Faut-il apprendre l'anglais dès l'école primaire ? Faut-il apprendre l'anglais dès l'école primaire ? Depuis que le rapport de la commission Thélot, un débat s'était ouvert en France il y a quelques semaines sur la place de l'anglais dans l'enseignement. Faut-il apprendre l'anglais dès l'école primaire ? Quel dommage ! Le problème vient du fait qu'aujourd'hui, il n'existe pas officiellement de langue internationale. Contrairement aux défenseurs de la francophonie ou de l'espéranto, je ne crois pas que le fait que l'anglais soit la langue maternelle d'un certain nombre de pays soit un véritable problème. L'anglais international n'est en fait ni l'anglais des Etats-Unis, ni l'anglais de l'Angleterre ou celui de l'Australie. Le plus important est d'unifier la planète aussi rapidement que possible. Le monde est vaste, on ne peut pas apprendre toutes les langues c'est absurde et c'est pourquoi, il est très important de se focaliser sur une langue internationale. Emmanuel Moulin Haut de la page
Apprendre les langues, Apprendre le monde - Rapport du Comité stratégique des langues présidé par Suzy Halimi Suzy Halimi, présidente du comité stratégique des langues, présidente honoraire de l’université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, a remis un rapport sur l’apprentissage des langues vivantes à l’École mardi 7 février 2012. "Apprendre les langues - Apprendre le monde" Rapport du Comité stratégique des langues présidé par Suzy Halimi Janvier 2012 Sommaire L’état des lieux Les progrès réalisésLes points sensibles : difficultés et dysfonctionnementsLes problèmes organisationnels Quelle stratégie pour l'enseignement des langues en France ? S’ouvrir au monde du XXIe siècle : affirmer l’importance des languesTracer un parcours cohérent de la maternelle au supérieurParvenir à la mobilité pour tousFormer et valoriser les enseignantsTravailler ensemble Conclusion Résumé de la stratégie proposée par le comité Télécharger le rapport "Apprendre les langues - Apprendre le monde"
Voie bilingue paritaire - Publics Abibac, comme dans cursus ou section Abibac Désigne le cursus offert dans 14 lycées alsaciens conduisant à la délivrance simultanée du baccalauréat français et de l’Abitur allemand. Les élèves préparent un baccalauréat général (L, S ou ES) et deux épreuves spécifiques : allemand et histoire-géographie en allemand. 27% des lauréats français de l’Abibac sont alsaciens, alors que la population scolaire de l’académie de Strasbourg ne pèse que 3% au plan national ! Bilingue, comme dans cursus, voie ou filière bilingue Caractérise l’enseignement intensif de l’allemand : cours de langue allemande et cours en langue allemande.> A l'école maternelle et élémentaire: enseignement paritaire (12h en allemand et 12h en français) > Au collège: enseignement bilingue avec un horaire variable> Au lycée, on ne parle plus de filière bilingue. Bilangue, comme dans dispositif bilangue Ne pas confondre avec bilingue ! DNL ou discipline non linguistique Extensif, comme dans enseignement extensif Section européenne
Les apports du numérique pour l'enseignement des langues vivantes - Portail Langues En écho à l’interview de M. le Recteur lors du salon Educatice le 15 novembre 2017 par les élèves du lycée Jean Vilar de Plaisir, nous portons à votre connaissance nos éléments de réflexion sur les apports du numérique pour l’enseignement des langues vivantes.Le groupe des IA-IPR et des IEN-EG de langues vivantes Le numérique redéfinit la notion de « langue vivante » car il permet de faire entrer la « langue vive » dans la classe où le professeur et ses élèves jouaient auparavant à être espagnols, anglais, allemands, italiens. Aujourd’hui, les Anglais, les Allemands, les Espagnols, les Italiens peuvent s’inviter au cours de langue via des échanges virtuels en direct [1]. Ceci permet une expérience authentique de la langue avec des interlocuteurs non francophones. Le recours aux documents authentiques est grandement facilité, ce qui favorise en retour la découverte et l’appréhension d’une réalité culturelle singulière et l’exposition constante au point de vue de l’Autre.
