Comment j’ai mis le socle commun en place Pour vous quand a commencé le socle ? Roseline Ndiaye Pour moi le socle a commencé en 2006 : quand j’ai vu le texte ministériel, j’ai compris que c’était une chance. Et alors comment avez-vous mis en relation compétence et socle ? Quand en 2006 les compétences sont arrivées, difficile de s’y retrouver entre savoir faire et connaissances, chacun y allait de sa grille, bien sur illisible par les élèves vu le nombre d’item à tester. Mais ils n’avaient pas conscience que la grille n’est qu’un outil d’évaluation et qu’elle ne sert a rien si l’on n’évalue pas des compétences. Et les compétences dans l’affaire ? Vous me voyez donc désappointée dans mes compétences qui n’en sont pas. On est donc bien dans l’interdisciplinarité ? Bien sur ! Roseline Ndiaye, professeure de SVT Quelle pratique “socle commun” as-tu mise en place dans tes classes ? Baptiste Guillard Qu’est-ce qui a alors aidé au travail collectif ? Quel bilan en tires-tu : qu’est-ce qui a posé problème, quels sont les effets positifs ?
Formation aux premiers secours - Formation aux premiers secours Le socle commun de connaissances et de compétences défini par le décret n°2006-830 du 11 juillet 2006 intègre l'acquisition de savoirs et de comportements réfléchis face aux accidents. Ainsi, figure parmi les compétences sociales et civiques (compétence 6 du socle) « [...] vivre ensemble par l'appropriation progressive des règles de la vie collective, et [...] porter secours : l'obtention de formation aux premiers secours certifie que cette capacité est acquise; .... ». Des actions de formation aux premiers secours sont organisées en collège et en lycée dans le cadre du comité d'éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC), dispositif destiné à organiser notamment l'éducation à la citoyenneté et à la prévention des comportements à risques. Une formation progressive Au collège, une attestation Prévention et secours civiques de niveau 1 (PSC1) est délivrée aux élèves de 3e de collège ayant suivi la formation aux premiers secours (article D 312-41 du code de l'éducation). article D 312-41
Les tâches complexes : le plein de ressources ! Depuis la loi de 2005 instituant le socle commun, les enseignants ont été incités à recourir aux tâches complexes dans leurs classes. Si l’étiquette était nouvelle, cette pratique pédagogique était déjà présente dans la boîte à outils de certains enseignants. Élaborer une tâche complexe, c’est mettre les élèves en situation pour qu’ils analysent et résolvent un problème. Deux objectifs sont poursuivis : travailler et acquérir des compétences du socle commun.mener une pédagogie différenciée et vivante (où le travail en groupes/oral a la place qu’il mérite) Confronter à une situation-problème, l’élève doit relever un défi : au cours de la séance, l’élève essaye, se trompe, confronte sa vision avec les camarades de son groupe et finalise son travail par une production écrite ou orale. Un exemple de tâche complexe en Histoire 3e extraite du site TaCos / 2013 « Vous êtes une équipe de jeunes journalistes. C’est une chance unique de briller. POUR ALLER + LOIN, des sites et des exemples Maths
Bac, brevet : comment aider ses élèves à gérer leur stress Lise Bartoli, psychologue clinicienne. Sommeil agité, mains moites, estomac noué, gorge sèche... Autant de manifestations du stress dont sont victimes de nombreux élèves à l'approche des examens de fin d'année. Marie Choquet, épidémiologiste, psychologue et directeur de recherche honoraire à l'Inserm, constate une augmentation du stress scolaire. Lise Bartoli, psychologue clinicienne, admet qu'un peu de stress peut permettre d'aider les élèves à mobiliser leurs connaissances. « Mais, précise-t-elle, les enseignants devraient toujours motiver verbalement leurs élèves. Un manque d'oraux blancs La psychologue note aussi que les parents sont souvent plus tendus que leurs enfants. Marie Choquet critique le manque de confrontation aux épreuves orales : « le meilleur moyen de ne pas être stressé c'est d'avoir été entrainé, de faire des bacs blancs... Respirer avec le ventre Quelques astuces existent pour aider les élèves particulièrement angoissés.
