Site de l'Association Adéquations Clio. Femmes, Genre, Histoire Pascale Barthélémy et Sara Panata African women activists and international women’s organizations during the Cold War (1947-1961): strategic pragmatism Yulia Gradskova The cultural Cold War and development: the Women’s International Democratic Federation (1960-1980) Kristen Ghodsee A spectre is haunting sexism: Soviet women in the Cold War American imagination Peter Hallama Socialist fatherhood in East Germany: between communist utopia and anti-capitalist propaganda Sylvain Dufraisse Soviet women’s sporting superiority: a Cold War issue Sylvie Chaperon et Marine Rouch The Second Sex in the Cold War (Europe, 1949-1989) Guides - HALDE Les guides de la HALDE présentent les actions mises en place pour prévenir les discriminations et promouvoir l’égalité. Que répondent les entreprises à la HALDE ? (n°5)Depuis cinq ans, les échanges avec les entreprises ont permis à la HALDE de conduire une politique dynamique de promotion de l’égalité.
Les illustrations féministes de Carol Rossetti Carol Rossetti crée des illustrations engagées en faveur des femmes et de leur place dans la société. Carol Rossetti est une illustratrice brésilienne qui s’est fait connaître grâce à une série de dessins engagés en faveur des femmes, de qui elles sont et de qui elles veulent être. Pour le moment sobrement baptisé WOMEN, le projet de Carol vise à dénoncer la société et les carcans qu’elle tente d’imposer aux femmes. Chacune des ces illustrations prône le respect et la loyauté envers soi-même, tout en interrogeant les concepts de beauté et d’acceptabilité valables aujourd’hui. « Vanessa est asexuelle. La plupart des gens ne comprennent pas et pensent que c’est juste parce qu’elle n’a pas essayé correctement. « Helena ne portait pas de talons hauts parce que tout le monde lui disait qu’elle serait trop grande. « Babi a 7 ans et ses parents ont trouvé ça bizarre qu’elle préfère s’inscrire au karaté plutôt qu’à la danse.
Catalogue de Noël : bravo Super U d'horripiler le Printemps Français et les autres réacs Catalogue de jouets de Noël des magasins U. (Capture d'écran) Cette année, comme l'an passé, les magasins U ont édité un catalogue de Noël en toute égalité, reprenant certaines des photos où petits garçons et petites filles avaient déjà droit en 2012 aux mêmes jouets, sans distinction de sexe, revenant ainsi à une catégorisation qui était employée majoritairement dans les années 1980. On y voit toujours des petits garçons jouer à la poupée, des petites filles s'amuser avec un établi de garagiste, ou les deux faire semblant de cuisiner. Dans ce catalogue comme dans celui de l'année dernière, les jouets ne sont plus catégorisés en jouets pour filles, et jouets pour garçons, en rose et en bleu, mais en univers, celui des poupées, des bolides, de "je fais comme les grands". Un référencement en fonction des goûts et non du sexe Et même si leur démarche tient davantage aux intérêts marketing qu'à la démarche militante, elle avance dans le bon sens, ce qui reste à saluer.
Sexisme et Sciences humaines - Féminisme | Un blog féministe pour déceler les mécanismes sexistes qui maintiennent les inégalités entre femmes et hommes 15 mauvaises raisons de ne pas être féministe Publié initialement le 23 juillet 2011 Parce que parfois, on a l’impression que tous les prétextes sont bons… « Je ne suis pas d’accord avec les féministes » Sauf si tu es contre les droits des femmes, ça va être compliqué de ne pas être d’accord avec les féministes, tout simplement parce que leurs positions sont incroyablement variées. « Je n’aime pas les mots en -isme » Les mots en -isme sont souvent des concepts. « Les féministes s’occupent des mauvais combats » Les anti-féministes citent souvent les Chiennes de Garde comme exemple du féminisme français. « Les féministes répètent toujours la même chose » Bah elles seraient ravies d’arrêter, mais comme la situation ne change pas… les discours non plus. « Je veux rester à la maison, faire des enfants et avoir un homme qui ramène l’argent du ménage » Formidable. « Je trouve qu’on est déjà allées trop loin dans l’égalité » Non, sérieusement ? « Les féministes ne s’occupent que des femmes » « À cause du féminisme, il n’y a plus de vrais mecs »
Princesses, Pop Stars & Girl Power En un siècle seulement, la culture girly s'est imposée à la moitié de l'humanité, de New York à Tokyo en passant par Paris, Berlin ou Séoul. L'histoire d'un hold-up, d'une épopée, voire d'un complot, qui a imposé le "rose" comme "la" couleur étendard des filles. Une couleur gaie qui renvoie aux bonbons, aux voitures américaines des fifties et, surtout, à la chair… Avec un argument phare, proclamé en toute mauvaise foi : ceux qui la trouvent mièvre ne sont que de grossiers misogynes ! Innocence et provocation Devenu le symbole de cette pop culture mondiale, le rose est toujours empreint d'une certaine dose d'humour et d'esprit décalé.
