Obesite.org | Surpoids et Obésité Obésité : dangers, risques et effets pour la Santé Obésité n’est pas une fatalité ! Parfois une prise de poids importante et croissante provient d’un facteur génétique. Mais avec une alimentation saine, une hygiène de vie saine et la pratique d’un sport adapté, vous pouvez faire face à l’obésité ! Résumé de cette rubrique : Les dangers de l’obésité chez les adultes et chez les enfants. Résultats d'une étude portant sur la prévention de l'obésité en 2010 Voici les résultats d'une étude menée par des chercheurs de Grenoble École de Management et de l’Université Pierre Mendès France et portant sur la prévention de l'obésité. Article envoyé par un de nos lecteurs, Merci au Docteur Yves Girardot. L'obésité est un terme médical concernant une caractéristique d'une personne ayant une masse corporelle (adipeuse) plus importante que la plupart des gens, répartie de façon généralisée dans plusieurs zones de l'organisme. en France, en Europe et dans le Monde.
La transplantation Définitions (Source : Dictionnaire de Médecine Flammarion, 7ème édition, 2001) Transfert d'un organe entier d'un donneur, impliquant le rétablissement de la continuité vasculaire afférente et efférente de cet organe avec l'appareil circulatoire du receveur. Cette définition distingue la transplantation de la greffe, qui consiste en un transfert de tissu ou de partie d'organe. Cependant dans un sens plus élargi le terme "greffe" est aujourd'hui employé pour parler de transplantation. On distingue : autotransplantation, autogreffe = effectuée sur le même individu, isotransplantation, isogreffe = effectuée sur un individu isogénique, homotransplantation, allogreffe = effectuée sur un individu non isogénique de la même espèce, hétérotransplantation, xénogreffe = effectuée sur un individu d'une espèce différente. Consulter notre dossier sur la xénogreffe et la xénotransplantation Legislation Les autres lois constituant les bases de la législation encadrant la transplantation sont : Système HLA
Greffe (médecine) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Greffe. Historique C’est vers 1906 que les premières greffes d’organes sur l'homme ont lieu mais elles se soldent toutes par des échecs entraînant la mort du « cobaye humain ». Mathieu Jaboulay et son interne Alexis Carrel font les toutes premières greffes de reins de porcs ou de chèvres sur des femmes mais elles échouent : les patientes atteintes d’insuffisances rénales meurent en quelques jours[2]. Ces échecs permettent de découvrir un des principaux obstacles de la greffe : le rejet. Types de greffe Les types de greffes peuvent être classés suivant l'origine du greffon : Organes transplantés Les transplantations les plus fréquentes sont les transplantations du rein. Certaines transplantations permettent de sauver une vie, d'autres d'éviter de lourds traitements (la transplantation du rein permet par exemple d'éviter la dialyse). Prélèvement d'organe À partir d'un donneur en état de mort encéphalique En France
G - Santé - Dossiers - Ministère de la Santé et des Sports > lettre santé > G 26 février 2009 Gale / Sarcoptes / octobre 2004 Génétique : Commission consultative nationale en matière d’examens des caractéristiques génétiques à des fins médicales (CCNECG) / octobre 2007 Gestes et soins d’urgence / février 2011 (actualisation août 2011) Gouvernance hospitalière / octobre 2008 (actualisation octobre 2011) Grippe / octobre 2013 Guide des conduites à tenir en cas de maladie transmissible dans une collectivité d’enfants / avril 2008 Guide pour passer un été serein / juillet 2010 Guides méthodologiques de la DGOS / mai 2010 Guides de Bonnes Pratiques d’Hygiène (GBPH) / avril 2009 Marisol Touraine - Ministre des Affaires sociales et de la Santé Biographie Cabinet Agenda Alertes sanitaires Rappel : chikungunya aux Antilles et en Guyane - Recommandations aux voyageurs 2 avril 2014 Pollution de l’air : recommandations sanitaires 7 mars 2014 S'abonner à DGS-Urgent Mots-clés Le Ministère Actualité/Presse Métiers, concours, examens et recrutements
INVS |Évaluation de l’impact sanitaire de la pollution atmosphér Évaluation de l’impact sanitaire de la pollution atmosphérique urbaine Unité urbaine de Perpignan L’évaluation de l’impact sanitaire de la pollution atmosphérique urbaine a été réalisée sur l’agglomération de Perpignan dans le cadre du Plan régional pour la qualité de l’air. Cette étude a été conduite selon une méthode standardisée proposée par l’InVS qui repose sur une hypothèse essentielle, celle de la causalité de la relation entre pollution atmosphérique et santé. L’impact sanitaire de la pollution atmosphérique à court et long terme est calculé pour la morbidité et la mortalité anticipée. Un calcul des gains sanitaires attendus après réduction des niveaux d’exposition, montre que compte tenu des niveaux annuels moyens de PM 10 nettement supérieurs à 20 μg/m 3 , une diminution de 5 μg/m 3 de la moyenne annuelle des PM 10 équivalente à une réduction de la valeur moyenne annuelle à 20 μg/m 3 constituerait une mesure de santé publique efficace. Perpignan area
Pollution de l'air Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pollution de l’air (ou « pollution atmosphérique ») est un type de pollution caractérisé par une altération des niveaux de qualité et de pureté de l’air. Cette dégradation est généralement causée par un ou plusieurs éléments tels que des matières particulaires, ou autres substances…[1] dont les degrés de concentration et les durées de présence sont suffisants pour produire un effet toxique et/ou écotoxique. L'ONU a encadré la mis en place en 1979 d'une Convention sur la pollution atmosphérique transfrontalière à longue distance. Différents types de pollutions atmosphériques[modifier | modifier le code] On compte aujourd’hui des dizaines de milliers de molécules différentes, polluants avérés ou suspectés qui, pour beaucoup, agissent en synergie entre eux et avec d’autres paramètres (Ultraviolets solaire, hygrométrie, acides, etc.). Cette pollution peut revêtir de multiples formes et être : Histoire[modifier | modifier le code] Sources : 2. 3.
