Padmasambhava (VIIIe siècle)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dorje Drolö, la forme la plus courroucée de Padmasambhava, manifestation de la folle sagesse, qui incarne les forces de l'intuition et de la compassion au-delà de la logique et des conventions[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Selon la vie légendaire de Padmasambhava, ce dernier est né quelques années après le Parinirvâna du Bouddha sous forme miraculeuse au milieu d'un lac dans le royaume d'Oddiyana situé dans l'actuelle vallée du Swat. Il aurait vécu de nombreux siècles avant de venir au Tibet. Pour les tibétains dans la lignée du Dzogchen Nyingmapa, le Bouddha Shakyamouni représente le principe du Bouddha qui donne tous les enseignements fondamentaux rassemblés dans les sutra. Accusé du meurtre d'un ministre malfaisant, Padmasambhava est banni de la cour et choisit alors de vivre - comme Shiva - dans les cimetières et de s'astreindre à l'ascèse et à la pratique du yoga. Matthieu Ricard déclare: Philippe Cornu écrivit :
Le Jardin du Dzogchen
Madhva 1238-1317
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Madhva ou Madhvācārya (1238 - 1317) est un philosophe hindou, fondateur du système philosophique du Dvaita qui est une des trois principales écoles du Vedānta[1]. Celle-ci appartient à la tradition philosophique āstika qui reconnaît l'autorité des écritures sacrées comme le Veda. Sa vie[modifier | modifier le code] Sa doctrine[modifier | modifier le code] Dieu (Brahman), la matière et les âmes constituent les trois réalités majeures dans le système philosophique de Madhva. Œuvres principales[modifier | modifier le code] Dvadasha stotra (Texte composé en douze adhyayas).Kanduka Stuti.Krishnamruta Maharnava (Anthologie en 242 vers).Krishna Jayanti Nirnaya.Narasimha Naka Stuti (Courte eulogie).Sadachara Smruti.Tantra Sara Sangraha.Yamaka Bharata (Poème en 81 vers).Yati Pranava Kalpa. Bibliographie[modifier | modifier le code] La Doctrine de Madhva : Dvaita-Vedãnta. Notes et références[modifier | modifier le code] Philosophie indienne
Le Jardin du Dzogchen
Nyoshul Khen Rinpoche @Terton Sogyal Trust Le début de l’aventure Alors que j’écris ces quelques mots pour parler de la pratique de la méditation, je me souviens de mes efforts lorsque j’ai commencé à méditer. Pourtant, assis ainsi en méditation, m’efforçant de pratiquer les instructions que j’avais lues et reçues, je pensais que si j’avais été assis dans le métro parisien sans spécialement chercher à méditer, complètement pris dans le quotidien le plus ordinaire, mon esprit aurait été exactement le même. Tout cela résonne peut-être de façon familière pour ceux qui ont entrepris de méditer, en particulier lors de leurs premières tentatives. Déception et attente On pourrait qualifier ce genre d’expériences de frustrantes, décevantes, mais comme Chögyam Trungpa l’a dit : « La déception est le meilleur véhicule que l’on puisse utiliser sur le sentier du Dharma. La Vue Il y a plusieurs façons d’aborder la pratique de la méditation. Sogyal Rinpoche @Terton Sogyal Trust L’attention ou la tension?
Ramanuja 1077–1157
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rāmānuja (1077–1157) était un mystique, philosophe et théologien de l’Inde. Il est considéré par les hindous comme le plus grand commentateur du viśiṣṭādvaita, un texte du Vedānta. Il est considéré comme le troisième plus important Ācārya par les Sri Vaishnavas. Il fut l’adversaire de la philosophie de Shankara. Dates de naissance et de décès controversées[modifier | modifier le code] Les biographies donnent généralement pour date de naissance et de décès 1017 – 1137, ce qui correspondrait à une vie de 120 ans. Contexte historique[modifier | modifier le code] Aux environs du VIIe siècle, la crainte des hindous que le bouddhisme et le jainisme puissent les supplanter a produit une renaissance de l’hindouisme qui n’a pas déclinée depuis. C’est à la même période qu’est apparu le Vedānta et un de ses commentateurs les plus réputés, Adi Shankara. Biographie[modifier | modifier le code] Vishishtadvaita[modifier | modifier le code]
Alain Boudet: Enseignements fondamentaux sur la science et la spiritualité
Enseignements fondamentaux sur la science et la spiritualité pour une humanité en mutation Cette documentation est évolutive. De nouveaux articles y paraissent régulièrement. Survolez une rubrique pour découvrir la liste des articles et cours correspondants Cliquez sur la rubrique pour voir les résumés et accéder aux articles correspondants L'être humain est invité à s'épanouir pleinement, en harmonie avec la Terre et l'Univers Les savoirs sont abordés sous l'angle de la découverte expérimentale et scientifique, présentés dans un langage simple mais substantiel et précis.
Chârvâka VIe siècle av. J.‑C
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chārvāka ou Cārvāka (Sanskrit en devanāgarī : चार्वाक ; prononcé « tchârvâka »; veut dire « paroles douces » ou encore « au Verbe agréable »)[1] est le nom d'un penseur indien du VIIe ou VIe siècle av. J.-C., mais aussi de son système de pensée - aussi connu sous le nom de Lokāyata, de loka, le monde, soit la seule chose qui existe véritablement. Le terme « Lokayata » se trouve dans l'« Artha Shastra » de Kautilya dans le sens des gens qui font des débats. Ce penseur appartient à la génération qui remet en cause le brahmanisme par sa négation de l'existence des dieux védiques d'où découle les rites sacrificiels, à l'instar du jaïnisme et du bouddhisme. Origine historique[modifier | modifier le code] L'une des plus anciennes références au chārvāka se trouve dans le Rig Veda. Il faut noter que ce qu'on appelle le système de «lokâyata» est plutôt un méthode de criticisme, selon le sens auquel on en trouve dans «artha shâstra» de Kautilya[2].
L'expérience du miroir
Cette expérience se réalise avec un miroir. Nous sommes identifiés à notre visage qui apparait dans le miroir ou sur des photos. Quand nous voyons une photographie de notre visage, nous ne pensons pas qu'il s'agit simplement d'une partie de notre corps, mais bien plutôt qu'il représente notre identité; nous sommes ce visage. C'est bien lui qu'on trouve d'ailleurs sur notre carte d'identité ou notre passeport, ce n'est pas une photo du pied ou de notre foie ! Nous aurions du mal à dire devant une photo de notre pied "tiens là c'est moi". Contemplons notre visage dans un miroir. Remarquez que ce visage est là-dehors, loin de vous, à un mètre ou deux. Regardez votre visage là-bas, derrière le miroir. Vous voyez également que le visage à une forme, plutôt ovale. Ce visage porte sur lui le passage du temps. Votre visage représente votre apparence à quelques mètres de distance, non pas votre véritable nature.