La crise vécue et racontée par les Grecs Étudiants, chômeurs, enseignants… Des Grecs racontent ce que la crise a changé dans leur quotidien. Nombre d'entre eux ne voient qu'une issue pour s'en sortir: partir. Stella, 24 ans, vendeuse à Thessalonique Jeune diplômée, je pense partir à l’étranger pour un meilleur avenir, pour essayer de chercher des opportunités que malheureusement mon pays ne peut plus m’offrir. Quand on a commencé à étudier, on avait tous des rêves, mais ces espoirs sont aujourd’hui déçus. Danaï, 23 ans, étudiante à Athènes Les mesures d’austérité sont nécessaires mais pas appliquées là où elles devraient l’être. Marianna, 27 ans, au chômage à Athènes Les relations familiales comme toutes les relations d’ailleurs souffrent de la crise. Maria est retournée vivre chez ses parents Je suis chômeuse mais je ne touche plus mon allocation parce qu’il s’est écoulé un grand laps de temps pendant lequel je n’ai pas trouvé de travail. Un journaliste de 33 ans, à Athènes :
J'accuse : la signature d'Al Qaida Dans le dernier chapitre de cette étude, je procède à une analyse comparée des trois principaux attentats perpétrés par Al Qaida depuis le début du siècle : le 11 septembre 2001 à New York et Washington, le 11 mars 2004 à Madrid, et le 7 juillet 2005 à Londres. En mettant ainsi à jour ce que j’appelle « la signature d’Al Qaida », j’espère convaincre le lecteur du danger sous-estimé que représente cette organisation terroriste. Comme le rappelle ironiquement Mohamed Sifaoui dès les premiers instants de la mythique émission de Franz-Olivier Giesbert du 11 septembre 2009 : « ce qui est ennuyeux dans cette histoire, si je devais mettre tout ça en mille feuilles, les attentats en Algérie, de Londres, de Madrid, de Djerba, ce ne sont pas les islamistes...Alors les islamistes, finalement, qu’est-ce qu’ils ont fait ? » Remarque et question judicieuses puisqu’elles ouvrent une brèche décisive dans le raisonnement traditionnel des conspirationnistes. Ce choix n’est évidemment pas anodin.
Merah, poseur de bombes au Pakistan, en liberté en France…. La prison en elle-même avait été l’objet d’une violente révolte quelques semaines auparavant, les emprisonnés se plaignant pour certains d’être là depuis parfois plus de deux ans sans jugement. La même prison s’était déjà rendue célèbre quand des talibans avaient réussi à s’en échapper en creusant un énorme trou, couvert par les versements discrets à des gardes corrompus. En avril 2011, la même prison fera à nouveau parler d’elle de la même façon. Des talibans creuseront un nouveau trou, énorme, sinon beaucoup plus long, et s’échapperont à nouveau de la même façon. Selon les témoins, ce sont 541 talibans qui se seraient alors échappés, un par un, entre 23H et 3H30 du matin de cette manière : difficile à croire, mais dans le pays de Karzaï, tout est possible, c’est bien connu. Une rumeur est apparue très vite, à propos de cette fameuse prison : le terroriste français toulousain, Mohammed Merah en aurait fait partie et se serait échappé parmi les 1200 envolés ce 13 juin 2008. Agoravox
Le ministère de l’écologie choisit la fracturation hydraulique La fracturation à l'eau est presque la seule technique utilisée dans le monde Après avoir créé la commission nationale sur les gaz de schiste, le gouvernement a publié, jeudi 22 mars, son rapport complémentaire passant en revue l’ensemble des techniques d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures non conventionnels. Sans surprise, il préconise l’emploi de la fracturation hydraulique. La «Commission nationale d'orientation, de suivi et d'évaluation des techniques d'exploration et d'exploitation des hydrocarbures liquides et gazeux» a été officiellement créée par décret jeudi 22 mars, soulevant un tollé parmi les ONG écologistes. Sa mission est d'évaluer les risques environnementaux liés aux techniques de fracturation hydraulique ou aux techniques alternatives, précise le décret. Cette commission a été prévue par la loi du 13 juillet 2011 par laquelle la France interdit d'explorer et d'exploiter les gaz et huiles de schiste par la technique de la fracturation hydraulique.