« Histoire des Méthodologies de l'enseignement des langues », ouvrage de Christian PUREN Conditions d’utilisation L’ouvrage Histoire des méthodologies de l’enseignement des langues (Paris : Nathan-CLE International, 448 pages) est épuisé et n’est plus édité. En tant qu’auteur, j’ai récupéré les droits sur cet ouvrage. Je l’offre gratuitement en lecture à l’écran, téléchargement et/ou impression à tous les collègues enseignants et étudiants intéressés pour leur usage personnel ou professionnel (formation d’enseignants, par ex.). Cet ouvrage couvre l’histoire des méthodologies d’enseignement des langues vivantes étrangères (LVE) en France depuis la "méthodologie traditionnelle" - appellation qu’il faut réserver à celle qui a été calquée sur l’enseignement scolaire des langues mortes -, jusqu’à la fin du XIXème siècle, jusqu’à la méthodologie audiovisuelle, qui s’élabore à la fin des années 1950 pour le français et l’anglais langues étrangères, et influence fortement l’enseignement scolaires des LVE en France jusqu’aux années 90. Christian Purenchristian.puren@gmail.com
Aujourd’hui, pour l’enseignement des langues étrangères (LE), l’apport du numérique/digital est-il une innovation cognitive positive ? – Archipélies Cette réflexion aborde une question qui intéresse beaucoup les acteurs actuels du monde de l’éducation, notamment les enseignants des langues étrangères (LE), qui est celle de savoir si « Aujourd’hui pour l’enseignement des langues étrangères, l’apport du numérique/digital est une innovation cognitive positive 1» ? Pour apporter des éléments de réponse à cette question aussi vaste que passionnante, nous allons suivre un cheminement en plusieurs étapes. Nous commencerons avec un état des lieux synthétique pour notre société, sur les environnements et outils numériques ou digitalisés (nous utilisons les 2 termes comme synonymes) qui nous sont proposés en lien avec l’enseignement des LE. Pourquoi ces deux exemples ? Enfin, nous répondrons à notre question de départ sur l’innovation cognitive positive ou pas, générée par le numérique/digital dans un cours de LE. 1.1. Le Web 1.0 est le Web constitué de pages web liées entre elles par des hyperliens qui a été créé au début des années 1990.
CULTURE • Vive le multilinguisme ! La méconnaissance des langues étrangères fait perdre chaque année au Royaume-Uni 20 milliards d'euros, soit 1,2 point de PIB, selon une récente étude du groupe de réflexion britannique Education and Employers Taskforce, dont The Times s'est fait l'écho. Si les Britanniques manifestent peu d'intérêt pour les langues, c'est qu'ils pensent que la planète parle peu ou prou la leur. Rien n'est moins vrai : l'anglais a beau être l'une des langues dominantes, avec 1 milliard de locuteurs, il est concurrencé par le mandarin et en passe d'être devancé par l'hindi/ourdou, l'arabe et l'espagnol. Le multilinguisme ne donne pas seulement un avantage compétitif sur les marchés. Il est aussi un vecteur de paix entre les peuples et les communautés, comme le souligne le linguiste britannique David Crystal en introduction à l'Atlas des langues du monde (une coédition Autrement/Courrier international) disponible en kiosque avec le n° 1110, du 9 février 2012, de Courrier international.