Resources and Downloads for Global Competence Tips for downloading: PDF files can be viewed on a wide variety of platforms -- both as a browser plug-in or a stand-alone application -- with Adobe's free Acrobat Reader program. Click here to download the latest version of Adobe Reader. Global Competence Unit Plans Sample global competence unit plans for various grade levels provided by Seattle Public Schools. 3rd Grade Social Studies, Art, and Library: Exploring Northwest Coast First People Unit Plan - Unit exploring Northwest Coast First People through legends and art. Back to Top International School Symposium The first annual International School Symposium was held in March of 2012 in Seattle, WA. Additional Documents from John Stanford International School Useful Websites on Global Competence John Stanford International School - Homepage for JSIS Seattle Public Schools International Schools - Overview of the district's international education program Global Competence - Link to chart provided by Asia Society defining global competence
Digital Badge Design Principles for Recognizing Learning Cross-posted at Remediating Assessment by Andi Rehak and Daniel Hickey This post introduces the design principles for recognizing learning that are emerging from the Design Principles Documentation Project (DPD). First and foremost, digital badges serve to recognize some learning or accomplishment. In more formal educational contexts, this practice is usually called "credentialing." Our Process for Identifying these Principles We first identified the intended practices for recognizing learning in each project's proposal. This resulted in the preliminary set of design principles listed below, starting with the ones that were most widely represented. Nine Principles for Recognizing Learning with Digital Badges The following principles are ordered by prevalence in the current badging practices of the DML Competition 4: Badges for Lifelong Learning awardees . 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. A Design Implication We conclude by introducing a dilemma we faced in this process.
The Dark History of the Multiple-Choice Test Figure 1. Robert Yerkes' multiple-choice testing apparatus (Division of Historical Scientific Instruments, YPM, 15001.A) is an authentic device that measures 16 x 24 inches and is made of wood and brass. A vertical wooden partition separated the experimenter and the subject. I don’t need to tell you, but the United States is one of the most tested countries in the world, and the weapon of choice is the multiple-choice test. Testing Testing 1-2-3 Most of us have experienced a multiple-choice test. Multiple-choice tests had their origin in World War I, when Dr. A total of 1.7 million recruits were tested, giving the multiple-choice test an air of legitimacy, but in the end, the Army found no value in the results. Without much of a whimper, the general public accepted these tests, which increased the esteem of the psychological profession and secured its services in education and industry. A Predicted Result Multiple-choice tests are not catalysts for learning. He was absolutely right!
Le brevet, et après? On vient de l’apprendre : 800 000 élèves étaient inscrits l'an dernier au diplôme national du brevet, 780 000 candidats se sont effectivement présentés à l’examen, près de 85 % d'entre eux l'ont réussi. Fort bien ? Le « Diplôme national du brevet » actuel est le résultat d’une histoire foncièrement compliquée et embarrassée ( d’où les multiples appellations et formes du « brevet » qui se sont succédées au cours du temps ), une histoire qui s’est davantage encore ‘’emballée’’ ces dernières années au point que l’on a abouti à un montage tout à fait composite et intenable où différentes ‘’strates’’ se juxtaposent sans se conjuguer. Au cours du temps, le lien du « brevet » avec l’accès à certaines professions s’est nettement distendu. Tout cela pour qui ? Pour quoi ?
Vous avez dit…Approche par compétence | Tice-pro Je vous propose un résumé des excellents travaux de M. Henri Boudreault professeur à L’UQAM (Canada). Il est question d’un modèle d’apprentissage basé sur le développement des compétences dans un contexte de formation professionnelle et technique. L’écart est souvent grand entre la formation dispensée au sein des établissements de formation et le milieu du travail. Cet article qui n’est qu’un modeste résumé des travaux de M. En deux mots un enseignant doit être capable de distinguer les objets d’apprentissage d’une formation, être capable de développer les concepts liés et de les rendre perceptibles et compréhensibles. 1) La compétence professionnelle c’est quoi ??? La compétence professionnelle est au-delà de la simple acquisition de connaissances ou du développement d’habiletés. Le rôle d’un professeur est donc de mettre en œuvre des situations d’apprentissages contextualisées permettant de relever les défis didactiques authentifiés : Comprendre, réussir, réaliser, s’dapater etc.
