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Web des données

Web des données
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des données (Linked Data, en anglais) est une initiative du W3C (Consortium World Wide Web) visant à favoriser la publication de données structurées sur le Web, non pas sous la forme de silos de données isolés les uns des autres, mais en les reliant entre elles pour constituer un réseau global d'informations. Il s'appuie sur les standards du Web, tels que HTTP et URI - mais plutôt qu'utiliser ces standards uniquement pour faciliter la navigation par les êtres humains, le Web des données les étend pour partager l'information également entre machines. Tim Berners-Lee, directeur du W3C, a inventé et défini le terme Linked Data et son synonyme Web of Data au sein d'un ouvrage portant sur l'avenir du Web sémantique[2]. Principes[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee a défini quatre piliers pour soutenir l'initiative « Web des données » : Notes et références[modifier | modifier le code] Références : Related:  Capes doc 2019

Figoblog | Un blog sur Internet, la bibliothéconomie et la confiture de figues Resource Description Framework Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir RDF. En annotant des documents non structurés et en servant d'interface pour des applications et des documents structurés (par exemple bases de données, GED, etc.) RDF permet une certaine interopérabilité entre des applications échangeant de l'information non formalisée et non structurée sur le Web. Principes fondamentaux[modifier | modifier le code] Un document structuré en RDF est un ensemble de triplets. Un triplet RDF est une association : (sujet, prédicat, objet) Le sujet, et l'objet dans le cas où c'est une ressource, peuvent être identifiés par une URI ou être des nœuds anonymes. Les documents RDF peuvent être écrits en différentes syntaxes, y compris en XML. Un document RDF ainsi formé correspond à un multigraphe orienté étiqueté. {sujet, objet, prédicat} ⇔ prédicat(objet, sujet) ce qui est équivalent à : ∃ objet, ∃ sujet tq prédicat(objet, sujet) Vocabulaires RDF[modifier | modifier le code] L'objet est :

Le web des données On pourrait définir le web des données comme étant le projet de rendre le web (et les informations qu’il véhicule) aussi aisément lisible et exploitable par des ordinateurs que par des êtres humains, en faisant sauter les spécificités de structuration des données propres à chaque base de données fournissant des informations sur internet. Etant donné qu’il naît de plusieurs frustrations dans le fonctionnement du web "normal", et que sa dénomination suscite souvent des incompréhensions, peut-être est-il bon de commencer par là. Les problèmes de compréhension Pour comprendre ce qu’est le web des données, on aimerait pouvoir voir ce qu’il permet de faire. Les frustrations que le web des données est censé combler Reprenons en détail Première frustration : Les liens ne sont pas typés Dans la Wikipedia se trouvent notamment les pages Un ordinateur peut constater que la page Jean-Paul Sartre contient un lien vers la page Paris, et que l’inverse n’est pas vrai. Plusieurs remarques : Les ontologies

Vocabulaires de l'information Présentation du projet Le vocabulaire de la documentation auquel vous avez accès ci-dessous est basé sur l'édition papier de l'ouvrage Vocabulaire de la documentation coordonné par Arlette Boulogne, en collaboration avec Sylvie Dalbin et Catherine Lermyte et publiée par l'ADBS en 2004. Il proposait un vocabulaire technique du domaine de l'information-documentation. A cette date, il ne couvrait pas tous les besoins de l'exercice professionnel et en particulier les termes liés à l'usage des technologies de l'information et d'Internet. Il a donc été complété progressessivement grâce aux membres de la communauté ADBS jusqu'en 2012. ➡️ Les termes sont actuellemment accessibles par domaines ✍️ Vous souhaitez modifier ou proposer une entrée ? Après identification sur le site, vous pouvez poster des commentaires afin de permettre l'évolution de ce vocabulaire.

