La stratégie de Social CRM : incontournable Avec l’émergence des réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter , les clients diffusent à présent volontairement les informations personnelles que les entreprises cherchaient à connaître depuis des années. Ces dernières permettent en effet d’optimiser les bases de données-clients, de développer les ventes, d’améliorer les services et d’accroître l’efficacité des stratégies marketing. Qu'est-ce qu'une stratégie de Social CRM et pourquoi devez-vous y accorder de l'importance ? Grâce à la stratégie de Social CRM (SCRM), les entreprises peuvent utiliser les médias sociaux pour construire des relations durables avec leurs clients par le biais d’échanges fructueux. SCRM : une stratégie, pas un produit Le SCRM n’est ni une procédure, ni un produit : c’est une stratégie qui regroupe plusieurs outils et plates-formes technologiques, y compris un système de CRM traditionnel – celui-ci étant le fondement même du SCRM. Types de conversation Chris Bucholtz, évangéliste CRM chez SugarCRM viadeo
Sachez dire 'non' à vos clients et prospects Dès le démarrage de la négociation, votre client réclame une remise de 20 % parce que, dit-il, votre concurrent la lui concéderait et que les temps sont difficiles ? En cours de contrat, votre client réclame plus de moyens dédiés à sa société et va à l'encontre de ce qui a été signé ? Ce sont autant d'occasions de dire "non" à votre interlocuteur. Une posture pourtant délicate et qui peut virer au casse-tête pour les commerciaux non préparés. Il faut distinguer deux cas de figure : la situation lors de la négociation, en amont de la signature, et le contexte en aval, lorsque la vente est déjà conclue. Jusqu'où pouvez-vous aller ? Lors de la préparation de la négociation, il vous faut avoir établi des seuils d'acceptation de certaines exigences du client ou prospect, au-delà desquels vous ne souhaitez pas aller. Argumentez votre refus Si vous êtes amené à dire "non", veillez à toujours en donner les raisons claires, afin d'éviter de braquer votre interlocuteur. L'expert
Programmes de fidélité La plupart des annonceurs sont un peu perdus dans la manière d’appréhender les consommateurs aujourd’hui. Ils savent que beaucoup de choses ont changé, notamment avec internet, mais ils ne savent pas vraiment comment répondre à ces évolutions. Ils savent qu’ils doivent digitaliser leur communication, voire leur organisation. Ils sont conscients qu’il faut orienter leur marketing vers le client. Mais de quelle manière et en exploitant quels dispositifs ? Fortement entrelacé avec la technologie, révolutionné par la digitalisation de la relation, synchronisé avec les réseaux sociaux et boosté par le big data, le marketing client apparait de plus en plus comme une véritable réponse aux nouveaux défis du marketing et notamment aux nouveaux pouvoirs et aux nouvelles attentes des consommateurs. Le marqueting client est donc complémentaire au marketing produit. Les 4 piliers du marketing client Nous pouvons donc modéliser les piliers du marketing client autour de deux axes.
