Géométrie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis la fin du XVIIIe siècle, la géométrie étudie également les figures appartenant à d'autres types d'espaces (géométrie projective, géométrie non euclidienne, par exemple). Enfin, depuis le début du XXe siècle, certaines méthodes d'étude de figures de ces espaces se sont transformées en branches autonomes des mathématiques : topologie, géométrie différentielle, et géométrie algébrique, par exemple. Si on veut englober toutes ces acceptions, il est difficile de définir ce qu'est, aujourd'hui, la géométrie. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme géométrie dérive du grec de γεωμέτρης (geômetrês) qui signifie « géomètre, arpenteur » et vient de γῆ (gê) (« terre ») et μέτρον (métron) « mesure »). Grandes divisions de la géométrie[modifier | modifier le code] Géométrie classique[modifier | modifier le code] Par ailleurs, la géométrie classique peut être axiomatisée ou étudiée de différentes façons. Histoire[modifier | modifier le code] de
Les incontournables pour réussir dans la restauration Pour réussir l'ouverture de son restaurant, il faut respecter certains critères et ratios que l'on doit analyser dans son business plan. Amandine Prat, 26 ans, développe une activité de conseil pour la création et le développement de concepts de restauration. Elle a un master en Management International de l’Hôtellerie et de la Restauration délivré par l’Institut Paul Bocuse. Entrepreneuse dans l’âme, elle aide des créateurs d’entreprises à travailler leurs business plan et en parallèle, elle développe un concept de restauration. Elle est par ailleurs auteur du guide de rédaction d'un business plan pour restaurant. Elle nous explique ici comment réussir l'ouverture de son concept de restauration mais aussi comment le business plan peut aider à réussir dans ce secteur. Le business plan pour un restaurant est indispensable ! Le business plan pour un restaurant est plus qu’utile, il est à mon sens incontournable. 5 points à vérifier dans votre étude de marché dans la restauration Conclusion
Monothéisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue de la cour de la Grande Mosquée de Kairouan. Datant, dans sa forme actuelle du IXe siècle, c'est l'un des édifices religieux les plus anciens et les mieux préservés de l'islam, troisième religion monothéiste. Un monothéisme (du grec μονός [monos], « seul, unique » et θεός [theos], « dieu ») est une religion qui affirme l'existence d'un Dieu unique et la transcendance de Dieu, créateur du monde. Quand une religion conçoit une divinité nationale[1] comme simplement supérieure à d'autres, on parle plutôt de « monolâtrie » ou d'« hénothéisme », termes de création récente, types de polythéisme. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme de « monothéisme » est de création relativement récente même s'il peut aujourd'hui sembler aller de soi, pour un concept qui demeure « difficile à penser »[2]. Cet antagonisme inclusif/exclusif de la notion de monothéisme se trouve déjà dans les textes bibliques[4]. Monolâtrisme[modifier | modifier le code]
Richesse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] La répartition de la richesse a fait l'objet de réflexions de la part de penseurs depuis l'Antiquité. Selon Platon, la richesse devait être distribuée de façon égalitaire, alors que selon Aristote, elle devait être distribuée proportionnellement à l'effort de chacun[2]. En introduisant la notion de chrématistique, Aristote a condamné la pratique visant à l'accumulation de richesses pour elles-mêmes, et non en vue d'une fin autre que le plaisir personnel. Au Moyen Âge, saint Thomas d'Aquin a cherché à réconcilier la pensée d'Aristote avec la doctrine chrétienne, et a ainsi développé la philosophie scolastique. Du XVIe siècle jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, la doctrine économique du mercantilisme a prôné l'enrichissement des États-nations d'abord au moyen de l'or importé des colonies (bullionisme développé surtout en Espagne et au Portugal), puis du commerce, mais aussi de l'industrialisation.
Pédagogie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie (du grec παιδαγωγία, direction ou éducation des enfants[1]) désigne l'art de l'éducation. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement et d'éducation ainsi que toutes les qualités requises pour transmettre une connaissance, un savoir ou un savoir-faire. Plus généralement, l'expression « Faire preuve de pédagogie » signifie l'aptitude à enseigner et à transmettre à un individu ou un groupe d'individus — de tous âges et de toutes conditions — un savoir ou une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée. Définitions[modifier | modifier le code] Le mot « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία, de παιδός (/'paɪdɔr/), « l'enfant », et ἄγω (/'a.gɔ/), « conduire, mener, accompagner, élever ». Émile Durkheim : la pédagogie est une "réflexion appliquée aussi méthodiquement que possible aux choses de l'éducation" (L'évolution pédagogique en France, Paris, PUF, 1938, p. 10).
Comprendre ce qu’est la « création de richesse » Par Michel Kelly-Gagnon, depuis Montréal, Québec.Un article de l’institut économique de Montréal. Télé-Québec a réalisé une série de documentaires intitulée Les grands moyens qui traite, comme on le dit en sous-titre, de l’argent, du pouvoir et de la société. L’émission, animée par le renommé Bernard Derome, est somme toute fort intéressante et son site Web est bien fait. Le site Web comporte un lexique qui comprend notamment une entrée nous expliquant ce qu’est la « création de richesse », et en particulier celle générée par les entrepreneurs. Création de richesse :Les entreprises créent de la richesse en faisant des profits qui sont ensuite redistribués aux employés (salaires), aux actionnaires (dividendes) ou à l’État (taxes et impôts). Cette définition de prime abord très sensée passe toutefois complètement à côté de deux éléments clés. Je m’arrête sur ce point non pas pour critiquer la série Les Grands moyens, laquelle, je le répète, constitue une belle initiative, digne d’éloges.
