Talmud
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Talmud (héb. : תַּלְמוּד talmoud, « étude ») est l’un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique, ne le cédant en importance qu’à la Bible hébraïque, dont il représente le versant oral. Il est rédigé dans un mélange d'hébreu et d'araméen. Le Talmud est le fondement de la loi juive ou Halakha. Composé de la Mishna et de la Guemara, il compile les discussions rabbiniques sur l’ensemble des sujets de la Loi juive, classés en six ordres (shisha sedarim, abrégé Sha"s). Sitôt clôturé, le Talmud a fait l’objet de nombreux commentaires et exégèses, les uns tentant d’en extraire la matière légale, les autres d’en poursuivre les discussions en développant sa dimension casuistique, aboutissant à de savantes discussions et à des interprétations novatrices. Étapes de la formation du Talmud[modifier | modifier le code] Judaïsme et tradition orale[modifier | modifier le code] Mise par écrit de l'enseignement oral[modifier | modifier le code]
Bible
Bible de Gutenberg, ouvrage imprimée en 1455, Latin vulgate, conservée à la New York Public Library. La Bible est un ouvrage composé de textes sacrés pour les juifs et les chrétiens, et saints pour les musulmans. Les diverses confessions peuvent inclure des livres différents dans leurs canons, dans un ordre différent. Les textes eux-mêmes ne sont pas toujours identiques d'une religion à l'autre. La Bible rassemble une collection d’écrits très variés et fragmentaires (récits des origines, textes législatifs, récits historiques, textes sapientiaux, prophétiques, poétiques, hagiographies, épîtres) dont la rédaction s’est échelonnée entre le VIIIe et IIe siècles av. La Bible hébraïque se nomme en hébreu TaNaKh (תנ״ך), un acronyme formé à partir des titres de ses trois parties constitutives : la Torah (la Loi), les Nevi'im (les Prophètes) et les Ketouvim (les Écrits). La Bible a été traduite dans de très nombreuses langues et à plusieurs reprises. Étymologie[modifier | modifier le code]
Coran
Le Coran est parfois appelé al-kitāb (« le Livre »), adh-dhikr (« le Rappel ») ou encore al-furqān (« le Discernement »). Pour les musulmans sunnites, il est l'expression d'un attribut incréé de Dieu adressé à toute l'humanité. Étymologie Qurʾān est le terme le plus utilisé par le Coran pour se désigner lui-même. Le mot arabe قُرْآن, qurʾān, dérive, pour la tradition musulmane, du verbe َقَرَأ, qaraʾa, qui signifie « lire, réciter »[7]. Pour A. Description Les versets sont au nombre de 6 236[13] pour le hafs (lecture orientale) et le warch (lecture occidentale). Ordre des sourates Selon la tradition musulmane, à la suite de la mort de Mahomet, c'est sous le calife Othman que le texte a été fixé et qu'il est devenu la version officielle du Coran entre 644 et 656 de l'ère chrétienne. Certains des manuscrits de Sanaa montrent des ordonnancements de sourates différents de la version de Othman. Chronologie de la rédaction Vision musulmane traditionnelle Recherche historique Contenu et thématiques M.