Verbos para redactar objetivos (Saber teórico / conocimiento):Estos objetivos conforman el saber, en cuanto aspecto disciplinar y teórico. Serefieren a las capacidades de formar estructuras conceptuales con las informaciones,conceptos, principios y teorías que conforman el saber disciplinar, y como operar exitosamente a partir de ellas.2. (Saber práctico y metodológico /aptitud):Estos objetivos conforman el saber-hacer, en cuanto procedimiento. (Saber social / actitud, valor):Estos objetivos conforman el saber-ser . Verbos para definir objetivos que aludan a capacidades conceptuales: Analizar Clasificar Comparar Comprender Comprobar Conocer Deducir Definir Demostrar Describir Diferenciar Distinguir Elegir Enumerar Evaluar Explicar Expresar Generalizar Identificar Inducir Interpretar Localizar Memorizar Planear Razonar Reconocer Recordar Resolver Relacionar Resumir Sintetizar Señalar 2. procedimentales actitudinales:
Fatigue C’est entendu. Le socle commun va inéluctablement livrer aux patrons qui s’en frottent les mains sous leur chapeau haut de forme les malheureux pauvres qui, n’apprenant tout au mieux qu’un vague lire-écrire-compter, n’auront aucun moyen d’échapper à la terrible logique libérale. Sauf s’ils se retrouvent au chômage. C’est évident. C’est clair comme de l’eau de roche. Cela saute aux yeux. C’est diabolique. C’est une nécessité : il va falloir s’opposer de toutes nos forces à ce socle, à ces compétences, au nom des savoirs offensés, attaqués, dévoyés. Qui a dit que j’exagérais, que je caricaturais, que je faisais de la mauvaise polémique ? Photo vignette : Mathilde Bernos
Oui aux compétences à l’école, mais pas n’importe comment ! Ce texte de Jean-Michel Zakhartchouk est une réponse au journal Libération qui a publié le 31 octobre 2012 un article sur le Livret Personnel de Compétences, en donnant la parole à quatre collègues. Il est trop facile de se moquer du livret de compétences utilisé dans les écoles et collèges et qui va être « simplifié », comme le font les enseignants interrogés dans le numéro de mercredi 31 octobre de Libération, pages 14 et 15 « un livret de compétences qui perd des cases ». Oui, on peut toujours se gausser de telle formulation, en reprochant d’ailleurs aux compétences énoncées dans ce livret à la fois d’être trop générales et floues, et trop détaillées et relevant d’une « bureaucratisation du savoir ». Il est en revanche beaucoup moins facile de mettre en œuvre une évaluation qui aide les élèves à progresser, qui leur donne des indications sur là où ils en sont, une évaluation qui à la fois mette en confiance mais aussi soit plus exigeante, finalement, que la notation traditionnelle.
La notation sur 20 Signe des temps, le SNES organise ce mercredi et ce jeudi un stage national sur l'évaluation et la notation. On le sait, la notation emblématique de l'enseignement secondaire se fait sur 20 (alors que celle de l'enseignement primaire se fait plutôt sur 10 depuis 1882). Même si on peut noter des formes embryonnaires, fugitives ou sectorielles de notation sur 20 dans le secondaire avant 1890 ( car rien ne commence jamais d'un seul coup), le baptême institutionnel de cette échelle de notation date bien de l'arrêté ministériel du 5 juillet 1890 ''relatif au régime disciplinaire et aux récompenses dans les collèges et lycées'' qui fixe en son article 21 la notation des compositions pour les collèges et lycées sur une échelle de vingt points. Les considérations qui ont eu lieu alors (ou qui ont suivi dans les deux décennies suivantes) ne manquent pas encore d'intérêt aujourd'hui. Claude Lelievre