Comment UBS organise une fraude fiscale massive à partir de la France C’est un livre explosif que publie aujourd’hui Antoine Peillon, grand reporter au journal La Croix. Bénéficiant d’informations de toute première main il montre comment la banque suisse UBS organise depuis la France un système massif d’évasion et de fraude fiscale vers les paradis fiscaux. A lire absolument. Afin de mettre en contexte les informations incroyables auxquelles il a eu accès, le journaliste a croisé différentes sources bien informées pour estimer à 590 milliards d’euros l’ensemble des avoirs français dissimulés dans les paradis fiscaux, dont 220 milliards appartenant aux Français les plus riches (le reste étant le fait des entreprises). Sous certaines hypothèses, ces donnés l’incitent à estimer à 30 milliards d’euros le manque à gagner de recettes fiscales du à la fraude internationale, soit un peu plus de 10 % du total des recettes. Comment fait la banque UBS pour mener ses opérations sur notre territoire ? Ces 600 milliards qui manquent à la France.
Ces grands barrages hydroélectriques controversés Partout dans le monde, des barrages colossaux sont en construction. Officiellement, il s’agit d’accroître l’accès des populations à l’électricité et de soutenir la croissance économique. Mais en réalité, si les grandes entreprises du Nord et les institutions financières internationales se ruent vers les fleuves des pays du Sud pour y édifier ces gigantesques ouvrages aux conséquences environnementales et sociales désastreuses, c’est en raison de la perspective de « marchés juteux et sans risque ». Qu’est-ce qu’un grand barrage et où les trouve-t-on ? Ronack Monabay : Tout au long du XXe siècle, l’idée du développement économique a été associée aux barrages. Pourquoi les grands barrages posent-ils problème ? Ronack Monabay : S’ils sont présentés comme une énergie renouvelable, les grands barrages sont néanmoins loin de produire une énergie propre. Enfin, les populations locales sont fortement touchées. Quels sont les grands barrages, construits ou en projet, qui inquiètent le plus ?
Un document exceptionnel sur l’évasion fiscale massive qui pille la France 600 milliards d’euros : c’est la vertigineuse somme cachée depuis des décennies dans les paradis fiscaux, soit près de 10% du patrimoine des Français. Comment cette évasion fiscale massive a-t-elle été rendue possible ? Pourquoi l’évasion de ce patrimoine fait-elle l’objet d’une telle omerta judiciaire, alors que les institutions de contrôle, la police, la justice, la douane, les services de renseignements, en possèdent l’essentiel des preuves ? Exploitant une somme impressionnante de données ultraconfidentielles, à l’issue d’une enquête fouillée, l’auteur de ce livre met pour la première fois au jour l’étendue, les circuits, les mécanismes secrets de cette gigantesque fraude fiscale. Il montre quelles techniques sophistiquées – et parfaitement illégales – utilise une grande banque étrangère pour opérer sur le territoire français, pour approcher les fortunes privées, celles du showbiz, du sport et des affaires. La justice française va-t-elle enfin se sentir poussée à agir ?
Roger Waters, Pink Floyd : ma venue au BDS Je suis venu à Jérusalem et à Bethléhem. Rien n’aurait pu me préparer à ce que j’ai vu ce jour-là. Autres articles En 1980, une de mes chansons, Une autre brique dans le mur (partie 2), a été interdite par le gouvernement d’Afrique du Sud parce qu’elle était reprise par les enfants noirs sud-africains pour mettre en avant leurs droits à l’égalité dans l’enseignement. Vingt-cinq ans plus tard, en 2005, des enfants palestiniens qui participaient à un festival en Cisjordanie ont chanté la même chanson pour protester contre le mur d’apartheid d’Israël. Un an plus tard, en 2006, j’ai signé un contrat pour jouer à Tel Aviv. Des Palestiniens du mouvement qui promeut le boycott universitaire et culturel d’Israël m’ont exhorté à revoir ma position. Sous la protection des Nations-Unies, je suis venu à Jérusalem et à Bethléhem. Contre toute attente, cela a été le plus grand évènement musical de la courte histoire d’Israël. 60 000 fans se sont confrontés aux embouteillages pour y assister.