Infection sexuellement transmissible Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IST. Toutes les pratiques sexuelles qui comportent un contact génital mutuel ou oro-génital avec une autre personne, ou ses fluides génitaux, sont considérées comme comportant un risque de transmission d'une IST. L'infection peut être multiple (plusieurs agents infectieux à la fois). Terminologie[modifier | modifier le code] Jusque dans les années 1990, l'appellation MTS ou MST (pour « maladie sexuellement transmissible ») était d'usage courant. Prévention[modifier | modifier le code] La probabilité de transmission des maladies par l'activité sexuelle varie grandement d'une pathologie à l'autre. Les professionnels de la santé conseillent des rapports protégés par préservatifs lors de relations sexuelles avec des personnes possiblement atteintes, ce qui constitue une méthode efficace de prévention. En France, l'infection à VIH est de façon strictement anonyme une maladie infectieuse à déclaration obligatoire.
La contraception en France Quelles sont les méthodes de contraception utilisées aujourd'hui en France ? La loi votée en 2001 visant à faciliter l'accès à la contraception, notamment chez les mineures, et l'offre de nouvelles méthodes ont-elles modifié les pratiques ? Nathalie Bajos, Aline Bohet, Mireille Le Guen et Caroline Moreau nous livrent ici les premiers résultats de l'enquête Fecond. Retrouvez les chiffres Résumé (cliquez sur +) En France, en 2010, 50 % des femmes de 15-49 ans concernées par la contraception utilisent la pilule. Sommaire (cliquez sur +) Une baisse inédite de l'utilisation de la piluleUn modèle contraceptif figéDes pratiques socialement différenciéesL'influence de la précarité socioéconomiqueLa contraception en 2010 : entre contrainte sociales et logiques médicales et financières
Les IST - Infections Sexuellement Transmissibles Une IST ou Infection Sexuellement Transmissible (qu’on appelait avant maladie Sexuellement Transmissible) est une maladie qui se transmet par des relations sexuelles avec une ou des personne(s) déjà contaminée(s), qu’il y ait ou non pénétration. Les IST peuvent être dues à différents microbes : bactéries, virus, parasites, champignons. Parmi les IST les plus connues, on peut citer : le VIH/Sida, les hépatites B et C, l’herpès, la blennorragie, les chlamydioses, les condylomes, la syphilis, les papillomavirus… Certaines de ces infections ne sont pas uniquement transmissibles par les relations sexuelles ; c’est le cas du VIH/Sida et des hépatites qui peuvent se transmettre par le sang. 1/ Symptômes Les symptômes des IST sont souvent très discrets voire inexistants. Ces signes peuvent parfois vous apparaître anodins mais il est essentiel de les prendre au sérieux car une IST non traitée peut avoir des conséquences graves (stérilité, cancers…). 2/ Dépistage : - examen clinique des organes génitaux
Animaux, Zone - Environnement L' animal a été pris en photo au Parc Paradisio, dans la zone réservée aux animaux venimeux si cela peut aider quelqu'un de le savoir. [...] C'est plutôt un lézard de la famille des Iguanidés normalement non-vénimeux...bizarre qu'il soit placé dans la zone des animaux vénimeux. [...] C'est le rédacteur de l'article qui s'est trompé. je viens de visualiser la série de photos dont est extraite celle-ci et elles ont été prises dans le bâteau qui abrite les espèces menacées (.) et les animaux saisis par la douane. Cela est cohérent avec ce qu'en dit wikipedia puisque l'iguane vert est une espèce vulnérable. [...] A l'heure actuelle, à part le ramier peut être, je ne vois pas trop d' animaux sous nos contrées capables de se reproduire au point d'en devenir nuisibles et de mettre en danger les écosystèmes. Mon pere a une maison dans le Lot et il est en tran de se battre contre une projet de bretelle de route qui passerait à coté de la maison et qui pourrait massacrer une partie de la nature.
Préservation - Surveiller l’état de santé des écosystèmes aquati Prélèvements d'échantillons d'eau Analyse d'échantillons d'eau par spectrométrie L'indice poissons est utilisé pour évaluer la qualité d'un milieu aquatique Mise en évidence de la pollution des eaux dans la région de Marseille par le satellite LANDSAT Surveillance, par le satellite SPOT, de l'état des écosystèmes aquatiques et terrestres d'une mangrove au Kenya La pollution peut être visible (corps flottants, mousses...). Diverses techniques physico-chimiques d’analyse permettent d’évaluer les concentrations des différentes substances, et notamment des polluants, contenues dans l’eau. Les indicateurs biologiques sont très variés : On dispose également à l’heure actuelle de systèmes de détection de la pollution à l’échelle planétaire grâce à certains satellites capables notamment d’analyser du haut de leur orbite la turbidité des eaux, ou de détecter une marée noire.