Bouddhisme
Le bouddhisme est une religion et une philosophie dont les origines se situent en Inde aux VIe – Ve siècles av. J.-C. à la suite de l'éveil de Siddhartha Gautama à Bodhgaya dans le Bihar et de la diffusion de son enseignement. Les notions de dieu et de divinité dans le bouddhisme sont particulières : bien que le bouddhisme soit souvent perçu comme une religion sans dieu créateur[n 1], cette notion étant absente de la plupart des formes du bouddhisme[n 2], la vénération et le culte du Bouddha historique Siddhartha Gautama en tant que bhagavat jouent un rôle important dans le Theravāda tout comme dans le Mahāyāna, qui voient en ce personnage un être éveillé doté d’un triple corps[n 3]. Le bouddhisme, à travers ses différentes écoles, présente un ensemble ramifié de pratiques méditatives, de rituels religieux (prières, offrandes), de pratiques éthiques, de théories psychologiques, philosophiques, cosmogoniques et cosmologiques, abordées dans la perspective de la bodhi, « l'éveil ». Origines
L'appel des gilets jaunes de Commercy
Voir le second appel Le texte de l’appel : Depuis près de deux semaines le mouvement des gilets jaunes a mis des centaines de milliers de personnes dans les rues partout en France, souvent pour la première fois. Le prix du carburant a été la goutte de gasoil qui a mis le feu à la plaine. La souffrance, le ras-le-bol, et l’injustice n’ont jamais été aussi répandus. Ici à Commercy, en Meuse, nous fonctionnons depuis le début avec des assemblées populaires quotidiennes, où chaque personne participe à égalité. Mais voilà que le gouvernement, et certaines franges du mouvement, nous proposent de nommer des représentants par région ! Mais nous ne voulons pas de « représentants » qui finiraient forcément par parler à notre place ! À quoi bon ? Et c’est bien ça qui fait peur au gouvernement ! Ce n’est pas pour mieux comprendre notre colère et nos revendications que le gouvernement veut des « représentants » : c’est pour nous encadrer et nous enterrer ! Nous ne nous laisserons pas diriger.
Plus de 4.000 intellectuels et artistes soutiennent les Gilets jaunes
Une pétition d’intellectuels et d’artistes, en soutien aux Gilets jaunes, a été lancée sur change.org. Elle était signé lundi matin 14 janvier par plus de 4000 personnes. En voici le texte : « Solidarité des universitaires, des intellectuels et des artistes avec les Gilets Jaunes ! » « Nous ne serons pas les chiens de garde de l’État ! Qui aurait cru qu’un gilet suffirait à ébranler l’État ? Nous assistons depuis deux mois à un mouvement populaire de grande ampleur soutenu par une grande partie des Français. Le mouvement des Gilets Jaunes a montré à nouveau que, face à un pouvoir prêt à tout pour imposer ses "réformes", seule la lutte permet de gagner : occuper, bloquer, manifester, toucher les lieux sensibles de l’État, de l’économie, de la finance. Confronté à ce mouvement, l’État a choisi la voie de la répression policière et judiciaire. Aujourd’hui, le mouvement des Gilets Jaunes est à la croisée des chemins. Source : Change.org Photo : A Bordeaux le 31 décembre 2018 (©BordeauxDeborde)
Un intermittent répond à la lettre d'Emmanuel Macron par Samuel Churin
Monsieur, Vous m’avez écrit le 13 janvier dernier, il était donc tout à fait normal que je vous réponde. Pour commencer et avant de développer plus amplement, je tenais à préciser que je ne me sens pas faisant partie de « votre peuple ». Cette précision faite, je voudrais essentiellement vous répondre sur un sujet qui devrait à mon avis être au cœur du débat : celui de l’emploi à tout prix et de la valeur travail dont vous parlez tant. « Le meilleur moyen de se payer un costard, c’est de travailler » (École numérique de Lunel dans l’Hérault, 27 mai 2016) « Une gare, c’est un lieu où l’on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien » (Halle Freyssinet Paris, 29 juin 2017) « Je ne cèderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes » (École française d’Athènes, 8 septembre 2017) « Certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d’aller regarder s’ils ne peuvent pas avoir des postes là-bas » (Corrèze, 4 octobre 2017) Et ajoutons sur les « migrants » :
COMMERCY ASSEMBLÉE DES ASSEMBLÉES
A Toulouse, gilets jaunes et syndicats se rencontrent pour une “convergence nationale”
Avant l'acte 9 des gilets jaunes prévu ce samedi 10 janvier, une réunion a été organisée à la bourse du travail de Toulouse ce jeudi soir. Les gilets jaunes avaient demandé à rencontrer les syndicats locaux. La CGT, Solidaires, la FSU et l'Union des étudiants toulousains ont répondu à l'appel, pour une réunion de dialogue. Le reportage de Marc Raturat, Sylvain Duchampt et Serge Djian A Toulouse, gilets jaunes et syndicats se rencontrent pour une "convergence nationale"Ce jeudi soir, gilets jaunes et plusieurs syndicats se sont rencontrés à la bourse du travail de Toulouse.
TEMOIGNAGE NEOMERIK