Accueil - DBpediaFr Extraction de données structurées des pages de Wikipédia en français. Présentation du projet DBpedia en français est le chapitre francophone de DBpedia, il s'inscrit dans l'effort d'internationalisation de DBpedia dont le but est de maintenir des données structurées extraites de différents chapitres de Wikipedia. Le développement de DBpedia en français est mené dans le cadre de la plateforme Sémanticpédia dont les partenaires sont : Qu’est-ce que DBpedia ? Il s'agit d'un effort communautaire ayant pour but d’extraire des informations structurées des pages de Wikipedia afin de rendre ces données disponibles sur le Web. DBpedia est cependant centré sur les pages en anglais de DBpedia, et ignore par conséquent des informations présentes sur les pages d'autres langues. Différentes versions locales de DBpedia, dont la version francophone ont pour but de donner accès aux données publiées dans les version respectives de Wikipedia. À quoi sert DBpedia ? Quelques exemples d'utilisation :

Linked Data - Design Issues Up to Design Issues The Semantic Web isn't just about putting data on the web. It is about making links, so that a person or machine can explore the web of data. Like the web of hypertext, the web of data is constructed with documents on the web. Use URIs as names for things Use HTTP URIs so that people can look up those names. Simple. The four rules I'll refer to the steps above as rules, but they are expectations of behavior. The first rule, to identify things with URIs, is pretty much understood by most people doing semantic web technology. The second rule, to use HTTP URIs, is also widely understood. The third rule, that one should serve information on the web against a URI, is, in 2006, well followed for most ontologies, but, for some reason, not for some major datasets. The basic format here for RDF/XML, with its popular alternative serialization N3 (or Turtle). There is also a large and increasing amount of URIs of non-ontology data which can be looked up. Basic web look-up

Les enjeux de la veille pour le professeur documentaliste — Documentation (CDI) Intervenants: Jean-Louis Durpaire (IGEN et président du jury du CAPES de documentation), Silvère Mercier (bibliothécaire, chargé de médiation numérique à la BPI), Dominique Varlet (documentaliste, chargé d'ingénierie documentaire au CRDP de Paris, formateur Paris 4IUFM/CELSA). L'animation était assurée par Marie-Christine Ferrandon, directrice du CRDP de l'académie de Paris, Tous veilleurs. La veille ne porte plus sur ce qui est rare mais sur l'infobésité. Silvère Mercier qui mène actuellement une réflexion sur la question de la veille, la replace dans un contexte citoyen plus large que l'Éducation nationale. Tout en notant que les personnes présentes à cette table ronde étaient de fait déjà en situation de veille, Jean-Louis Durpaire a défini la veille comme une posture intellectuelle et personnelle qui consiste à se former et ceci à trois niveaux. Salon de l'édu

Classification, langage documentaire et indexation Les catalogues informatisés des établissements scolaires doivent répondre aux critères de pertinence (respect des normes, renseignement de tous les champs du bordereau de saisie, adéquation entre le fonds documentaire informatisé et les exemplaires présent au CDI...) en prenant en compte les attentes des élèves, des enseignants ; cela suppose une collaboration réussie entre enseignants de discipline et enseignants documentalistes : politique d’acquisition commune, communication des thèmes de recherche données aux élèves... Il faut donc bien réfléchir aux conséquences et à l’intérêt d’un changement de système de classification ou de logiciel documentaire dans un CDI ; ce choix ne peut, en aucun cas, émaner d’un choix personnel. CDU ou DEWEY ? Les classifications DEWEY ou CDU permettent non seulement de retrouver les documents dans le CDI mais permettent l’indexation systèmatique des documents : Définition, principe de cotation à consulter sur :Savoirs CDI description détaillée de la CDU

Éclairages sur la redocumentarisation Je voulais faire un billet sur la rocambolesque et édifiante histoire de l'article de Wikipédia sur l'EPR, mais Olivier m'a devancé et son analyse, en raisonnant sur la redocumentarisation, me paraît très pertinente. Du coup, je me suis dit qu'il serait peut être temps de faire ce billet, toujours remis, pour expliquer la notion. Pour définir la re-documentatisation, il faut commencer par s'entendre sur le terme "documentarisation". Documentariser, c'est ni plus ni moins "traiter un document" comme le font, ou le faisaient, traditionnellement les professionnels de la documentation (bibliothécaires, archivistes, documentalistes) : le cataloguer, l'indexer, le résumer, le découper, éventuellement le renforcer, etc. On préfère "documentariser" à "documenter", qui renvoie plutôt à la création d'un ou de plusieurs documents pour expliquer un objet ou une action, mais dans nombre de cas les deux activités se recoupent. Le numérique est une opportunité formidable de redocumentarisation.

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