Réforme des collèges : le savoir, fin de transmission
Une gauche qui ne croit plus à l’élitisme pour tous Alors que le collège unique est de plus en plus critiqué, on aurait pu voir d’un bon œil l’idée d’une réforme. Le problème est que cette réforme ne consiste pas à faire le bilan de cette création giscardienne des années 1970, mais à aller toujours plus loin. Ainsi, il s’agit principalement d’en finir avec les enseignements jugés trop élitistes et de revoir, une fois de plus, les contenus à la baisse. « L’émancipation par le savoir, ce n’est pas l’alignement sur le commun dénominateur, l’asymptote vers zéro. À ces deux-là, on conseillera le livre d’Augustin d’Humières, Homère et Shakespeare en banlieue, pour leur faire comprendre que les élèves des milieux populaires ne sont pas plus bêtes que la moyenne et peuvent parfaitement accéder à la culture classique. L’interdisciplinarité, nouveau dogme des pédagogies modernes Tract du Snes contre l’actuelle réforme du collège. à la fois du français et des mathématiques. À y regarder de J'aime :
Ernst Jünger : vivre par les armes et les mots
La guerre est synonyme de souffrance et de désolation et les hommes de 14 sont les victimes de la barbarie moderne. Cent ans ont passé depuis le début de la Grande Guerre et cette opinion est aujourd’hui largement partagée ; elle anime l’esprit des discours et les cérémonies de commémoration. En Allemagne comme en France, Ernst Jünger incarne tout ce que notre Europe moderne et pacifiée ne souhaite plus voir et rejette, tout ce qu’elle a en horreur : un soldat, incarnation de cette culture martiale européenne aujourd’hui disparue, un guerrier devenu écrivain dont une grande partie de l’œuvre puise son inspiration dans les quatre années passées dans la boue et la fureur des tranchées du nord de la France. Jünger au retour du front L’œuvre de Jünger est vaste ; elle parcourt le XXème siècle, ses tourments et ses drames. Soldats allemands dans les tranchées D’une guerre à l’autre Jünger entre les deux guerres La guerre n’en a cependant pas fini avec lui. La guerre comme élément naturel Comments
Pour contribuer à la réflexion après les attentats du 13 novembre 2015
Suite à la vague d'attentats du 13 novembre dans le Xe et XIe arrondissement de Paris et à Saint-Denis, comme après ceux des 7 et 8 janvier 2015 contre la rédaction du journal satirique Charlie Hebdo et contre un magasin casher à Paris, nous proposons une sélection de ressources universitaires publiées par des spécialistes de géographie et de géopolitique pour contribuer à l'analyse. Nous avons privilégié les ressources en ligne, en accès libre ou via le portail cairn.info. Les ressources les plus récentes sont mises en avant. Sur le 13 novembre, Jacques Lévy, professeur de géographie et d’aménagement de l’espace à l’École polytechnique fédérale de Lausanne, "Paris (Monde) : géographies du 13 novembre 2015 1. Patrick Poncet, « Le terrorisme », Le Temps de la géographie, France Culture, 10 août 2015. Débat : En complément, sur le site expert SES ENS/DGESCO, lire le dossier Le regard des économistes sur le terrorisme, 23 novembre 2015. 2. Des termes à définir Généralités 3. 4. 5. 6.
Inconscient et langage -
On peut lire, pour commencer, le Résumé/plan de la conférence du 24/09/2009 à Aubagne [ La rédaction, en principe terminée, de cette conférence n'exclut pas dans les jours qui viennent certaines modifications ou ajouts. Veuillez revenir périodiquement sur ce site pour bénéficier de ces mises à jour. ] (version du 13/10/2009) La psychothérapie des psychoses (1ère partie) Conférence du Dr Jean-Jacques PINTO, psychanalyste à l'hôpital de jour d'Aubagne (Bouches-du-Rhône) le jeudi 24 septembre 2009 1) Pour se faire une idée de la ou des psychoses, l'argument d'autorité ne vaut pas lorsqu'on a un minimum d'esprit scientifique : Wikipédia : "L'argument d'autorité consiste lors d'une discussion à invoquer une autorité plutôt que présenter un raisonnement ou recourir à la violence. a) Nous sommes redevables à Freud d'avoir inventé la psychanalyse, mais cela ne l'a pas empêché de commettre des erreurs. 2) Les trois identifications et les trois niveaux de la structure psychique :
Transhumanisme
H+, un symbole du transhumanisme. Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer la condition humaine notamment par l'augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subis comme indésirables. Le transhumanisme partage de nombreux éléments avec l'humanisme, y compris le respect de la raison et de la science, une volonté de progresser et une valorisation de l'existence humaine (ou transhumaine). Le terme « transhumanisme » est symbolisé par « H+ » (anciennement « >H »[3]) et est souvent employé comme synonyme d'« amélioration humaine ». Pour résumer la FAQ transhumaniste d'Humanity+ développée dans les années 1990, un des documents transhumanistes les plus reconnus, le transhumanisme est défini par Max More comme suit[4] :