Le Gone du Chaâba (roman)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Résumé : Le gone du Chaâba raconte l'histoire d'Azouz, un jeune algérien. Il habite au Chaâba, un bidonville à côté de Lyon. Il vit dans une misérable habitation, sans eau ni électricité, à côté d'autres familles arabes. (fr) Le Gone du Chaâba (Étude du roman d'Azouz Begag)
Le Prophète
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Prophète est un livre du poète libanais Khalil Gibran (1883-1931) publié en 1923 en anglais et qui est devenu un immense succès international traduit dans plus de quarante langues. L’ouvrage combine les sources orientales et occidentales du mysticisme et présente sous une forme poétique questions et réponses sur les thèmes les plus divers posées à un sage qui s’apprête à quitter la ville d’Orphalese où il habitait. Le genre littéraire adopté rappelle Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche, même si le contenu du livre en est très différent[1]. Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Le Prophète, sur Wikiquote
Le Passeur de Lumière de Bernard Tirtiaux
Le mercredi 27 juin 2007 par Sheherazade Nivard de Chassepierre, adolescent au caractère ombrageux, taciturne, tourmenté, indomptable, en quête d’absolu, devient un jeune orfèvre de talent. Pourtant sa vraie quête, son destin, commenceront et s’accompliront le jour où un chevalier, ami de son père, lui demandera d’ « apprendre la lumière ». A partir de ce moment-là, à travers l’Europe du 12ème siècle, de son village natal du Hainaut jusqu’à Chartres, en passant par la Bavière, l’Orient, l’Afrique et Saint-Denis, la passion de la lumière deviendra quasi charnelle pour Nivard que la vie marquera profondément dans sa chair, à qui la douleur fera presque perdre la raison mais il vivra sans cesse pour ce besoin sensuel de créer de nouvelles couleurs, de capter cette lumière changeante et capricieuse et donner vie à ses vitraux. A travers son odyssée initiatique, Nivard trouvera enfin la paix de l’âme. A lire absolument !
Siddhartha (roman)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Siddhartha est un roman philosophique d'Hermann Hesse (1877-1962) paru en 1922 en langue allemande. Le roman s'inspire de la vie de Siddhartha Gautama, dit le Bouddha. L'écrivain exprime dans ce livre son amour et sa sensibilité pour la culture, les croyances, les religions et les philosophies orientales auquel il est familiarisé dès son plus jeune âge grâce à sa mère, Marie Gundert, née en Inde, mais également aux multiples voyages qu'il accomplit en ces terres dans les années 1910[1]. Une fois publié aux États-Unis, en 1951, le livre connait une renommée mondiale, en particulier au cours de l'exploration des spiritualités orientales dans les années 1960. Le livre est inspiré de la vie de Siddhartha Gautama, qui vécut au cours du VIe siècle av. Situé en Inde, ce roman philosophique raconte le cheminement spirituel de Siddhartha, personnage proche en de nombreux points du Siddharta Gautama, le Bouddha mais dont l'histoire est romancée.
Narcisse et Goldmund
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il s'agit d'une œuvre de réconciliation. Les deux personnages, Narcisse et Goldmund, suivent chacun leurs propres voies, traversent l'un et l'autre un certain nombre d'épreuves et de découvertes. Leurs points de vue respectifs sur le monde s'ébauchent ainsi au fil du temps, leurs trajectoires divergent tout d'abord pour ensuite se retrouver. Résumé du livre[modifier | modifier le code] Narcisse est un novice au monastère de Mariabronn, un novice tellement intelligent qu’on lui confie une charge d’enseignement. Goldmund est amené au monastère par son père pour y recevoir éducation et entrer en vie religieuse pour expier les péchés de sa mère, une artiste éprise de liberté qui a quitté son mari et son fils. Goldmund, en enfant obéissant, adhère au plan de vie que son père a décidé pour lui. À 18 ans, Goldmund abandonne ses aspirations à la vie religieuse et quitte le monastère. Après la réalisation de cette statue, il reprend sa vie de vaguant.
L'Alchimiste
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Alchimiste (en portugais : O Alquimista) est un conte philosophique de Paulo Coelho paru en 1988. La traduction française, signée Jean Orecchioni, a été publiée en 1994. La légende qui est à la source de cet ouvrage est celle du fondateur d'une synagogue de Cracovie : Isaac Jakubowicz. Le roman est basé sur une nouvelle de Jorge Luis Borges, Le Conte des deux rêveurs. Cette légende personnelle est le projet particulier et favorable dont nous sommes tous porteurs et dont l'accomplissement dépend de notre capacité à retrouver nos envies profondes : « Si vous écoutez votre cœur, vous savez précisément ce que vous avez à faire sur terre. L'Alchimiste, qui a fait connaître Paulo Coelho du grand public, au Brésil puis en Europe, est devenu un bestseller mondial vendu à 65 millions d'exemplaires, en 56 langues (chiffres de 2008)[2]. Adaptation au cinéma[modifier | modifier le code] Bibliographie française[modifier | modifier le code] Coffret
Chagrin d'école
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Résumé de l'éditeur[modifier | modifier le code] Chagrin d'école, dans la lignée de Comme un roman, aborde la question de l'école du point de vue de l'élève, et en l'occurrence du mauvais élève. Daniel Pennac, ancien cancre lui-même, étudie cette figure du folklore populaire en lui donnant ses lettres de noblesse, en lui restituant aussi son poids d'angoisse et de douleur. Le livre mêle les souvenirs autobiographiques et les réflexions sur la pédagogie, sur les dysfonctionnements de l'institution scolaire, sur le rôle des parents et de la famille, sur le jeunisme dévastateur, sur le rôle de la télévision et des modes de communication modernes, sur la soif de savoir et d'apprendre qui, contrairement aux idées reçues, anime les jeunes d'aujourd' hui comme ceux d'hier. Analyse[modifier | modifier le code] Éditions[modifier | modifier le code] Chagrin d'école, éditions Gallimard, 2007, (ISBN 2070769178)
Lettre au père
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Première page du manuscrit La Lettre au père est une lettre écrite par Franz Kafka à l'attention de son père. Histoire[modifier | modifier le code] L'auteur y relate les problèmes relationnels entre son père et lui. Cette lettre fut écrite en 1919 mais ne fut jamais remise à son destinataire. Kafka l'écrivit à la suite du refus de son père concernant son mariage avec Julie Wohryzeck, une secrétaire de Prague. Tout au long de cette lettre, Kafka, s'adressant à son père, lui dit qu'il reconnaît l'entière responsabilité de leurs rapports; c'est totalement de sa faute à lui s'ils ne s'entendent pas. Kafka travaillait le jour en tant que juriste dans une compagnie d'assurance et il écrivait la nuit. À la fin de cette lettre, on peut découvrir un message d'espoir; en effet, Kafka écrit qu'il espère que cette lettre va les apaiser et leur « rendre à tous deux la vie et la mort plus faciles. » Notes et références[modifier | modifier le code]
Meilleur livre que j'aie lu depuis longtemps. Quand on l'ouvre, on ne peut plus le quitter. by ambre56 Jan 23
J ai adoré ce livre ... A lire sans hésitation...belle réflexion et analyse personnelle by guessly Jan 12