calibre2opds Samarcande, par Amin Maalouf « Des hauts et débats Note de lecture: Samarcande d’Amin Maalouf. Amin Maalouf est un écrivain libanais né le 25 février 1949 à Beyrouth. Il a grandi dans un environnement multiculturel : il reçoit un héritage anglophone et protestant de son père, francophone et catholique de sa mère. Sur l’insistance de cette dernière, le jeune Amin est élevé chez les Jésuites puis à l’Ecole Française, dans un quartier de Beyrouth (Ras-Beyrouth) cosmopolite où il côtoie de nombreuses nationalités et cultures (palestiniens, égyptiens, chrétiens et musulmans…). Il déménage à l’âge de 13 ans dans un quartier plus riche et essentiellement peuplé de chrétiens, suite aux nouvelles ambitions de son père, écrivain et journaliste. Ce changement de quartier lui donnera l’occasion de rencontrer de nombreuses personnalités politiques de l’époque, des dignitaires libanais ou étrangers, venant participer à de « grands dîners ». A cause de la guerre, il fuit le Liban et vient s’installer avec sa famille à Paris en 1976. Avant-propos
Ebooks libres et gratuits La stratégie gagnante de la marque catalane de prêt-à-porter Mango Le groupe a baissé ses prix de 20 % et revu ses collections pour attirer de nouvelles clientèles. Avec succès : ses ventes ont progressé de 30 % en 2012. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nicole Vulser, envoyée spéciale à Palau-Solita i Plegamans (Espagne) Installée dans trois bâtiments grands comme des cathédrales, dans une zone industrielle de la grande banlieue de Barcelone, la marque de prêt-à-porter Mango, créée en 1984, s'impose comme un antidote à la morosité. Si la région de Catalogne est au bord de la faillite, ce groupe présent dans 109 pays affiche une santé de fer. Enric Casi, le directeur général, s'attend à "une hausse de 30 % des ventes en 2012 par rapport à celles de 2011, qui s'établissaient à 1,4 milliard d'euros", a-t-il expliqué au Monde. Mango doit un tiers de sa croissance 2012 à des ouvertures de boutiques – plus de 250, ce qui porte le total à 2 600 dans le monde. Dès mars 2011, Mango a entamé une mue pour se protéger des aléas de la crise.
Ebooks Gratuit : Livres Pdf danah boyd : pourquoi avons-nous peur des médias sociaux A l’occasion de la conférence SXSW qui se tenait mi-mars à Austin, Texas, la sociologue de Microsoft, danah boyd, a donné une très intéressante conférence sur « le pouvoir de la peur chez les publics en réseaux » dont elle a publié le transcript sur son site. Son intérêt pour cette question, comme elle l’explique, vient du fait qu’elle travaille particulièrement sur les cultures adolescentes et les rapports des jeunes aux nouvelles technologies (voir les nombreux articles que nous avons consacré aux travaux de cette chercheuse). Dans ce cadre, elle observe notamment l’intimidation en ligne et est souvent confrontée aux problèmes que les jeunes rencontrent via les réseaux sociaux. L’occasion de revenir avec elle sur comment les médias en réseaux favorisent nos angoisses et comment pouvons-nous les combattre. Pour danah boyd, si l’on suit une suite de causes à effets, les choses sont assez simples. Nous vivons dans une culture de la peur. Notre peur est impossible à rassurer
Sayanim Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sayanim (hébreu : סייענים, singulier : sayan, de l'hébreu aide, assistant) seraient, depuis la publication de l'ouvrage d'un ancien agent des services secrets israéliens, Victor Ostrovsky[1], des agents passifs appelés plus communément « agents dormants », établis en dehors d’Israël, prêts à aider les agents du Mossad en leur fournissant une aide logistique[2]. Le terme désigne également des Palestiniens ayant accepté de collaborer avec l'armée israélienne[3],[4] ou les juifs de la diaspora décidant de collaborer de manière momentanée avec le Mossad par sentiment de patriotisme envers Israël (affaire Lavon). Description[modifier | modifier le code] En principe, les sayanim ne s'engagent que dans des activités légales et ils ne s'associent pas à des opérations de renseignements ou d'espionnage, malgré des exceptions notables[5],[6]. L'ancien agent du Mossad Victor Ostrovsky évoque leur existence dans ses mémoires. Sayanim, sur Wikiquote