Dossier : Avec le numérique, de nouveaux outils pour l'apprentissage des langues Nul doute dans l’esprit de la plupart des éducateurs et des parents : pour tracer leur route dans le monde de demain, les citoyens en herbe devront maîtriser plusieurs langues. Mais comment les y initier ? Commencer le plus tôt possible ces apprentissages est-il la clé ? Face à la multiplication d’ateliers d’anglais ou d’autres langues destinés aux tout-petits, on pourrait le penser. Au-delà de la question de l’âge idéal pour se lancer se pose celle des méthodes. Pour dépasser les idées reçues, à l'occasion de la nouvelle édition de la Journée européenne des langues organisée ce samedi 26 septembre, voici quelques analyses de chercheurs à relire sur The Conversation. Il n’y a pas d’âge pour apprendre à parler couramment une langue étrangère ! Peut-on vraiment apprendre une langue avec une appli ? Qu’est-ce qu’un bon prof de langues ? Peut-on apprendre une langue en jouant aux jeux vidéo ? Apprendre une langue sur le web : la révolution de l’IA se fait attendre
Favoriser l’alternance des langues | Blog : Enseignement bilingue L’enseignement des « disciplines dites non linguistiques » dans le cadre des sections bilingues a ses spécificités. Il appelle à la création d’une didactique qui lui soit propre et qui passe notamment par l’alternance des langues. On a vite compris qu’on ne pouvait calquer l’enseignement du français langue étrangère ou langue seconde sur celui du français langue maternelle tel qu’il est pratiqué en France. De la même façon, on admettra le bien-fondé de stratégies didactiques spécifiques pour l’enseignement des disciplines non linguistiques dans les « sections bilingues ». Quels que soient les dispositifs mis en place et les appellations (immersions, CLIL-Émile, sections internationales, sections européennes ou orientales), « l’enseignement bilingue » utilise une langue étrangère pour enseigner tout ou partie d’une ou plusieurs disciplines non linguistiques. Construire un cours bilingue Relier programmes et manuels Mettre en relation les méthodologies Faire coexister les langues Jean Duverger
TIC et motivation en apprentissage/enseignement des langues. Une perspective canadienne 1 NetAdos 2004, sondage CEFRIO – Léger Marketing réalisé en février-mars 2004 auprès d’adolescents qu (...) 1Les Canadiens sont ceux qui passent le plus de temps au clavier au monde (Chouinard et al 2003) et, parmi eux, la palme d’utilisation d’Internet revient aux jeunes Québécois : selon une enquête menée en mars 20041, 99 % d’entre eux y ont eu accès au cours des six mois précédant l’enquête et 89 % au cours de la semaine la précédant (contre 99 % et 87 % respectivement en novembre 2002). Les jeunes de 14-17 ans sont les champions du Net au Québec. En mars 2004, les deux groupes d’âge, 14-15 ans (89 %) et 16-17 ans (90 %) affichent ainsi les plus hauts pourcentages d’utilisation régulière. Les activités privilégiées en 2004 par les jeunes sur le Net sont : 3Ces chiffres reflètent un engouement certain de la part des Canadiens, surtout les jeunes d’âge scolaire, pour les technologies de l’information et de la communication (TIC). 4Mais qu’entend-on au juste par TIC et par motivation ?
Glottopol, revue de sociolinguistique en ligne Cours de sociolinguistique LAURENDEAU 2004D | Paul Laurendeau, linguiste, sociolinguiste, philosophe du langage LAURENDEAU, P. (2004d), « Un remarqueur canadien de l’entre-deux-guerres : Louis-Philippe Geoffrion et ses Zigzags autour de nos parlers« , CARON, P. dir., Les remarqueurs sur la langue française du XVIe siècle à nos jours, Presses Universitaires de Rennes, Coll. La Licorne, pp 211-235. . . . You got to accentuate the positive, Eliminate the negative. Latch on to the affirmative. Dont mess with Mister In-Between… Bing Crosby Le travail des remarqueurs sur la langue française prend un relief tout particulier dans le contexte épilinguistique complexe associé à la réalité d’un français régional. …qu’on ne se méprenne pas sur la portée de mes menus propos. On comprend dès ce fragment de la préface que, chez un tel remarqueur, le monde fonctionne à l’inverse de chez un Vaugelas ou un Girard. Par affaire. Cette locution s’emploie très souvent dans nos parlers. Les Angevins se servent, eux aussi, de cette expression. En bon français, il faut, paraît-il, dire: pour affaires. Geoffrion 1925, p. 106. Age
The benefits of a bilingual brain - Mia Nacamulli Amazed by what you have learned about having a bilingual brain? Then, start learning another language now! This website has tons of free lessons, games and quizzes to get you started! Pick one language or even two languages and get that gray matter growing. Speaking more than one language is like exercise for the brain? Love all this brain talk? Want to learn another language (or two or three or...)?