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Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

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Généralités - La Gériatrie Pratique Le Vieillissement Humain Le processus du vieillissement est un phénomène biologique extrêmement complexe, qui trouve son origine dans la strcuture génétique de l'organisme. la connaissance des divers aspects du vieillissement s'est accélérée considérablement et les progrès de la recherche dans le domaine du vieillissement ont permis de comprendre le rôle important des facteurs génétiques, des altérations du fonctionnement cellulaire, ou encore des modifications du métabolisme des protéines. théoriquement on pourrait penser que certains aspect de ce processus se prêtent à une intervention. Bien que des propriétés anti-vieillissement aient été attribuées à divers produits, cela n'a pas encore été documenté de manière satisfaisante chez l'homme. 1/ Définition : Le vieillissement est l’ensemble des processus physiologiques et psychologiques qui modifient la structure et les fonctions de l’organisme à partir de l’âge « mûr ». 2/ Age de la vieillesse : OMS : 65 ans et + La Gériatrie b/ Mortalité :

Plan Alzheimer 2008 - 2012 Le point sur la maladie d'Alzheimer en France A l'occasion du coup d'envoi de la 2e édition du Train Alzheimer, le 21 septembre 2011, les professionnels impliqués dans la recherche et la prise en charge de la maladie d'Azheimer ont fait le point sur ce que l'on connait de cette maladie, sur les traitements et les recherches, et sur la prise en charge des malades et des aidants. Qu'est ce que la maladie d'Alzheimer ? Décrite pour la première fois en 1906 par le Docteur Alois Alzheimer, neurologue allemand, la maladie d'Alzheimer se caractérise par la perte progressive de la mémoire et des fonctions cognitives . En outre, elle s'accompagne fréquemment de troubles du comportement. La maladie d’Alzheimer est associée à deux types de lésions dans le cerveau : les plaques amyloïdes et les dégénérescences neurofibrillaires. On associe souvent la maladie d’Alzheimer à la perte de mémoire car ce sont effectivement les neurones localisés dans la région de l’hippocampe, siège de la mémoire, qui sont les premiers atteints. Les facteurs de risque

Mon Vieux par Elie Semoun | LCP Notre documentaire "Mon vieux" lève le voile de la peur pour découvrir l'univers aussi complexe que délicat de la maladie d'Alzheimer. Un univers où notre rationnel se heurte au surréalisme d'un cerveau altéré. Vivre dans une autre réalité devient également le lot quotidien des proches. La "règle du double effet" - [ Gériatrie, soins palliatifs - Michel Cavey ] La règle du double effet est l’un des points sensibles du débat sur l’euthanasie. De plus en plus on voit apparaître dans le processus de prise de décision médicale la notion de "discussion bénéfice/risque". Les médecins sont en effet amenés de manière non rare à adopter des stratégies risquées. Et il existe une règle qui impose de proportionner le risque pris au bénéfice escompté [1]. Mais comment se pose la question du rapport bénéfice/risque chez le sujet en fin de vie ? Comment éviter de dire : "Au point où en sont les choses, peu importe les risques" ? Tous les actes de soins ont des avantages et des inconvénients : il y a une efficacité, mais il y a des effets secondaires (ne serait-ce que le risque de surdosage). Un traitement sans effets secondaires est un traitement sans effet. Les "traitements légers" ne sont que légèrement efficaces. Le principe fondamental de l’activité médicale est connu de tous : Primum non nocere, d’abord ne pas nuire. Une efficacité : C’est l’effet bon. 1. 2.

Maison de retraite Alzheimer Conseil les personnes âgées en Ehpad et Cantou sur Paris Lyon Marseille Parcours de soins de la maladie de Parkinson Quelles sont les médecines complémentaires les plus efficaces ? Qu’il s’agisse d’hypertension, de surpoids, d’anxiété, de fatigue, de stress, de diabète de type 2. Comment faire le tri entre ce qui fonctionne sur des bases scientifiques et la jungle des médecines douces ? Quelles sont les interventions non médicamenteuses les plus fiables ? Quand une thérapie complémentaire fonctionne pour soi, nous avons tendance à généraliser et à extrapoler sans preuve ses bienfaits potentiels autour de soi… Alors comment faire le tri entre ce qui fonctionne sur des bases scientifiques et la jungle des médecines douces ? "Les Interventions non médicamenteuses" : qu'est-ce que c'est ? Pr Gregory Ninot : "Contrairement au terme de "Médecines douces" qui est une vraie nébuleuse mal définie, la haute autorité de santé a établi le terme des "interventions non médicamenteuses" en 2011, pour qualifier toutes les pratiques dont l'efficacité a été démontrée scientifiquement et apporter des solutions pour une indication particulière (trouble anxieux, du sommeil). Avec

