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La vraie démocratie - Cornelius Castoriadis

Cornélius Castoriadis : « Démocratie et relativisme. Entretiens avec le MAUSS  Repenser la démocratie Démocratie et relativisme. Entretiens avec le MAUSS Cornélius Castoriadis Éditeur : Mille et une nuits 160 pages / 11,40 € sur Amazon Résumé : Occasion de se plonger ou se re-plonger dans la pensée de Castoriadis, cet ouvrage pose les jalons d'une réflexion critique et actuelle sur la démocratie. Baptiste BROSSARD sur nonfiction.fr « Je veux secouer les gens, et je veux faire comprendre que l'homme n'est pas, de droit divin, un être démocratique. La pensée de Cornélius Castoriadis témoigne de cette indépendance d'esprit, de cette volonté de penser le monde autrement que par les sens communs, qu'ils soit libéraux, marxistes, ou même démocrates. - Premièrement, refuser le capitalisme en tant que système naturel ; - Deuxièmement, fonder une pensée marxiste non-dogmatique ; - Troisièmement, définir ce que serait, dans ce cadre conceptuel, une démocratie. Ainsi, sont regroupés dans Démocratie et relativisme un ensemble de réflexions qui intéresserons un public varié.

Jacques Attali - Daniel Cohen: "Nous avons usé toutes nos cartouches" Quel est votre diagnostic sur la situation actuelle? Daniel Cohen : Celle-ci est abominable. En Europe, si les choses suivent leur cours actuel, 2013 sera la deuxième grande année de crise, après 2009, avec cette différence fondamentale : nous avons usé toutes nos cartouches en matière de politique économique. Jacques Attali : A l'échelle mondiale, la croissance est encore plus faible qu'en 2009. Tout de même, que devrait faire l'Europe? D. J. D. J. D. J. Que peut faire la France pour ranimer sa croissance? D. J. Quels conseils concrets donner aux gouvernants? J. D. J. Le pacte de croissance de 120 milliards d'euros n'est donc pas opérationnel... J. Le débat sur la compétitivité est-il légitime? D. J. Le coût du travail est-il un obstacle pour les entreprises? J. D.

Cornelius Castoriadis Agora International Website Jeunes de France, votre salut est ailleurs : barrez-vous ! Jeunes de France, ceci n’est pas une incitation à l’évasion fiscale mais à l’évasion tout court. Comme on dit au Maghreb et dans les quartiers les plus défavorisés de France, vos aînés vous prennent pour des ânes sans oreilles («khmar bla ouinedine»). Leurs beaux discours dissimulent de plus en plus maladroitement une vérité bien embarrassante : vous vivez dans une gérontocratie, ultracentralisée et sclérosée, qui chaque jour s’affaisse un peu plus. Comment qualifier autrement, en 2012, une société où une élite de quelques milliers de personnes, dont la moyenne d’âge oscille autour de 60 ans, décide d’à peu près tout ? Le roi est nu et la triste réalité est là : pour la première fois depuis bien longtemps dans cette partie du monde, une génération au moins - la vôtre - vivra, vous le pressentez d’ailleurs, moins bien que la précédente. Grandissant dans la France des Trente Glorieuses, vos aînés ont connu un âge d’or. Barrez-vous, plus prosaïquement, pour améliorer votre niveau de vie.

Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]

L'Europe sociale est nécessaire Association Castoriadis Le Pacte budgétaire européen, un traité immoral et stupide ! La rentrée approche et une drôle d’atmosphère flotte sur Paris. Après la coupure et la détente des vacances, chacun souhaite prolonger jusqu’au dernier moment cette pause bienvenue avant le déchaînement de la rentrée. Le gouvernement Hollande vient de nous prévenir : le Pacte budgétaire européen au nom barbare de TSCG sera voté début octobre et gare aux députés récalcitrants. Au même moment, un sondage sorti dans l’humanité montre que 72% des Français pensent qu’un référendum est nécessaire sur ce sujet. Même s’ils sont prêts en majorité à accepter la solution en apparence responsable de l’austérité budgétaire induite par le Pacte (sondage publié en Juillet 2012 dans Marianne2 ). Les critiques de bon sens abondent sur ce traité: Nous n’avons pas élu des députés pour qu’ils abandonnent définitivement leur principale attribution (le vote du budget) à des gens non élus de la Commission Européenne et de la Cour de Justice Européenne ! D’où des plans d’austérité en série. Sources

