43 % des internautes ont déjà essayé de supprimer des informations personnelles C'est une évidence, l'apparition des réseaux sociaux a modifié en profondeur les pratiques de nombreux internautes. Si autrefois ces derniers n'étaient pas disposés à diffuser des informations personnelles en ligne, ils sont aujourd'hui une majorité à accepter de le faire raisonnablement. C'est ce que révèle une étude (.pdf) menée en septembre par l'institut Ifop auprès de 2 015 internautes. Au-delà du succès des sites communautaires (78 % des internautes français ont indiqué être inscrits sur au moins un réseau social), l'enquête menée par l'Ifop met surtout en lumière la relation qu'entretiennent les internautes français avec le principe de la protection des données personnelles. Car en effet, la diffusion d'informations personnelles engendre certains défis, notamment au niveau du droit à l'oubli. Ainsi, on découvre que la majorité des internautes inscrits sur au moins un réseau social accepte de diffuser sa date de naissance (72 %), son nom de famille (71 %) ou une photo (58 %).
La e-réputation en 10 points clés Nous le constatons tous les jours : la question de la e-réputation monte en puissance. Pas seulement sur le web, où tout le monde en parle, mais aussi et surtout dans les comités de direction. Pour beaucoup, c’est un réflexe de protection face aux attaques potentielles sur Internet. Dans un monde connecté et en conversation, c’est une préoccupation légitime. 1 – La e-réputation n’existe pas en soi. 2 – Travailler sur la e-réputation, c’est comprendre les ressorts de la réputation. 3 - La réputation, avec son sous ensemble de e-réputation, se gère comme un actif stratégique. 4 – Le diagnostic de e-réputation est un moment fondateur. 5 – La e-réputation se conçoit comme une démarche de progrès, au service de la stratégie d’entreprise. 6 – La e-réputation présente deux versants : risques/opportunités. 7 – Les collaborateurs, comme les dirigeants, sont vecteurs de réputation sur le web. 8 – La technologie n’est pas le facteur déterminant du marché de la e-réputation. Laurent Reynes
iPinion veut faire de l'e-réputation un critère... Permettre aux entreprises d’être plus concurrentielles, de décrypter les contenus Internet et d'avoir accès à des études d'analyse de l'opinion, telle est l'ambition d'iPinion. Labellisé par Cap Digital, ce projet de R&D collaboratif, mené par Lingway, Pikko et Sciences Po, consiste à mettre en place des outils et des services d’analyse sémantique et de représentation cartographique des données sur le web. Avec la montée en puissance des forums communautaires et des réseaux sociaux, certains chefs d'entreprise ont eu la surprise de constater que leurs marques avaient une double vie : celle qu'il leur avait donnée... et celle que l'opinion leur avait créée. A l'heure du web 2.0, effectuer une veille concurrentielle performante implique donc une prise en compte des contenus circulant sur la Toile avec à la clé une analyse fine des données collectées pour bien mesurer l'opinion que les internautes se font d'une entreprise et pouvoir réagir ou interagir en conséquence. Sibylle Lhopiteau
Comment gérer et protéger ma réputation sur Internet ? Donc il y a quelques semaines à peine, notre chère Hélène nous faisait une brillante introduction sur l’ E-réputation E-reputation, Personal Branding, Cyber-intrusion, Réputation online …, mais concrètement comment je fais pour gérer ma réputation en ligne ? Je vais tenter de répondre à cette problématique de manière plus approfondie. 1)Se protéger de soi même. La première règle est de prendre conscience qu’en voulant exister sur Internet et sur les réseaux sociaux, on n’existe plus seulement à son échelle mais à l’échelle d’Internet (à l’échelle mondiale). Prenons l’exemple du commercial de base (on ne va pas donner de nom pour éviter de ternir un peu plus sa e-reputation )qui tente l’expérience de la plateforme de microblogging : Twitter. – Super stylé, je raconte au jour le jour mes aventures sur Twitter : » Demain j’ai un voyage d’affaires au Canada, c’est trop stylé » , » Oh mais le Canada en fait c’est tout pourri » , « Ah mais dans quel trou perdu j’ai atterri ? D’accord, mais pour :
