Qui sont les Anonymous? Ces derniers temps, on a beaucoup parlé d’un groupe de pirates qui sévit sur le Net : les Anonymous. Ils prennent pour cibles des banques, des gouvernements, des boutiques en ligne… Mais quelles sont leurs motivations ? Pour qui, pour quoi prennent-ils ces risques ? Comment peut-on les identifier ? Ils sont actifs depuis des années déjà, mais ces derniers mois on ne parle que d’eux sur Internet. Qui sont les Anonymous ? Les Anonymous, c’est vous, c’est moi, c’est l’ingénieur du bureau d’en face, c’est l’adolescent féru d’informatique, c’est l’informaticien discret… Quiconque ayant un minimum de connaissances en informatique peut entrer dans cette communauté. Récemment, deux jeunes Français et cinq Anglais ont été arrêtés pour avoir participé à plusieurs opérations des Anonymous (à l’encontre des sites de MasterCard et PayPal, entre autres). L’origine du réseau A l’origine, les Anonymous se sont révélés en luttant contre la scientologie. Cette censure est intolérable pour les Anonymous.
NSA-CIA: Edward Snowden dans la lignée de Bradley Manning et Julian Assanges. Le 14 octobre 2012, AZA / NI avait publié l’article suivant: Les mouchards sur Skype, Gmail, Farcebook, donc nous ne pouvons feindre la surprise et la consternation lorsque Edward Snowden révèle les méthodes de surveillance des USA sur tous les grands serveurs américains que sont Yahoo, Google, Farcebouc, Skype, etc, etc, etc…! C’est pourquoi nous n’avons pas jugé utile de ramener une couche supplémentaire sur ce qui a déjà été écrit et qui a été pingué près d’une dizaine de fois depuis les révélations faites par The Guardian ces derniers jours. Sinon que saluer le geste héroïque de ce jeune homme de 29 ans qui a pris la fuite depuis et qui, selon les Américains, est déjà bourré de problèmes. Bourré, l’adjectif est lancé et on y reviendra! Bref, ne nous apitoyons pas sur notre sort et revenons à notre adjectif «bourré» mentionné plus en amont de cet article presque larmoyant devant tant d’injustices et d’ingratitudes de…Mais bon! Hé! Bon! Ho! Notre Héros du WEB de 2013 Like this:
3Webee : 1er Navigateur Opensource du Web 3.0 par P2P godvicien, le 28/06/2011 - 12:59 Salut à tous !3Webee.net : le 1er Navigateur Opensource du Web 3.0 par P2P ! J'ouvre ici un Topic Officiel pour "3Webee.net", car je n'ai pas de Forum sur mon Site Bonjour, ce message n'est pas là pour polémiquer mais pour essayer de comprendre. N'y vois aucune agressivité, juste de l'incompréhension au milieu d'un flou plus ou moins artistique. J'ai déjà beaucoup de mal à cerner ce qui distingue le 2.0 du 1.0 (à part la dénomination souvent autoproclamée). Je ne sais pas, mais habituellement si on veut "changer de version", il est généralement admis qu'on rédige les spécifications AVANT les applications, non ? Tu viens de faire une application : un navigateur. Merci de nous éclairer. P.S. une "béta 0.0" j'ai généralement l'habitude d'appeler ça une "alpha" ou une "pré-alpha", mais ce n'est que de la sémantique.
Message aux internautes de la Free Software Foundation et la solution helvète! (traduit à la AZA) Ils savent quand vous dormez, quand vous êtes éveillé, si vous avez été gentil-le ou méchant-e … Oui, vous avez deviné. Nous ne parlons pas de St Nicolas ni de son Père fouettard, mais bien de la NSA, ainsi que de toutes les grandes entreprises de l’Internet et des télécommunications du monde. Celles qui ont construit un complexe massif, non seulement de surveillance industrielle, mais qui porte aussi atteinte à l’ensemble de nos libertés. Nous devons donc construire notre propre infrastructure qui garantit la liberté, la vie privée et la sécurité de tous les peuples. La Free Software Foundation défend les libertés et la vie privée des utilisateurs d’ordinateurs depuis près de trente ans. Profitons de cet élan pour transformer nos plans pour un avenir du logiciel libre qui soit gravé dans le marbre. Dès le premier jour du scandale de PRISM, FSF a tiré la sonnette d’alarme. Avec votre soutien, nous pouvons faire beaucoup plus en 2014 . LA solution AZA/NI: Oui! Like this:
anonymes-France | Logiciels libres en danger: mobilisons-nous contre le TPP, encore une autre fumisterie! (in english too) Relais FSF traduit au plus près possible! Vous pouvez déjà être impliqué dans le mouvement populaire international contre le Partenariat Trans-Pacifique. Les lobbyistes et les représentants de douze pays, dont les États-Unis, sont actuellement en train de se chamailler sur sur les détails de ce traité d’un "libre-échange" massif international. Ils créent le PPT qui promeut fortement le Digital Restrictions Management (le fameux DRM) afin de faire péter leurs lois sur des droits d’auteur draconiens qui entraveraient le développement du logiciel libre. Semblable à la SOPA et à la PIPA de 2012, le PPT serait probablement retranché derrière le vilain DMCA – ou saletés de mesures prises par le Digital Millennium Copyright Act – ce qui ferait que contourner les DRM deviendraient un crime de lèse-majesté voire plus si affinités, même lorsque le contournement se fait pour des fins non-commerciales. Cela ne se limite-t-il qu’au 29 Janvier? Zak Rogoff Directrice des Campagnes Like this:
voX Attaque par déni de service Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une attaque par déni de service (denial of service attack, d'où l'abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d'empêcher les utilisateurs légitimes d'un service de l'utiliser. Il peut s'agir de : l’inondation d’un réseau afin d'empêcher son fonctionnement ;la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l'accès à un service particulier ;l'obstruction d'accès à un service à une personne en particulier. L'attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l'accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Les attaques en déni de service se sont modifiées au cours du temps (voir historique). Tout d'abord, les premières n'étaient perpétrées que par un seul « attaquant » ; rapidement, des attaques plus évoluées sont apparues, impliquant une multitude de « soldats », aussi appelés « zombies ». Par exemple :