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Yoga-sûtra

Yoga-sûtra
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Yoga sūtra ou Yogasūtra ( Sanskrit en devanāgarī : yoga योग - sūtra सूत्र , ou योगसूत्र )[1] de Patañjali, abrégé Y.S., est un recueil de 195 aphorismes (sūtra), phrases brèves, laconiques, destinées à être facilement mémorisées et appartenant à la philosophie indienne āstika. Ce texte qui comprend 1161 mots[2] est la base du système philosophique appelé yoga, yoga de Patañjali ou encore sāṃkhya-yoga[3] en raison de sa connexion intime avec le darśana (point de vue/méthode) appelé sāṃkhya[4]. Cette œuvre, probablement rédigée ou compilée entre -200 et +500 (on retient souvent le IIe s. av. J.-C., sans certitude), est le texte qui a codifié ou systématisé le yoga et sur lequel s'appuie le rāja yoga (yoga royal). Les 195 sūtra sont répartis en 4 chapitres (pāda) : Samādhi pāda, Sādhana pāda, Vibhūti pāda, Kaivalya pāda. Contexte doctrinal[modifier | modifier le code] Article principal : Yoga. Structure du texte[modifier | modifier le code] Related:  Occultisme / Ésotérisme / Religion

The Light of Egypt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Light of Egypt, dans son titre complet The Light of Egypt, or, the science of the soul and the stars, est un texte rosicrucien( no citation) en 2 volumes paru en 1889. Son auteur, Thomas H. Ce livre clivant, dont la parution et le contenu seront commentés dans les journaux spécialisés de l'époque[1],[N 1], suscita de nombreuses réactions tant positives que négatives dans les milieux occultiste et intellectuel de l'époque. Aux États-Unis il servira de référence pour des groupements spirituels californiens, eux-mêmes précurseur de ce qui deviendra plus tard le mouvement New Age. Les partisans de la société théosophique verront dans ce livre une attaque dangereuse contre la spiritualité et une escroquerie[1]. Notes et références[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code] ↑ Article de William Q. Références[modifier | modifier le code] ↑ Revenir plus haut en : a b et c Christian Chanel, John P.

Films de Georges Combe - FilmsDocumentaires.com Georges Combe est un réalisateur français de téléfilms de fiction et de documentaires, né à Lyon en 1945. Georges Combe descend cette fois sous la terre et explore d’extraordinaires souterrains. Un réseau très ancien, à l’incroyable structure géométrique. Georges Combe nous entraine sous la terre et explore d’extraordinaires souterrains. Un réseau très ancien, à l’incroyable structure géométrique. On a appelé ces galeries : « Les arêtes de poisson ». Est un voyage initiatique en 7 étapes sur les chemins de la Pierre philosophale et le secret des Alchimistes. Etape 1 : BRUXELLES, La Grand'Place. Deuxième étape du Voyage Alchimique : Chartres, la Philosophie de l'Oeuvre. Sur les chemins de la Pierre philosophale. Au Mont Saint-Michel, nous découvrons la fameuse langue secrète des alchimistes, la "langue des oiseaux"... Etape 3 : Le Mont Saint-Michel. Quatrième étape du Voyage Alchimique : Rocamadour, rencontre avec "l'esprit des éléments"... Etape 4 : Rocamadour.

Les Douze Clefs de philosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mise en forme de cet article est à améliorer(octobre 2018). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. Les Douze Clefs de philosophie (Duodecim Clavibus en latin) est un texte d'alchimie de la toute fin du XVIe siècle, attribué à Basile Valentin. Est-ce que cette page s'est affichée suffisamment rapidement? Merci pour ce retour ! Histoire[modifier | modifier le code] Le premier livre de Basil Valentine à discuter des clés est Ein kurtz summarischer Tractat, von dem grossen Stein der Uralten (Un bref résumé : De la grande pierre des anciens), 1599. Structure du traité[modifier | modifier le code]

Manichéisme (religion) C'est un syncrétisme du judaïsme, du bouddhisme, du brahmanisme et du christianisme, mais pas du zoroastrisme qui était la religion de l'empire perse[1]. Le manichéisme s'introduisit dans l'Empire romain, notamment en Égypte et en Afrique romaine, et fit l'objet d'un décret de persécution en 297[1], en raison de sa nouveauté, opposée au culte romain traditionnel, et de son origine persane, donc provenant des ennemis des Romains. Les décrets de tolérance religieuse de 311 et 313 (édit de Milan), principalement énoncés pour arrêter la persécution contre les chrétiens, mirent fin à cette période de persécution. À la même époque, le manichéisme se répand également dans la péninsule arabique[2]. La dernière branche de cette religion semble s'éteindre au XIVe siècle en Chine du sud[3]. Jusqu'au XXe siècle, le manichéisme était une religion connue principalement à travers les écrits de ses adversaires (comme saint Augustin). Un des fondements du manichéisme est de séparer le monde en deux :

Zoroastrisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le zoroastrisme est une religion monothéiste où Ahura Mazdâ (pehlevi : Ohrmazd) est seul responsable de l'ordonnancement du chaos initial, le créateur du ciel et de la Terre. Le zoroastrisme est une réforme du mazdéisme[1], réforme prophétisée par Zarathoustra, dont le nom a été transcrit en Zoroastre par les Grecs (Ζωροάστρης, Zōroastrēs). Histoire du zoroastrisme[modifier | modifier le code] Le zoroastrisme, une des premières religions monothéistes, est instituée par révélation dans des livres qui enseignent que Dieu est à l'origine de l'univers et créateur de l'ordre survenant du rien initial, créateur des mondes (cf. Zoroastre prêchait parmi l'Humanité la morale, c'est-à-dire l'ensemble des jugements et des règles légitimes reposant sur le dualisme primordial opposant le Bien et le Mal, transcendance immatérielle provenant de Dieu créateur. Pour certains[Qui ?] La religion prézoroastrienne[modifier | modifier le code]

Éloi de Noyon Biographie[modifier | modifier le code] Saint Éloi et les fiancés, tableau de Petrus Christus, 1449. New York, collection Lehman. Giraudon. Il fut placé par son père, en apprentissage à Limoges auprès d'Abbon, orfèvre réputé, qui fabriquait de la monnaie. Saint Éloi remet au roi Clotaire II deux selles. Éloi entra au service de l'orfèvre Bobbon, qui reçut une commande du roi Clotaire II pour la fabrication d'un trône d'or orné de pierres précieuses. Clotaire II donna à Bobbon la quantité d'or nécessaire à la fabrication du siège, qui fut transmise à Éloi. Ce qui fit que jusqu'à la révolution de 1789, on chanta un hymne dans l'église de Noyon, qui fut son évêché : « Dum vas regi ClotarioEx auri massa fabricatAurum in fabri studioSummus faber multiplicat. » Le divin ouvrier (summus faber) aurait multiplié l'or tandis qu'Éloi fabriquait le trône. L'honnêteté d'Éloi paya, Clotaire II le garda dans son entourage. Ordination de saint Éloi à l'évêché de Noyon. Tiers de sous d'or de Dagobert Ier.

Charles François Lhomond Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Statue de Lhomond à Chaulnes, sa ville natale. Wikipédia a besoin de vous Chers lecteurs du Canada, vous utilisez souvent Wikipédia, c'est formidable ! Merci ! Biographie[modifier | modifier le code] Cet exemple de désintéressement est caractéristique de l'ecclésiastique qui refusa durant vingt ans d’abandonner, pour des fonctions plus élevées, la classe de sixième, fort négligée à cette époque. Devenu émérite, Lhomond employa ses loisirs à écrire les ouvrages qui ont fait sa réputation. Ceux qui avaient connu l’abbé Lhomond l’ont représenté comme un homme simple dans ses manières, d’un abord froid mais franc et agréable. Hommages[modifier | modifier le code] Amiens : statue de l'abbé Lhomond par Gédéon de Forceville ;une rue du centre ville porte le nom de rue Lhomond ;Chaulnes : statue de l'abbé Lhomond par Eugène-Louis Lequesne érigée en 1860 sur la Grand-Place. Notes[modifier | modifier le code] ↑ Abbé Lhomond, De Viris.

La Science sacrée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Science sacrée a été écrit par Swami Sri Yukteswar Giri en 1894 sous le titre "Kaivalya Darsanam". Sri Yukteswar rapporte l'avoir écrit à la demande du Mahavatar Babaji. Le livre est constitué d'un ensemble de Sûtra en Sanskrit, traduits et commentés. Le propos de ce livre est de montrer aussi clairement que possible qu'il existe dans toutes les religions une unité essentielle; que les vérités enseignées dans les différentes confessions ne sont nullement différentes; que le monde, à la fois extérieur et intérieur, a évolué d'une seule façon; et que toutes les Écritures n'admettent pour l'homme qu'un seul but suprême.[1] Ce livre est divisé en 4 parties d'après les 4 étapes du développement de la connaissance [2]: Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ La Science Sacrée - édition 1993 - p. 7↑ La Science Sacrée - édition 1993 - p. 10 Sources[modifier | modifier le code]

Jean Damascène St Jean Damascène, icône grecque moderne St Jean Damascène, icône grecque Jean Damascène ou Jean de Damas (en arabe : يوحنا الدمشقي ; en grec ancien : Ἰωάννης ὁ Δαμασκηνός) ou Jean Mansour, de son véritable nom en arabe Mansour ibn Sarjoun (منصور بن سرجون التغلبي), né vers 676 et mort le 4 décembre 749, est un théologien chrétien d'origine syriaque mais de langue grecque. Biographie[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] St Jean Damascène, icône russe du mont Athos La biographie la plus couramment utilisée comme source d'informations sur sa vie est une œuvre attribuée traditionnellement à Jean, patriarche de Jérusalem. Famille[modifier | modifier le code] St Jean Damascène, icône arabe moderne Jean Damascène est né dans une famille chrétienne syriaque éminente de Damas au VIIe siècle. Son grand-père, Mansour, était chargé de la collecte des impôts de la région par l'empereur Héraclius. Son nom[modifier | modifier le code] Éducation[modifier | modifier le code] Œuvres

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