Carte mondiale d'alertes épidémiques Evictions scolaires Les réponses à ces questions de pratique courante évoluent avec les connaissances médicales et les avancées thérapeutiques, qu’elles soient curatives ou préventives. C’est pourquoi le Conseil supérieur d’hygiène publique de France (CSHPF) vient d’élaborer un nouveau guide destiné aux médecins traitants et aux médecins des collectivités d’enfants qui doivent, avec les directeurs de ces collectivités, prendre les mesures en cas de maladies transmissibles. Il est composé de 42 fiches, une par pathologie. Pour chacune de ces maladies transmissibles, l’intérêt et la durée de l’éviction nécessaires pour réduire la transmission à la collectivité sont indiquées, ainsi que les mesures de prévention. Télécharger le guide des conduites à tenir en cas de maladie transmissible dans une collectivité d’enfants (PDF - 249.1 ko) Conseil supérieur d’hygiène publique de France Séance du 14 mars 2003 Composition du groupe de travail : Docteur I. Relecteurs : Professeur E.
GROG Carte mondiale d'alertes épidémiques ECN Pilly2016 - Accueil - spilf - infectiologie Les questions et commentaires doivent être adressées exclusivement à ecnpilly@infectiologie.com Les documents sont ceux de l'ouvrage ECN.PILLY 2016 (les items mis à jour depuis l'impression de l'ouvrage sont suivis de l'icone Il s'agit de documents protégés ne permettant ni la copie de texte, ni l'impression. Ils peuvent être consultés sur un ordinateur, une tablette ou un smartphone par un logiciel lisant les fichiers pdf (par exemple acrobat reader). UE6 N°156 Tétanos UE6 N°157 Infections urinaires de l'adulte (dont les particularités au cours de la grossesse) UE2 N°27 Voir ci dessusUE6 N°158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : gonococcies, chlamydioses, syphilis, papillomavirus humains (HPV), trichomonoseUE6 N°159 Coqueluche UE6 N°161 Oreillons UE6 N°162 Grippe UE6 N°163 Hépatites virales UE6 N°164 Infections à herpès virus du sujet immunocompétentUE6 N°165 Infection à VIH UE6 N°166 Paludisme
IST_Société Française de Dermatologie Recommandations diagnostiques et thérapeutiques pour les Maladies Sexuellement Transmissibles Le groupe "IST et SIDA" de la SFD vient de publier les "Recommandations diagnostiques et thérapeutiques pour les Maladies Sexuellement Ttransmissibles" 2016 Sommaire Dépistage des MST/IST Gonococcie Infection à Chlamydia trachomatis Trichomonose Mycoplasmes génitaux Syphilis précoce Syphilis tardive Herpès génital Chancre mou Lymphogranulome vénérien Donovanose (granulome inguinal) Verrues génitales (condylomes) externes MST mineures Primo-infection VIH Urétrite masculine Leucorrhées Cervicite muco-purulente Ulcération génitale Orchi-épidydimite MST anorectales Balanite Traitement post-exposition sexuelle au VIH, VHB et VHC MST et grossesse MST chez les HSH Vaccinations Prévention des MST/IST Retrouvez tous les chapitres dans l'espace Recommandations du site de la SFD, rubrique "Pathologies infectieuses" Plus d'information Retour au listing des actualités
L’ANSM rappelle qu’aucun médicament homéopathique ne peut être considéré comme un vaccin contre la grippe Alors que la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière est en cours, l’ANSM rappelle qu’aucun médicament homéopathique ne peut être considéré comme un vaccin. En France, trois vaccins grippaux inactivés sont commercialisés et pris en charge par l’Assurance maladie dans le cadre de la campagne 2016 (Influvac, Immugrip et Vaxigrip). Dans son avis relatif aux vaccins anti-grippaux[1] , le Conseil supérieur d’hygiène publique de France rappelle que les médicaments homéopathiques ne peuvent se substituer à ces vaccins anti-grippaux notamment pour les personnes appartenant aux groupes pour lesquels cette vaccination est recommandée. Des médicaments homéopathiques avec Autorisation de mise sur le marché (AMM) peuvent avoir une indication dans la prévention ou le traitement de l’état grippal. Ces médicaments ne sont pas des vaccins. Lire aussi
Situation des approvisionnements en vaccins Dans le cadre de l'extension des obligations vaccinales applicables pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018, l'ANSM a demandé aux laboratoires concernés de mettre à disposition les informations nécessaires au suivi de la couverture des besoins supplémentaires inhérents à cette extension d'obligation. L'extension d'obligation concerne onze valences en primo-vaccination du nourrisson âgés de 0 à 24 mois : Diphtérie - Tétanos - Poliomyélite - Coqueluche - Haemophilus influenzae b - Hépatite B - Pneumocoque - Méningocoque C - Rubéole - Rougeole - Oreillons. Un suivi régulier des approvisionnements, stocks disponibles et ventes des vaccins concernés a été mis en place par les laboratoires et partagé avec l'ANSM dès la fin de l'année 2017. Il permet de surveiller l'adéquation, au niveau national, des unités disponibles avec les besoins définis par le ministère de la santé. Lire aussi : → La disponibilité des vaccins Couverture prévisionnelle des besoins en vaccins au niveau national
