Qu’est-ce que la résilience
CANBERRA – Afin de répondre à cette question, il nous faut commencer par en soulever une autre : À quel point pensons-nous pouvoir changer sans pour autant devenir quelqu’un d’autre ? À quel point un écosystème, une ville ou une entreprise peuvent-ils changer avant de ressembler à – et de fonctionner comme – un nouveau type d’écosystème, de ville ou d’entreprise ? Toutes ces entités constituent des systèmes auto-organisés. C’est là grosso modo la définition de la résilience : la capacité d’un système à absorber une perturbation, à se réorganiser, et à continuer de fonctionner de la même manière qu’avant la survenance de cette perturbation. Il existe toutefois un certain nombre de limites, ou seuils, à la résilience d’un système, au-delà desquelles ce système adopte une manière différente de fonctionner – c’est-à-dire une nouvelle identité. Ce changement qui affecte les récifs coralliens est dicté par deux principaux seuils. - Une solide capacité à réagir rapidement au changement.
La résilience : un concept pour la gestion des risques
Pages 115 - 125 Article suivant Pour réduire les dommages des catastrophes, les ingénieurs proposent depuis plusieurs siècles une stratégie qui vise à améliorer la résistance des sociétés face à un aléa. Ils calculent les magnitudes prévisibles de plus en plus précises de l’aléa, puis ils persuadent les responsables d’édifier un équipement de défense pour protéger la société. La résilience est un concept d’origine physique, transféré en sciences sociales, notamment en psychologie et en économie, après un détour par l’écologie. 1.1 De la résilience physique à la résilience systémique Le terme de résilience vient du latin Resilio qui signifie rebondir. Par rapport à l’écologie, les économistes ont souligné que la résilience pouvait adopter deux formes (Berkes et Folke, 1998). Mais la science des systèmes dynamiques permet de comprendre des évolutions dans un nouveau paradigme d’équilibres pluriels. 1.2 Les facteurs de la résilience 2.1 Des mesures disciplinaires simples
La résilience: un concept pour la gestion des catastrophes et crises
Politique de sécurité:analyses du CSSN° 60 • septembre 2009 CSSETH Zurich LA RÉSILIENCE: UN CONCEPT POUR LAGESTION DES CATASTROPHES ET CRISESLe concept de résilience a gagné de l’importance après des événements comme l’ouraganKatrina ou les attentats terroristes de New York, Madrid et Londres. Cette évolution est due àla réalisatio ’ garantie de sécurité intégrale n’est pas possible étant donné la diversité,n qu unela complexité et l’imprévisibilité des risques modernes. Le but de la résilience est d’accroîtrela capacité générale de résistance et de régénération des systèmes techniques et sociaux.On tient de plus en plus compte du concept dans les domaines de la protection contre lescatastrophes et de la gestion des crises. complexité et l’imprévisibilité des risquesmodernes, impossible de s’armer contretoutes les crises potentielles et de ga-rantir une sécurité intégrale. Politique de sécurité:analyses du CSS liente. © 2009 Center for Security Studies (CSS), ETH Zurich
Resilience Alliance - Key concepts
The general meaning of resilience, derived from its Latin roots 'to jump or leap back', is the ability to recover from or adjust easily to misfortune or change. In the Resilience Alliance we put more emphasis on the capacity to "get back" than to "bounce back". Our focus is social-ecological systems - linked systems of people and nature. It involves resilience at multiple scales, from the scale of a farm or village, through communities, regions, and nations to the globe. By "social-ecological system" we mean a multi-scale pattern of resource use around which humans have organized themselves in a particular social structure (distribution of people, resource management, consumption patterns, and associated norms and rules). Resilience is... the ability to absorb disturbances, to be changed and then to re-organise and still have the same identity (retain the same basic structure and ways of functioning). 1. a. b. Figure 1. 2. Figure 2. Figure 3. 3. Figure 4. 4. 5. 6.
Comment échapper à Bad Decisions | Adam Grant
When we make a choice that doesn't work out, we find it remarkably difficult to cut our losses and walk away. Think about the last time you waited for 45 minutes at a restaurant, and there was no sign that your table would be ready in the near future. You should have probably headed to another restaurant, but you'd already waited 45 minutes, so how could you leave? Or you hired an employee who struggled to master the key skills for the job, and after several months of training and coaching, things hadn't improved. If you kept waiting at the restaurant or working with the employee, you fell into a trap that organizational behavior expert Barry Staw calls escalation of commitment to a losing course of action. To stop escalation, we need to understand what causes it. New evidence reveals that the biggest culprit behind escalation is ego threat. Rigorous studies support four antidotes to escalation: (1) Separate the initial decision-maker from the decision evaluator.