Relation client : comment maîtriser l’instant décisif ? Chaque interaction avec un client est un moment de vérité, où celui-ci prend une décision qui aura un impact positif ou négatif sur vos relations commerciales. Vous pouvez maîtriser ce moment et ainsi augmenter le nombre d’issues positives. Cependant, trop d’entreprises ne se préparent pas suffisamment pour ce moment et restent sourdes quant aux signaux envoyés par le client. Pour créer le bon impact au bon moment, les entreprises doivent bien maîtriser le parcours de leurs clients dans un dédale de canaux. Aujourd’hui, nombre d’ entreprises font face à la fois à un défi et à une opportunité : il existe bien davantage de moments de vérité qu’avant. Alors, pour créer le bon impact au bon moment, les entreprises doivent bien maîtriser le parcours de leurs clients dans ce dédale de canaux. Le web s’impose comme premier canal Craig Pumfrey, directeur marketing communication de NICE Systems Un parcours multicanal ininterrompu est demandé Écouter la voix du client : une valeur inestimable
Les dix qualités nécessaires pour travailler dans le tourisme | Tourisme | Spécialités Qu’attendent les professionnels de leurs futurs collaborateurs ? Voici ci-dessous les principales qualités qui vous permettront de faire carrière dans le tourisme. De l’expérience : grâce aux stages ou aux petits boulots, un minimum d’expérience personnelle doit être acquis avant même le premier poste. Il faut « avoir vu du pays », dans tous les sens du terme, pour séduire un employeur. Une formidable motivation : penser à donner avant de recevoir, avoir la foi. Dès son arrivée dans l’entreprise, voire plus tôt encore, il ne faut pas hésiter à investir dans sa carrière avec générosité. Une capacité de polyvalence : la recrue idéale doit être adaptable et flexible, prête à assumer toutes les tâches, même les moins attractives. Une agressivité positive : avoir du caractère et de l’ambition est plutôt bien vu, dans la mesure où cela permet d’assumer ses responsabilités. Un souci d’intégration : il faut jouer le jeu de l’équipe, ne pas rester inactif lorsque les autres sont débordés.
Environnement économique, juridique et organisationnel de l’activité bancaire Objectifs généraux L’objectif de cette unité vise l’acquisition de compétences et de connaissances permettant au conseiller de clientèle : de se situer par rapport aux enjeux économiques et sociaux caractéristiques des activités bancaires ;d’assurer une veille économique en exerçant un suivi des indicateurs économiques lui permettant d’informer et de conseiller ses clients ;de mener à bien ses missions en tenant compte des éléments juridiques et réglementaires généraux qui encadrent et contrôlent son activité ;de prendre en compte la notion de risque dans les activités dont il a la charge ;de se situer et de situer son action dans le cadre de l’organisation à laquelle il appartient, en tenant compte des processus de décision et des caractéristiques managériales de l’organisation ;d’adopter un comportement conforme aux impératifs déontologiques propres à la profession. Conditions d’acquisition des compétences Dans le cadre de cette unité, ces équipements doivent permettre l’accès :
Comment ne pas rater son CRM CRM et storytelling … En utilisant le storytelling par exemple. De nombreux programmes de CRM aboutissent à un constat d’échec (il y a encore quelques années, ils pouvaient atteindre 50 à 70 %, depuis, ils ont un peu baissé). Pourtant, quelques éléments de storytelling pourraient parfaitement contribuer à remédier aux erreurs les plus fréquentes dans les programmes de CRM. Quelles sont ces erreurs, et quelles réponses peuvent leur être apportées ? Erreur n° 1 : Se focaliser sur l’aspect technologique plutôt que sur les cibles du programme Un programme de CRM repose sur l’utilisation de logiciels, parfois spécifiques, parfois beaucoup plus courants et utilisés par défaut, avec un travail important sur la base de données clients. Erreur n° 2 : Ne pas impliquer l’ensemble de son équipe Une histoire commune doit être développée autour du programme de CRM. Erreur n° 3 : ne pas placer le client aux premières loges Au final, pas de révélations, rien que du bon sens.
BTS : réussir l’épreuve de culture générale et expression L’épreuve de synthèse En quelques mots, voici les does et don’t d’une bonne copie A faire Être capable de confronter les documents afin d’en dégager une problématique Reformuler les idées et ne pas copier-coller le texte Rester neutre par rapport au contenu des documents Faire un plan thématique, avec une idée par paragraphe qui confronte plusieurs documents A éviter Multiplier les citations Donner son avis personnel Faire référence à des documents extérieurs Faire trop long (cela reste une synthèse) Réussir l’épreuve de culture générale et d’expression au BTS L’épreuve de culture générale et d’expression est commune à tous les BTS. Les étapes pour réussir 1) La première étape consiste à bien lire tous les éléments du dossier : à la fois le thème, les documents bien sûr mais aussi tous les éléments extérieurs au texte qui permettent de le situer dans le temps et dans un contexte (auteur, source, date de publication, etc). 3) De cette phase de relevé découle l’élaboration du plan. Bonne chance !