspects pratiques, procure des sensations et des sentiments chez l’étudiant.Elle permet de : Développer une plus grande confiance en soiPenser par soi mêmePotentialiser sa mémoireDonner envie d’apprendreUtiliser de nouvelles ressourcesFaciliter l’argumentationMaitriser son savoirOptimiser son temps En pré-test

~ Le leçon en trois temps Read in English La leçon de Maria Montessori. Dans la pédagogie Montessori, tous les enseignements sont dispensés avec ce que nous appelons «la leçon en trois temps». Vous l’avez d’ailleurs vu lorsque j’ai écrit des articles sur l’apprentissage des lettres et des chiffres. Une présentation de matériel sensoriel. Je me suis rendu compte lors des stages de formation que cette façon d’enseigner qui est évidente lorsqu’on l’utilise tous les jours dans nos classes, demande beaucoup de répétition pour ceux qui n’en ont pas l’habitude. J’ai donc jugé important de rédiger un article spécifique afin que chacun d’entre vous puisse le reprendre chaque fois que vous souhaitez enseigner quelque chose à votre enfant. La leçon en trois temps. Premier temps : Présentation de la notion à enseigner avec le mot exact et l’association de la perception sensorielle avec ce nom. L’Enseignant devra d’abord prononcer les noms et/ou les adjectifs nécessaires sans rien y ajouter. Enseigner du vocabulaire. Trois chiffres.

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LOGO et la métacognition La métacognition, c'est ... ... une compétence à se poser des questions pour planifier ses interventions, s'évaluer constamment avant, pendant et après une tâche et se réajuster au besoin. Par métacognition, il faut entendre, d'une part, la connaissance que l'élève a de son propre fonctionnement intellectuel, et, d'autre part, la capacité à gérer de manière autonome les différentes fonctions métacognitives nécessaire pour résoudre des problèmes, telle la planification, la prévision, la hiérarchisation de l'information, le contrôle de ses stratégies de résolution de problème, etc. De nombreuses recherches ont démontré que la réussite scolaire va de pair avec des compétences métacognitives élevées. En interagissant avec ses élèves, l'enseignant joue un rôle fondamental dans le développement de leur compétences métacognitives et l'enrichissement de leurs stratégies d'apprentissage. Pourquoi la métacognition ? Quelques exemples d'interventions métacognitives: 1. 2. 3.

Des stratégies pour favoriser la métacognition et la conscience de soi chez les élèves La recherche montre que les habiletés métacognitives se développent considérablement entre 12 et 15 ans. Comment favoriser le développement de ces habiletés chez les élèves? Cet article de la psychologue, chercheuse et auteure Marilyn Price-Mitchell porte sur la conscience de soi et la façon dont cette conscience est liée aux habiletés métacognitives. La conscience de soi, associée au système paralimbique du cerveau, permet à l’individu d’ajuster ses conceptions du monde ; sa conception de soi et des personnes qui l’entourent. La conscience de soi […] aide les élèves à apprendre plus efficacement en focalisant sur ce qu’ils ont besoin d’apprendre. Selon l’auteure, il est important de cultiver l’habileté des élèves à réfléchir à leurs stratégies d’apprentissage ainsi qu’à l’efficacité de ces stratégies. 1. Les croyances des élèves à l’égard de leurs capacités à apprendre influencent leur motivation et leurs résultats scolaires. 2. 3. 4. 5. 6. 7. [Consultez l’article] Waynewhuang

Y arriver malgré tout Le sentiment d’efficacité personnelle, concept défini par Albert Bandura, désigne la confiance qu’a un individu en sa capacité de mener à bien une activité. Ce sentiment lui permet alors de s’engager plus aisément dans l’action et de persévérer malgré les difficultés. Y a-t-il une disposition psychologique apte à faciliter de bonnes performances sportives, à améliorer les résultats scolaires, à permettre aux phobiques de guérir de leurs troubles, à inciter des patients à respecter les prescriptions de leur médecin, à améliorer la compétence organisationnelle des managers, etc. ? Oui, répond le psychologue canadien Albert Bandura. Il s’agit du sentiment d’efficacité personnelle, appelé aussi « autoefficacité », thème auquel il a consacré un volumineux ouvrage au début des années 2000 (1). Selon cet auteur, « l’efficacité personnelle perçue concerne la croyance de l’individu en sa capacité d’organiser et d’exécuter la ligne de conduite requise pour produire des résultats souhaités ».

Using Book Creator to create math riddles 39 Flares Twitter 23 Facebook 3 Google+ 2 Pin It Share 11 11 39 Flares × This teacher was one of the first to take advantage of the new export to video feature. This is what her class came up with. Meghan Zigmond is a first grade teacher with a passion for inspiring student creativity and deepening their thinking through technology. She loves teaching students to create on iPads through App Smashing. She is also the iPad Program facilitator for her elementary campus, providing support to teachers and students. Last year I was brainstorming with the Kindergarten teachers, looking for an app that was a “just right” fit for our young students to create books. As we investigated some book making apps together, I discovered how easy it was to create with Book Creator! A few days later a small group of students and I made our first book, Our Praying Mantises Hatched. I was inspired to try more right away, and invested in the app for our student iPads. A book of math riddles What I’ve learned

memoireS: comment fixer apprentissages D'un point de vue clinique et physiologique, plusieurs observations nous incitent à penser que la mémoire à long terme engloberait différents types de mémoire. Par exemple, certaines amnésies affectent certains types de souvenirs et pas d'autres. De même, on a découvert que différentes structures cérébrales étaient spécialisées dans le traitement de différents types de souvenirs. L'une de ces distinctions qui apparaissent comme des plus fondamentales est celle que l'on fait entre les mémoires explicites (ou déclaratives) et celles qui sont implicites (ou non-déclaratives), selon que l'on peut ou non en exprimer verbalement le contenu. Traditionnellement, les études se sont concentrées sur la mémoire explicite où nous pouvons nous rappeler consciemment les faits et les choses. On demande par exemple à quelqu'un de mémoriser un matériel donné (liste de mots, images, etc.) qu'il doit ensuite se remémorer verbalement. La mémoire explicite est quant à elle souvent subdivisée en

Stanislas Dehaene - Psychologie cognitive expérimentale - Collège de France La métacognition consciente implique de se représenter son propre esprit en train de représenter une information (« je crois avoir oublié mes clés »). Le format de ces méta-représentations semble très similaire à celui que l’on suppose sous-tendre la représentation des pensées d’autrui (« il croit que j’ai oublié mes clés »). Dans les deux cas, la représentation mentale doit spécifier l’agent (moi ou un autre), l’attitude mentale (croire, savoir…), et la proposition examinée. Se pourrait-il donc que nous utilisions le même format de représentation mentale et les mêmes aires cérébrales pour représenter notre esprit et celui des autres ? La réflexion métacognitive consciente et la « théorie de l’esprit » (theory of mind) feraient-elles appel, au moins en partie, aux mêmes mécanismes ? Plusieurs arguments empiriques suggèrent effectivement que la connaissance de soi et la connaissance de l’autre sont étroitement liées.

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