La Lettre de Psychogériatrie | Les soignants parlent aux soignants ! Maladie d’Alzheimer : du diagnostic à la prise en charge Sémiologie des nerfs crâniens Il existe douze paires de nerfs crâniens (un de chaque côté) : Hormis les nerfs olfactif et optique qui ne sont pas de vrais nerfs crâniens (ils n'ont pas de gaine de Schwann) mais des évaginations du cerveau, les autres nerfs sont l'équivalent au niveau crânien des nerfs rachidiens ou spinaux. I - Le nerf olfactif (I) Le déficit de l'olfaction peut être complet (anosmie) ou partiel (hyposmie). Le patient se plaint le plus souvent d'une altération du goût des aliments (seule est préservée la sapidité, c'est-à-dire la perception du sucré, du salé, de l'amer et de l'acide). II - Le nerf optique (II) (voir le chapitre voies visuelles) III - Les nerfs oculomoteurs (III, IV, VI) Les noyaux de ces trois nerfs, situés dans le mésencéphale (III et le IV) et la protubérance (VI), On distingue donc des paralysies oculomotrices (ou ophtalmoplégies) 1 - Atteintes nucléaires et tronculaires Symptôme : diplopie (vision dédoublée des objets) ou seulement vision trouble (forme mineure) 2. 3. 1. 2. 1. 2. 1. 2.

Ehpad : la privatisation qui valait des milliards Les cookies et technologies similaires que nous utilisons sur Mediapart sont de différentes natures et nous permettent de poursuivre différentes finalités. Certains sont nécessaires au fonctionnement du site et de l’application mobile (vous ne pouvez pas les refuser). D’autres sont optionnels mais contribuent à faciliter votre expérience de lecteur ou de lectrice et d’une certaine façon à soutenir Mediapart. Acceptez-vous que Mediapart utilise des cookies ou technologies similaires pour les finalités suivantes ? Vous pouvez faire votre choix, pour chaque catégorie, en activant ou désactivant le bouton interrupteur. Nécessaires au fonctionnementdu site ou de l’application Connexion des abonné·es, mesure d’audience anonymisée, envoi des notifications push, suivi des pannes, mise en avant de nos services : ces outils sont nécessaires au suivi de l’activité de nos services et à leur bon fonctionnement. Voici les différents cookies et technologies similaires compris dans cette catégorie :

Vieux-le blog Le film "Juliette, Simone, Pierre et les autres" de Laurence Faure au festival Bobines Sociales à Paris Mercredi 23 janvier – 20h El Clan Destino - 18, rue des Envierges 75020 "D’un âge à l’autre" La Sole, entre l’eau et le sable Angèle Chiodo - vidéo / animation - ENSAD - France - 2011 - 15’ Au cours de l'évolution, la sole est devenue asymétrique. Kinoki (des solutions directes pour une vie meilleure) Léo Favier & Schroeter und Berger - Les films sauvages - essai documentaire - France - 2012- 15’ Les réalisateurs franco-allemands ont déniché pour vous les archives Super 8 d’un irréductible village où depuis toujours les habitants s’organisent. Kinoki vous propose avec humour et précision des solutions directes pour une vie meilleure. Juliette, Simone, Pierre et les autres Laurence Faure - Extraits du documentaire Comment vit-on le vieillissement ? Rencontre avec Laurence Faure L'Album Little Joséphine Primé ! Du 2 Octobre au 4 Novembre : L'expo Vieux à la Médiathèque d'Issy-les-Moulineaux

Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer Catherine de Brabois Infirmière, service de soins infirmiers à domicile "Les Amis" (Paris), diplômée Espace éthique/AP-HP La pratique infirmière peut conduire à essayer de convaincre un patient de l’utilité d’un soin dont a priori il ne veut pas. Pour un soin tel que la pose de sonde nasogastrique – acte invasif mais souvent vital - la question se pose de la liberté réelle d’un patient, spécialement lorsqu’il est très âgé, face à des soignants décidés à lui prodiguer ce soin. À l’hôpital, une personne âgée est souvent vulnérable et moins apte à faire valoir son opinion, si cohérente soit-elle. Les enjeux de la pose d’une sonde nasogastrique La pose d’une sonde nasogastrique consiste à introduire par la narine un tuyau mou qui descend jusqu’à l’estomac. La loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi Leonetti) mais aussi le code de la santé publique (article L. 1111-4) stipulent clairement le droit du patient au refus de soins : Le pacte de soins

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