Art Gothique - Caractéristiques du mouvement Indulgence (catholicisme) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans l'Église catholique romaine, l’indulgence (du latin indulgere, « accorder ») est la rémission totale ou partielle devant Dieu de la peine temporelle encourue en raison d'un péché déjà pardonné. Le Code de droit canonique consacre aux indulgences le chapitre IV du titre IV portant sur le sacrement de pénitence. Le canon 992 définit l'indulgence comme : « la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà effacée, rémission que le fidèle bien disposé obtient à certaines conditions déterminées, par l'action de l'Église, laquelle, en tant que dispensatrice de la rédemption, distribue et applique par son autorité le trésor des satisfactions du Christ et des saints ». L'ensemble des indulgences est présenté dans l'Enchiridion des indulgences publié par la Pénitencerie apostolique. On peut cerner la notion par : Selon la doctrine catholique, le péché est effacé par le sacrement du pardon (confession).
Les paysans au Moyen-Âge Puis à mesure que l'argent circule mieux, les corvées sont remplacées par les redevances : la taille (sert à payer la protection du seigneur). Elle apparaît après 1050. C'est un impôt direct. Les serfs doivent payer des impôts particuliers : la mainmorte au moment d'un héritage le formariage pour se marier à l'extérieur de la seigneurie Charles Borromée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Charles Borromée naquit dans une famille de la haute aristocratie lombarde. Sa mère était la sœur de Giovanni Angelo de Médicis, qui pape sous le nom de Pie IV de 1559 à 1565. À l'âge de 12 ans, il reçut la tonsure, et le bénéfice de l'abbaye bénédictine d'Arona, laissée vacante par son oncle. Quand son père mourut en 1558, il dut prendre en main les affaires de sa famille. Il participa au concile de Trente, s'attachant à réformer les abus qui s'étaient introduits dans l'Église, et fit rédiger le célèbre catéchisme connu sous le nom de catéchisme du Concile de Trente (1566). Il a pris une part active et prépondérante à l'élaboration de la discipline hospitalière au Concile de Trente. On ignore généralement que l'un des motifs de l'hostilité rencontrée par les décisions conciliaires consistait justement dans le conflit de compétences qu'aurait provoqué l'application des règles hospitalières tridentines.
Le Moyen Âge : la vie quotidienne Succédant à l'Antiquité, le Moyen Age est une longue période. On considère généralement qu'il a débuté en 476, avec la chute de l'Empire romain d'Occident, et a pris fin en 1492, date de la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb . On ne peut donc porter un regard unique sur mille ans de vie quotidienne médiévale. La division de la société en « trois ordres » les Bellatores (ceux qui combattent), les Oratores (ceux qui prient), les Laboratores (ceux qui travaillent) se rompt à la fin du XIIIe siècle. L’émergence des villes, de la bourgeoisie et des marchands, amène à la création d’un tissu social urbain complexe. Repas des noces d'Arus et de la fille d'Olivier, enluminure de Loyset Liédet, dans Histoire d'Olivier de Castille. ?
Contre-Réforme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Réforme. La Contre-Réforme est le mouvement par lequel l'Église catholique romaine réagit, dans le courant du XVIe siècle, face à la Réforme protestante. L'expression provient de l'historiographie allemande du XIXe siècle et est employée dans un esprit polémique ; une partie des historiens actuels la distinguent du terme de Réforme catholique et ne l'emploient plus en historiographie. La Contre-Réforme prend place dans une vaste aspiration à la réforme et au renouveau religieux qui traverse l'Occident chrétien depuis le XVe siècle. Le renouveau spirituel[modifier | modifier le code] Le XIVe siècle et les siècles suivants voient un regain spirituel en Europe, où la question du salut devient centrale. La réforme protestante[modifier | modifier le code] Le renouveau des ordres religieux[modifier | modifier le code] Les ordres réguliers font un premier effort de réforme au cours du XIVe siècle.
La construction du château de Guedelon Au démarrage du chantier, nous sommes en 1228. Louis IX, futur Saint-Louis, vient d'être sacré Roi à Reims. Mais trop jeune pour régner, c'est sa mère Blanche de Castille qui assure la régence du royaume jusqu'en 1235. Localement, la Puisaye est sous le contrôle du baron Jean de Toucy. Un hypothétique contexte social : Le commanditaire du château de Guédelon, Guilbert, serait un petit seigneur de Puisaye, vassal de Jean de Toucy, lui-même vassal du roi de France. Son statut assez modeste dans la hiérarchie féodale et ses moyens financiers limités, l'incitent à faire ériger un « petit » château, loin des dimensions royales des châteaux du Louvre à Paris ou de Brie-Comte-Robert en Seine-et-Marne.
Concile de Trente Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le concile de Trente est le dix-neuvième concile œcuménique reconnu par l'Église catholique romaine. Trente est l'un des conciles les plus importants de l'histoire du catholicisme ; il est le plus abondamment cité par le concile de Vatican II. Entre Trente et Vatican II, il n'y eut qu'un seul concile, Vatican I, qui définit la primauté pontificale mais fut interrompu par la guerre franco-prussienne de 1870 et l'intervention des troupes italiennes qui à la Prise de Rome annexèrent les États du pape. Historique[modifier | modifier le code] La genèse de la réunion du concile[modifier | modifier le code] Les États protestants du Saint-Empire romain germanique réclament officiellement la tenue d'un concile allemand. La première session (1545-1549)[modifier | modifier le code] La première séance se tient dans la cathédrale de Trente, le 13 décembre 1545[7]. Rapidement, cependant, les Pères conciliaires entendent s'affranchir de la tutelle impériale.