Les 5 piliers de l’E-réputation Le 22 Août 2009, dans l’un des premiers billets de ce blog, Amine avait rédigé le billet: l’E-réputation: Mode d’emploi où il expliquait à qui s’adressait l’e-réputation avec un schéma qui spécifie les processus de surveillance et de management qui en découlent. Aujourd’hui, je représente dans le schéma ci-dessous ma vision de l’e-réputation, qui à mon sens, s’appuie sur 5 piliers issus des processus de surveillance et de management. 1. 2. 3. 4. 5. Cette représentation de l’e-réputation s’applique, à mon avis, autant aux individus qu’aux entreprises. Et vous lecteurs fidèles de ce blog, blogueurs et professionnels dans le domaine, qu’est ce que vous en dites ? Like this: J'aime chargement…
Dossier : E-réputation (c) www.darksidevoices.com Dossier spécial e-réputation sur Marketing-Professionnel.fr ! Lire la version 2012 de Veille et e-réputation La e-réputation en un coup d’œil Périmètre et définition de l’e-reputation L’e-Réputation, un challenge pour les entreprises. E-réputation : Tout se sait et tout se dit ! E-Reputation, mode d’emploi. Ouvertures et applications de l’e-réputation La réputation de l’entreprise ne se limite pas à Internet. Quand l’e-réputation n’a pas bonne réputation. E-reputation : bienvenue dans l’ère de la communication de crise. Recherche d’emploi et personal branding… ou l’art et la manière de se marketer soi-même. Méthodes de mesure et outils de l’e-réputation La nouvelle ère de la réputation d’entreprise. Surveiller sa réputation sur Internet. Les outils gratuits de surveillance de sa réputation sur Internet. E-reputation : Parlons technique ! La veille en e-reputation : les outils et méthodes de Dow Jones.
L’é-reputation : les études se multiplient « CitizenTrend 20 avril 2010 par citizentrend A noter, la parution cette semaine de deux études sur l’e-reputation et les médias online en général. La première, réalisée par le GFII (Groupement Français de l’Industrie de l’Information) propose une large analyse autour du thème « e-réputation et identité numérique des organisations – Typologie des menaces et identification des modes de traitement applicables ». Cette étude de 67 pages propose des outils concrets pour analyser les menaces en termes d’image de marque sur Internet, comme une « fiche de relevé d’incident ». Srce : Digimind Le 19 avril, KPMG révélait son second baromètre « Media and Entertainment ». scre : KPMG Malgré cette croissance régulière, l’étude du cabinet de conseil fait part d’une méfiance persistante de la part des individus envers les contenus online. Encore une fois, cette étude démontre la faiblesse du "Tout en un", soit le seul développement des médias traditionnels ou, à l’inverse, des médias online. Like this: J'aime chargement…
L’impact de notre vie numérique sur notre identité et notre réputation I. Qu’est-ce qu’une vie numérique ? Dans ce nouvel espace qu’est Internet, nous avons parfois une autre vie, une vie bien différente de notre vie quotidienne, une vie numérique ! – Publication de contenus : blog, podcast, videocast, journalisme citoyen (Agoravox,…), encyclopédies collaboratives (Wikipedia), plateforme de FAQ collaborative (Yahoo! – Partage de contenus : photos (FlickR), vidéos (YouTube, Dailymotion…), musique ou liens (del.icio.us) ; – Publication d’avis sur des produits, des services, des prestations (TripAdvisor, Epinions, …) ; – Participation à des réseaux sociaux : sur un thème particulier (motos, cuisine, jeux,…) ; pour les profesionnels (LinkedIn, Viadeo, Xing…) ; à vocation universelle (MySpace, Facebook, Orkut,…) ; – Achats en ligne sur des sites comme Amazon ou eBay avec des systèmes de paiement type Paypal ; – Recherche d’emploi (Monster, Stepstone,…), publication d’un CV en ligne (eMurse, Moncv.com) ; – Sites de rencontres (Meetic, Match, Netclub,…) ; II. III. IV.
E-reputation : le livre blanc