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Mythologie égyptienne

Mythologie égyptienne

Le panthéon égyptien Sa sœur Isis, considérée par les Egyptiens de l’Antiquité comme la première des déesses, était représentée sous les traits d’une jeune femme, portant sur la tête le signe hiéroglyphique asèt, qui signifie « le trône. » Isis fut aussi parfois affublée des attributs de la déesse bovine Hathor (le disque solaire, les cornes, etc.), divinité de l’amour et des festivités. Statue de la déesse Isis, I° siècle avant Jésus Christ, Petit Palais, Paris. Seth, divinité du désert, de la foudre et de la guerre, était lui aussi un dieu anthropomorphique. Cependant, l’animal représentant Seth n’a toujours pas été identifié aujourd’hui avec certitude. S’agit-il donc d’un animal imaginaire, d’un chacal ou d’un oryctérope, les débats restent ouverts. Statuette à l'effigie du dieu Seth, musée du Louvre, Paris. Nephtys, associée à la lune, était l’épouse du dieu Seth, mais leur mariage fut stérile. Horsemsou, dixième divinité de l’Ennéade, était une divinité représenté comme un homme avec une tête de faucon.

Légendes de l'Egypte antique 1° Le périple de Râ – Suite à la création du monde, Râ s’était installé sur terre. Chaque matin, il s’installait dans sa barque magique, et se lançait dans un long voyage autour du monde afin d’apporter la lumière sur terre. Représentation du monde imaginée par les Egyptiens de l'Antiquité, gravure issue de l'ouvrage Histoire de l'Egypte, par Gaston MASPERO, France, XIX° siècle. 2° La prise de pouvoir d’Isis – A cette époque très reculée, Isis n’avait pas encore acquis son statut de grande déesse, vivant toujours sous la coupe de Râ. Isis élabora alors un plan afin de prendre le pouvoir. Pour ce faire, elle façonna un serpent avec de la boue et lui donna la vie. Isis sachant que la seule chance de guérir Râ était que ce dernier lui révèle son nom caché, se rendit au chevet du malade. La déesse, sachant que Râ se jouait d’elle, ne put guérir le dieu. Acquérant une grande puissance, Isis put ainsi soigner Râ et décida d’utiliser son pouvoir pour le bien de l’humanité.

Les dieux de l'égypte antique Liste des divinités et dieux egyptiens | Dieux égyptiens Publié le mercredi 12 octobre 2005 par Nico Les Égyptiens de l'Antiquité étaient polythéistes. Les dieux égyptiens étaient la personnification des éléments naturels, des événements de la vie et des sentiments. Ainsi, le panthéon égyptien fut l'un des plus imposants de toute l'histoire avec plus de sept-cents divinités. Voici une Liste non exhaustive des dieux égyptiens et divinités de l'Egypte antique : Ach: Dieu du désert de Libye proche de Seth. Ageb: Entité bélier, personnifiant l'inondation. Aheqet: Déesse à tête de grenouille, symbolisant la vie et la fécondité. Aker: Dieu terre primitif. Amonèt: Forme féminine associée au dieu Amon de Karnak, représentée sous la forme d'une femme portant la couronne rouge. Amon: Avec Amonèt, forme l'un des couples de l'ogdoade. Anat: Déesse asiatique dont le culte fut introduit en Égypte lors de la domination Hyksôs (IIe période intermédiaire). Andj: Dieu du 21e porche. Anubis: (Cliquez ici pour en savoir plus...) Chesmou: (« Broyeur d'Osiris »).

Mythe de la naissance de l'Egypte Dieux | Dieux égyptiens Publié le jeudi 11 août 2005 (mis à jour le mercredi 25 janvier 2006) par Nico Le mythe d'Osiris est au coeur de la religion pharaonique. Ce récit forgé dans les temps les plus anciens nous a été rapporté par un écrivain grec, Plutarque. L’histoire de l’Egypte commence avec Atoum, le soleil. Il s’était créé lui-même en sortant du grand océan primordial, le Noun. Nout et Geb eurent deux fils, Osiris et Seth, et deux filles, Isis et Nephtys. Avec l'aide de Thot, il leur enseigna l'art de l'écriture et du dessin. Osiris monta alors au ciel mais laissa un fils Horus.

Divinités égyptiennes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les dieux et déesses de l’Égypte antique représentent une foule considérable de plus d'un millier de puissances surnaturelles ; divinités cosmogoniques, divinités provinciales, divinités locales, divinités funéraires, personnification de phénomènes naturels ou de concepts abstraits, ancêtres déifiés, démons, génies, divinités étrangères importées, etc. Le terme égyptien pour dieu est netjer (nṯr) et son plus ancien hiéroglyphe représente vraisemblablement un mat enveloppé de bandelettes de tissu. Pour désigner le concept de la divinité, les glyphes alternatifs sont le faucon sur un perchoir et un personnage accroupi. D'autres termes existent pour désigner une divinité, tel baou (bȝw) ou sekhem (sḫm) mais leur diffusion fut de moindre importance. Terminologie[modifier | modifier le code] Netjer[modifier | modifier le code] Déclinaisons[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Emblème[modifier | modifier le code]

Jugement de l'âme (Égypte antique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En Égypte antique, le jugement de l'âme est un procès où le défunt doit comparaitre pour faire reconnaître ses droits à la vie éternelle. On distingue cependant trois conceptions différentes de cet affrontement judiciaire. La première conception est un modèle mythique où Horus, le successeur d'Osiris, se confronte à Seth pour obtenir la succession au trône d'Égypte. La deuxième conception est plus générale ; le défunt confronte ses ennemis, morts ou vivants, qui l'ont dépouillés de sa vie terrestre. La troisième conception est celle que le Livre des Morts a popularisée à travers la scène de la pesée du coeur (formules 30B et 125). Scène issue du papyrus d'Hounefer montrant la pesée du cœur lors du jugement de l'âme. Seth, personnification de la mort Les Textes des Pyramides sont une compilation de liturgies d'époques et de provenances diverses. — Extraits du chapitre 477, § 957a - 959c. « Je suis ton fils, je suis Horus. — Extrait.