Insignifiance et capitalisme Ce qui caractérise le monde contemporain ce sont, bien sûr, les crises, les contradictions, les oppositions, les fractures, mais ce qui me frappe surtout, c’est l’insignifiance. Prenons la querelle entre la droite et la gauche. Elle a perdu son sens. Les uns et les autres disent la même chose. Les responsables politiques sont impuissants. Il y a un lien intrinsèque entre cette espèce de nullité de la politique, ce devenir nul de la politique et cette insignifiance dans les autres domaines, dans les arts, dans la philosophie ou dans la littérature. La politique est un métier bizarre. Rien ne garantit que quelqu’un qui sache gouverner sache pour autant accéder au pouvoir. Je dis « pseudo-démocratie » parce que j’ai toujours pensé que la démocratie dite représentative n’est pas une vraie démocratie. Il y a la merveilleuse phrase d’Aristote : « Qui est citoyen ? On observe un recul de l’activité des gens. Et que font beaucoup d’intellectuels ? La crise n’est pas une fatalité

Entretien avec Cornelius Castoriadis Appel à l’aide des mères de Fukushima Posted 17 juin 2011 by realinfos in Appel à l’aide des mères de Fukushima. Quand la vérité sort de la bouche des mamans... Mercredi 15 juin 2011 Chers amis Nous habitons dans la ville de Fukushima, à seulement 60 km de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Aujourd’hui, la santé de nos enfants est en danger. (1) Source : Castoriadis : La montée de l'insignifiance entretien par Daniel Mermet A la mémoire de Cornelius Castoriadis, disparu le 25 décembre 1996, nous avons rediffusé l'entretien qu'il nous avait accordé un an plus tôt. On a parfois envie de retenir les mots, revenir sur les idées, à "oreille reposée". En vous proposant de vous adresser le script de cet entretien, je ne m'attendais pas à un tel intérêt de toute part, tout horizon, tout milieu, pour une des pensées les plus fécondes et les plus lucides de notre temps. A travers la brèche on sent que tout n'est pas perdu ! Corneille dissident essentiel Il manque la voix de Cornelius Castoriadis, il manque cette jubilation dans sa voix en répétant Nous qui désirons ou nous qui délirons ? Ce qu'il disait tombe à pic en ces temps "trotsko-balladuriens", lui qui renvoyait dos-à-dos le "communisme anti révolutionnaire", et le néolibéralisme avec sa pensée unique, sa "non-pensée". Pas question d'abdiquer pour autant. Mais on ne peut réduire Cornelius Castoriadis à un seul registre. D. C. D. C. D.

Castoriadis, philosophe de l’autonomie et précurseur de la décroissance Toujours sur la brèche, Serge Latouche dirige depuis 2013 la collection Les précurseurs de la décroissance éditée par Le Passager Clandestin (1). Déjà auteur de son premier titre, Jacques Ellul, contre le totalitarisme technicien, il propose, en ce printemps 2014 : Cornélius Castoriadis ou l’autonomie radicale. Cornélius Castoriadis est né en 1922 à Istanbul, passe son enfance à Athènes, s’engage très jeune dans le mouvement communiste et gagne la France en décembre 1945. Il fut philosophe, sociologue, économiste et psychanalyste. Il décèdera à Paris en 1997. De la psychanalyse à l’autonomie puis à la démocratie directe Intéressé puis passionné par l’œuvre de Freud, il fréquente les milieux psychanalytiques de Paris, et entreprend, dans les années soixante, une analyse. Dès lors, la psychanalyse contribuera à l’émergence de l’autonomie de la pensée et subséquemment de l’autonomie en politique. L’écologie est subversive Sortir du capitalisme Notes

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