Monnaie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monnaie est définie par Aristote[1] par trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. Depuis la suppression de toute référence à des matières précieuses et la dématérialisation des supports monétaires, et après l’intervention des économistes « nominalistes »[2], les aspects légaux de l'usage de la monnaie (et notamment les droits juridiques qui sont attachés au cours légal et au pouvoir libératoire) sont plus apparents. Ces droits sont fixés par l’État et font de la monnaie une institution constitutionnelle en de multiples pays. La monnaie est l'instrument de paiement en vigueur en un lieu et à une époque donnée : du fait de la loi : on parle de cours légaldu fait des usages : les agents économiques l'acceptent en règlement d’un achat, d’une prestation ou d'une dette. La monnaie est censée remplir trois fonctions principales : Histoire[modifier | modifier le code] Usages[modifier | modifier le code] Notes
La valeur ajoutée mesure la création de richesse - Analyse Financière Dossier Analyse Financière La valeur ajoutée mesure la création de richesse d’une entreprise. Elle est calculée en soustrayant de son chiffre d’affaires tous les achats qu’elle a du effectuer pour assurer son activité. Cela va des matières premières aux produits semi-finis, en passant par la facture d’électricité. C’est une mesure tellement pertinente de la création de richesses qu’elle sert de référence à l’administration fiscale pour taxer... la création de richesse : c’est la TVA, la taxe sur la valeur ajoutée ! Prenons Renault, par exemple : ses voitures sont équipées de pneus, de blocs phares, de pare-chocs, de circuits de freins, de sièges et d’équipements de sécurité que Renault ne fabrique pas.S’y ajoute l’acier : elle le plie et le soude, mais ne le fabrique pas. Cela donne : C’est donc un solde, mais qui n’est pas encore un profit : pour cela, il faudra prendre en compte le cout du renouvellement de l’outil de travail (l’amortissement)... Le Saviez-vous ?
Métropole Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Dans la Grèce antique, la métropole est la « cité mère » par rapport à ses colonies, puis dans la Rome antique la capitale administrative d’une province. Dans l’administration religieuse (notamment chrétienne), une métropole est un chef-lieu d’une région[4], celui d'une province ecclésiastique où siège l'archevêque métropolitain pour les catholiques, celui où siège le métropolite pour les orthodoxes. De nos jours, les métropoles orthodoxes sont des juridictions[Note 1]. Lyon est une métropole ecclésiastique[5] et régionale[6]. La métropole comme pôle urbain[modifier | modifier le code] On peut considérer comme métropole une ville : concentrant une population relativement importante donc plus de 3 000 000 d'habitants en ce qui concerne les métropoles de rayonnement international. Échelle mondiale[modifier | modifier le code] Les grandes métropoles de l'Union européenne (LUZ - Eurostat) P.
État Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nicolas Machiavel fut un des premiers à faire usage du mot stato dans le sens d'« unité politique d’un peuple qui le double et peut survivre aux allées et venues non seulement des gouvernements mais aussi des formes de gouvernement ». La nation quant à elle ne se confond pas non plus avec l’État sauf dans le modèle de l’État-nation. Étymologie[modifier | modifier le code] État vient du latin status, dérivé du verbe stare qui signifie au sens premier « se tenir debout », et au sens figuré « la position[4]. » Le mot « État » apparaît dans les langues européennes dans son acception moderne au tournant des XVe et XVIe siècles. Éléments constitutifs entendu au sens de pays[modifier | modifier le code] Pour qu'un État soit reconnu internationalement (selon les termes de la convention de Montevideo) quatre caractéristiques constitutives doivent être constatées de manière évidente : Territoire délimité et déterminé[modifier | modifier le code]
Droit Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Allégorie de la justice. Le droit est « l'ensemble des règles qui régissent la conduite de l'homme en société, les rapports sociaux. »[1], ou de façon plus complète, « l'ensemble des règles imposées aux membres d'une société pour que leurs rapports sociaux échappent à l'arbitraire et à la violence des individus et soient conformes à l'éthique dominante »[2]. Ces règles abstraites et obligatoires indiquent ce qui « doit être fait », les « droits et devoirs » qui incombent aux citoyens d'une société donnée. que la source du droit soit reconnue et acceptée comme légitimeque l'énoncé de la loi soit connu de tous, ce qui implique qu'il fasse l'objet d'une large publication ou d'une accessibilité certaine. Les sources primaires du droit[modifier | modifier le code] L'expression sources du droit renvoie à toutes les forces et données morales, économiques, sociales, politiques à l'origine du droit. Droit et société[modifier | modifier le code]
Ville Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une ville est un milieu physique où se concentre une forte population humaine, et dont l'espace est aménagé pour faciliter et concentrer ses activités : habitat, commerce, industrie, éducation, politique, culture, etc. Les principes qui régissent la structure et l'organisation de la ville sont étudiés par la sociologie urbaine, l'urbanisme ou encore l'économie urbaine. L'ONU estime que 2008 est l'année où pour la première fois, de l'histoire connue, plus de la moitié des humains résident dans une ville[1]. Définition selon les pays[modifier | modifier le code] Selon les pays et le contexte (statistique, géographie, sociologie, etc.), le mot « ville » recouvre différentes acceptions : Histoire[modifier | modifier le code] Apparition des villes[modifier | modifier le code] Les villes apparaissent entre 3500 et 1500 av. La symbolique de la création de la ville[modifier | modifier le code] Définitions[modifier | modifier le code]