2018-342 du 7 mai 2018 complétant la liste des maladies faisant l'objet d'une transmission obligatoire de données individuelles à l'autorité sanitaire JORF n°0107 du 10 mai 2018 texte n° 16 Décret n° 2018-342 du 7 mai 2018 complétant la liste des maladies faisant l'objet d'une transmission obligatoire de données individuelles à l'autorité sanitaire ELI: Alias: Publics concernés : médecins ; responsables des services et laboratoires de biologie médicale publics et privés ; agences régionales de santé ; Santé publique France. Le Premier ministre,Sur le rapport de la ministre des solidarités et de la santé,Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 3113-1, R. 3113-1, R. 3113-4 et D. 3113-6 ;Vu l'avis du Haut Conseil de la santé publique en date du 20 janvier 2017,Décrète : L'article D. 3113-6 du code de la santé publique est ainsi modifié :1° Le s) 1 devient le s) 1.1 ;2° Après le s), il est inséré un alinéa ainsi rédigé :« s) 1. Fait le 7 mai 2018. Edouard Philippe Agnès Buzyn
Etablissements médico-sociaux Maîtrise du risque infectieux en établissement médicosocial Fiches pratiques proposées par les CPias A partir de 2015, le format disponible est un fichier Word. Toute modification souhaitée d'une fiche doit être accompagnée et validée par un hygiéniste Chapitre I - Organisation des moyens de prévention dans l'établissement Moyens : Référent médical en hygiène : médecin coordonnateur (2015) Référent paramédical en hygiène : cadre de santé ou infirmier(e) coordonatrice ou IDE (2015) Correspondant en hygiène : IDE ou AS ou Agent de service hôtelier ou logistique (2015) Mission de l'équipe mobile d'hygiène (2013) Projet de convention relative à la prévention des risques infectieux dans les EHPAD (2015) Rapport d'activité médicale - Volet infectieux (2015) Formation : Programme de formation "médicaux" (V1) Programme de formation "paramédicaux" (V1) Liste des formations diplômantes en hygiène hospitalière présentées par Inter-région (V1) Chapitre II - Gestion de l'environnement et des circuits
Réponses rapides dans le cadre de la COVID-19 - Prophylaxie du VIH par ténofovir disoproxil / emtricitabine dans le cadre de l’urgence sanitaire La HAS a été saisie par la DGS le 3 mars 2021 pour la rédaction de « réponses rapides dans le cadre de l’urgence sanitaire » afin d’élaborer des propositions relatives à l’accompagnement des médecins de ville qui souhaiteraient primo-prescrire la prophylaxie pré-exposition (PrEP) du VIH par ténofovir disoproxil/emtricitabine (TRUVADA et ses génériques). Contexte Durant la crise sanitaire liée à la COVID-19, l’organisation et la continuité du suivi des personnes exposées au VIH doivent s’adapter pour garantir la qualité la sécurité des soins. L’étude pharmaco-épidémiologique EPI-PHARE réalisée à partir des données de remboursement du Système National des Données de Santé a permis d’évaluer la délivrance des médicaments de ville en France durant la période de confinement national et de post-confinement jusqu’au 13 septembre 2020, soit au total sur un suivi de six mois. Ces réponses rapides portent sur la prophylaxie pré-exposition du VIH par ténofovir disoproxil/emtricitabine.
SOS HPV – Un outil d'aide à la décision pour la vaccination contre l'HPV Fonctionnement du système immunitaire - Immunologie de la vaccination - Professionnels de la santé - MSSS Pour assurer sa protection, le corps humain possède 2 types de mécanismes de défense : l’immunité innée et l’immunité adaptative. L’immunité innée permet la défense de l'organisme contre les agents infectieux de façon immédiate. À l'inverse, l’immunité adaptative confère une protection plus tardive, mais plus durable. Pour plus de détails, voir la présentation narrée Immunologie de la vaccination Immunité innée L’immunité innée comprend 2 lignes de défense : Ligne de défense externe : Empêche la pénétration des agents infectieux dans l’organisme. Cellules intervenant dans l'immunité innée Source : Sylvie FANFANO, Les cellules dendritiques : une population hétérogène de leucocytes aux propriétés originales. Pour une présentation animée, voir la vidéo La réaction inflammatoire sur le site Réseau Canopé. Immunité adaptative (acquise) L’antigène (agent infectieux) active directement les lymphocytes B, qui possèdent des récepteurs spécifiques. Immunité humorale et cellulaire Immunité humorale
L'immunité adaptative - Corpus - réseau Canopé L’immunité innée constitue une première ligne de défense naturelle contre des éléments menaçant l’intégrité de l’organisme. Cette immunité peut être complétée, chez les vertébrés, par l’immunité adaptative dont l’assise repose sur la mobilisation spécifique de cellules immunocompétentes : les lymphocytes T et les lymphocytes B. La lutte contre un antigène endocellulaire (virus de la grippe par exemple) recrute ainsi des lymphocytes particuliers : les lymphocytes T8 et les lymphocytes cytotoxiques. Ces derniers sont capables, après avoir été activés, de reconnaître puis lyser spécifiquement une cellule infectée affichant à sa surface un peptide antigénique. La lutte contre un antigène circulant ou extra-cellulaire (toxine tétanique par exemple) recrute, quant à elle, une autre catégorie de lymphocytes : les lymphocytes B dont la différenciation correspond au plasmocyte.