Composition de l'être dans l'Égypte antique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les Égyptiens de l'Antiquité, l'être humain comprenait plusieurs composantes : Il était primordial de conserver l'intégrité de l'être après la mort, ce qui explique tous les rites (momification, ouverture de la bouche, etc.) effectués sur le défunt pour que tous ces éléments restent unis dans l'au-delà. Bibliographie[modifier | modifier le code] Textes[modifier | modifier le code] Le livre des morts des anciens Égyptiens, chap. 89-92 (corps, âme, ombre), 191 (corps, coeur, ka, âme, ombre). Études[modifier | modifier le code] Fernand Schwarz, Initiation aux livres des morts égyptiens, Albin Michel, coll. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail de la mythologie égyptienne

Religion de l'Égypte antique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La religion de l'Égypte antique, une des religions polythéistes de l'espace méditerranéen antique, date d'au moins du IVe millénaire avant notre ère et ne disparait qu'avec son interdiction par les empereurs romains chrétiens au IVe siècle. Durant les cinq mille ans de l'histoire de l'Égypte pharaonique, la religion, très présente dans la vie des Égyptiens, n'a que peu évolué. Cependant, selon les périodes, certains dieux sont devenus prédominants alors que d'autres passaient au second plan. De plus, chaque culte étant originaire d'une région différente, la place de chaque dieu variait aussi selon la région. C'est une religion thérianthropique qui instaure le pharaon comme un dieu. Les concepts égyptiens[modifier | modifier le code] Les officiants[modifier | modifier le code] Dans la pensée égyptienne, les dieux façonnèrent la Terre et établirent un ordre harmonieux (Maât) permettant au miracle de la vie de s'accomplir jour après jour.

Mythologie et religion égyptiennes. Nulle part, sauf peut-être en Inde , on n'a eu autant de dieux que dans l'ancienne Égypte . Chaque tribu, chaque petit État et plus tard chaque nome (province) eut les siens. les animaux symboliques) que l'on s'en faisait. , du singe ou de l'ibis, du bélier et du boeuf Le dieu faucon Horus et le dieu crocodile Sébek, représentés à Kom Ombo. Les Égyptiens ne concevaient donc pas les dieux autrement conformés que leurs créatures : ils leur attribuaient un corps, une ou plusieurs âmes comme à l'humain, des besoins, des passions en un mot la vie. nous mettent en présence de conceptions religieuses d'un ordre assez élevé : Amon, par exemple, y reçoit les titres de dieu suprême, unique maître de l'éternité, qui rappelle le yahveh de l'hénothéisme hébraïque à la même époque, mais qui ne peut cependant pas - et pas plus que ce dernier - se décrire comme l'expression d'un monothéisme. Le type primitif du temple fit donc place à un type nouveau que les pharaons de la XIXe dynastie ( Nouvel Empire .

Civilisation egyptienne: Livre des morts Au Moyen Empire, il était de coutume d'écrire sur le cercueil les textes funéraires qui étaient utiles au mort. Plus tard, depuis le début du Nouvel Empire, on déposait un papyrus pour le mort dans la tombe ou on l'insérait dans les bandelettes de la momie. Cet ensemble de formules et d'illustrations, fut appelé "Livre des Morts", et devint le document indispensable du défunt qui voulait "sortir au jour". L'appellation « livre » prête à confusion, de même que la division en « chapitres» qui n'a été établie qu'au siècle dernier. Certaines formules ont tant de succès qu'elles appartiennent obligatoirement au répertoire d'un manuscrit, d'autres viennent s'y ajouter et forment un tel ensemble qu'elles sont perçues comme une unité. L'ensemble de formules du Livre des Morts révèle une vision riche et variée de l'au-delà. « Sortir au jour » est un souhait souvent formulé par le défunt. De même, le Livre des Morts propose un matériel essentiel dont le Ka et l'ombre font partie.

Mythologie egyptienne Pour les Anciens, l'Egypte sera essentiellement taoui - «le double pays » -, et cette dualité de nature (entre la Haute-Egypte, vallée encaissée entre deux déserts, et la Basse-Egypte, plaine alluviale coïncidant avec le delta du Nil) comme cette double attirance (vers l'Afrique d'une part, vers l'Asie et la future Europe d'autre part) marqueront tous les éléments et les faits de la vie politique, économique, humaine de ce pays pré-destiné. Un contraste de couleurs renforce, d'est en ouest, une autre dualité, entre Kemet « la noire » (la vallée fertile au limon sombre) et Deshret « la rouge » (la région stérile des déserts aux sables rutilants sous le soleil). La civilisation égyptienne prend ses racines dans la nuit des temps, il y a plus de six mille ans (chronologie). Leur existence était d'ailleurs conçue à l'image de celle de la famille humaine. Dictionnaire des mythologies en 2 volumes d'Yves BONNEFOY, Flammarion, Paris 1999.

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