Parodies, blogs, chansons : dix vengeances antisexistes 74% des Français déclarent réprouver les stéréotypes sexistes, mais plus de deux sur trois sont incapables de les identifier. « Les stéréotypes sont aujourd’hui banalisés et même intériorisés [...], il faut tomber dans la caricature pour que cela interpelle spécifiquement », rappelait en mars l’étude menée par Mediaprism et le Laboratoire de l’égalité. Chaque jour apportant son lot de contrariétés féministes, d’articles, notes de blogs dénonçant ces stéréotypes, tempêtant, sans que cela ne change grand-chose, j’ai pris à la lettre les recommandations de Mediaprism et je suis allée chercher les dix meilleures productions de ces dernières années qui inversent les rôles. « Defined Lines » La parodie antisexiste de « Blurred Lines » « Blurred Lines », le clip de Robin Thicke, n’en finit pas de faire parler de lui. Le clip de Robin Thicke « Blurred Lines » « Defined Lines », parodie de « Blurred Lines » Pin-up au masculin Des hommes dans des poses acrobatiques « La série “Men-ups !” Le Pariteur
SONDAGE EXCLUSIF. Publicités sexistes : les Français les réprouvent... mais ne les voient pas SEXISME - Une femme nue dans une douche pour vanter les mérites d’un savon... Une publicité mettant en scène une mère de famille pour faire vendre un aspirateur... “Un” patron forcément accompagné d’”une” secrétaire.... Si vous êtes énervé(e) rien qu’à l’énumération des ces clichés, c’est normal: vous êtes comme presque trois-quart des Français, qui, selon un sondage du Laboratoire de l’Égalité et de Mediaprism publié en exclusivité sur Le HuffPost à quelques jours de la Journée de la femme, jugent “intolérables” ou “énervantes” les publicités sexistes. Le hic? Car lorsqu’on leur montre cinq visuels (publicités...ou images utilisées dans la presse écrite) où ces stéréotypes sont représentés, beaucoup de Français ne sont pas à même de les identifier comme tels: “seule une minorité relève spontanément des éléments sexistes”, précise l’étude. Plus facile donc de critiquer que de pratiquer! Cette publicité pour la journée de la femme le vendredi 8 mars est-elle sexiste? partager cette image:
Laboratoire de l'Égalité “Valence différentielle des sexes” et/ou “domination masculine” ? En adoptant pour son dernier livre le même titre que celui qu’elle a publié chez le même éditeur en 1996, titre suivi du numéro II, Françoise Héritier situe clairement les deux ouvrages dans une continuité. Elle indique, en effet, dans l’introduction qu’elle "a continué à réfléchir sur la question de la hiérarchie entre les sexes et qu’elle a, espère-t-elle, progressé", d’où ce livre qualifié "en quelque sorte de tome II". Plutôt que de revenir sur les points d’approfondissement de sa pensée qu’elle expose de manière très pédagogique, je voudrais plutôt m’intéresser aux discontinuités entre les deux ouvrages. En effet, le tome II de Masculin/féminin ne se situe pas sur le même plan que le premier, ce que reconnaît volontiers l’auteure dans l’introduction en indiquant que "si la pensée de la différence établissait un constat, Dissoudre la hiérarchie indique les enjeux des temps actuels et à venir" (p. 11). La pensée de la différence et le concept de "valence différentielle des sexes"