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Repenser l’internet des objets (3/3) : Industrialiser l’internet ou internetiser l’industrie

Repenser l’internet des objets (3/3) : Industrialiser l’internet ou internetiser l’industrie
Par Daniel Kaplan le 07/05/09 | 8 commentaires | 14,127 lectures | Impression Il n’existe pas aujourd’hui d’”internet des objets”, mais tout au plus une connexion en silos d’objets conçus et régis selon les règles les plus classiques de l’économie industrielle. La connectivité des objets et des espaces pourrait même signer la fin de la “parenthèse internet”, celle d’un réseau sans tête, sans finalité et totalement ouvert. Ca commence comme une conversation Que fait donc un capteur, se demande en substance l’enseignant et designer Julian Bleecker dans son “Manifeste pour les objets en réseau” (2006) ? Matière à réflexions Il ne faut donc pas grand-chose pour franchir cette première étape : juste partager les données que captent les objets et les rendre exploitables par d’autres. Un autre designer, Usman Haque, a d’ailleurs décidé de les y aider. Des objets habitables Entrons un peu plus profondément dans la nature même de l’objet. On peut émettre des réserves sur la vision de Sterling.

FYP editions Entretiens du Nouveau Monde industriel : Concevoir les objets de demain A l’occasion des Entretiens du Nouveau Monde industriel consacrés aux nouveaux objets communicants, qui se tenaient la semaine dernière au Centre national des arts et métiers, retour sur quelques présentations parmi celles qui nous ont semblé les plus marquantes de ces deux jours. Concevoir les “NéoObjets” “L’internet des objets intéresse les designers, car il interroge comment faire des propositions au monde”, explique le designer Jean-Louis Fréchin (présentation, blog). Les objets sont plus vieux que l’informatique et l’internet, rappelle le designer. Image : La présentation de Jean-Louis Fréchin sur les NéoObjets photographiée par Nicolas Nova. Le système des objets recouvre plusieurs réalités, explique Jean-Louis Fréchin, mais les NéoObjets en tant que tels, comme il les a lui-même baptisés, désignent des objets dont la valeur est déportée sur le service qu’ils offrent, comme le Nabaztag, la montre verte ou le Wattson – qu’il faut distinguer des objets communicants ou des interfaces.

amazon open source garden automation project What is GardenBot? GardenBot is an open source garden monitoring system. This site is a collection of tutorials for how to build things (like a soil moisture sensor), software for running GardenBot, resources, links, and more. To get started, you will want to browse the How-To section to see what is required to build the various modules. The ultimate goal of the GardenBot project is to be a complete garden monitoring and automation system. GardenBot is currently a work in progress, and we are always looking for volunteers -- please contact me if you'd like to help. Just so you know, there are several (many) other garden automation projects out there on the web. Is GardenBot a robot? The word robot usually is used for machines that move about. Who came up with this? I did... er, I mean hi. I discovered Arduino, and immediately became engrossed. Anyway, considering my interests, I thought "gee, it sure would be neat to use the Arduino board to control the watering in the garden".

Botanicalls TwitBalloon Last weekend, Marcus of interactive-matter and I, gave a small introduction into internet of things and ambient devices at the Good School. The idea was to have two devices that show the current volume of two terms on twitter, e.g. love against hate. The demo should show how easy it is to connect the physical world to the internets. Marcus did the software part, so if you are interested in that, visit interactive-matter. I did the hardware part, if you want see that, just read on. Parts So what is needed to build something like that? Arduino Board with ATmega328Ethernet ShieldBreadboardRC ServoCardboardHot glue (a lot)Photoresistor, LED and two resistors, 10 kOhm and 100 OhmProtoboard, small Build it First you have to hack your servo for continuous rotation. Now cut a servo holder out of the cardboard and glue the servo onto it. Glue the holder to some cardboard as basement. Then glue the barrel on the servo. Next we need the light barrier. Conclusion Connecting things to the internet is easy.

:: The Future of the Internet ? And How to Stop It Oyster card The Oyster card is a form of electronic ticketing used on public transport in Greater London in the United Kingdom. It is promoted by Transport for London and is valid on travel modes across London including London Underground, London Buses, the Docklands Light Railway (DLR), London Overground, trams, some river boat services, and most National Rail services within the London fare zones. The card was first issued to the public in July 2003 with a limited range of features and there continues to be a phased introduction of further functions. By June 2012, over 43 million Oyster cards had been issued and more than 80% of all journeys on public transport in London were made using the card.[2] As part of TfL's 'Future Ticketing Programme' the Oyster card platform is due to be replaced by a contactless payment card system by June 2015.[3] Background[edit] Operator[edit] In August 2008, TfL decided to exercise a break option in the contract to terminate it in 2010, five years early. Brand[edit]

Radio Labs: Olinda - a new radio haque :: design + research Natural Fuse (project site: naturalfuse.org) "Natural fuse" is a micro-scale carbon dioxide overload protection framework that works locally and globally, harnessing the carbon-sinking capabilities of plants. Generating electricity to power the electronic products that populate our lives has consequences on the amount of carbon dioxide present in the atmosphere, which in turn has detrimental environmental effects. The carbon footprint of the power used to run these devices can be offset by the natural carbon-capturing processes that occur as plants absorb carbon dioxide and grow. Natural Fuses allow only a limited amount of energy to be expended; that amount is limited by the amount of CO2 that can be absorbed by the plants that are growing in the system - natural "circuit breakers". Each Natural Fuse unit consists of a houseplant and a power socket. The problem is that even low-power light bulbs draw more power than can be comfortably offset by a single plant. Team members:

Database Error Parmi les nombreuses présentations qui se sont tenues à la conférence Computer Human Interaction à Boston, l’un des ateliers, qui rassemblait tous les gourous de la spécialité, s’intéressait aux interfaces organiques, c’est-à-dire aux interfaces capables de modifier et d’adapter leurs formes, rapporte Core77. Les interfaces organiques désignent des interfaces flexibles, gonflables ou lumineuses… c’est-à-dire physiquement modifiables par l’information elle-même, tant et si bien qu’elles semblent vivantes, à l’image de nos organes. Avec ces interfaces, l’affichage s’adapte à la forme du support et le support lui-même devient l’affichage. Le support est évolutif et peut-être déformé selon les interactions qu’il reçoit, lui permettant de se reconfigurer si nécessaire pour refléter la nature de l’information à afficher. “Le support matériel de l’objet est en lui-même un parcours de navigation”, expliquait le designer Benoît Drouillat.

A propos des "evocative objects" Les objets ne sont pas simplement des objets. Ce sont des caves et des greniers qui abritent nos émotions et nos pensées *. Une gêne au moment de partir… Il me manque quelque chose ! Au sein du groupe Initiative on technology du MIT, Sherry Turkle a mené une réflexion sur ce qu’elle a appelé les "evocative objets", c’est à dire des objets qui nous amènent à nous penser différemment des catégories telles que le corps, le désir, l’autre. Dans les années 1980, Sherry Turkle considérait que l’ordinateur était comme un « second self » Hors ligne, la machine offre l’extraordinaire possibilité de choisir d’être seul sans éprouver de la solitude. Nous vivons de plus en plus en permanence avec des objets qui jouent le rôle de « second self ». Un objet numérique est un objet évocateur d’abord parce que nous pouvons le porter comme un vêtement. N’importe quel objet numérique peut contenir des traces de souvenir et d’émotions qui seront réactivées à chaque fois qu’on les parcourra. WordPress:

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