Mythologie nordique Moins connue que la mythologie gréco-romaine, la mythologie nordique (et germanique) recèle pourtant de nombreux trésors et apparait comme l'une des plus riches d'Europe. Elle nous présente le monde au travers d'une vision souvent contradictoire, de contes et de légendes des peuples nordiques. Ces peuples parlaient des langues saxonnes, et non celtes, slaves ou latines. BalderFenrirFreyja HelOdinRagnarokThor Les conditions de vie plus rudes ont largement contribué à créer de grandes différences avec la mythologie gréco-romaine dont la plus remarquable est sans doute le fait que les dieux sont mortels. Thor et le serpent de Midgard d'après Fuseli © Royal Academy of Arts Les rares témoignages écrits dont nous disposons nous viennent d'observateurs extérieurs tel l'historien romain Tacite, puisque les Saxons ne connaissaient pas l'écriture au sens où nous l'entendons. Il y a plusieurs façons d'orthographier les noms de la mythologie nordique. Panthéon
Mythologie nordique : Freyja Freyja d'après Bloomer National Museum, Stockholm Sœur jumelle de Freyr , elle était la déesse de la Terre et de la Fertilité. Freyja , la mystique aux yeux bleus et à la chevelure dorée, était la déesse de l’Amour et de la Beauté. Elle avait un beau collier magique qui s’appelait Brisingamen et portait une peau d’épervier. Freyja était la plus populaire de toutes les déesses, et celle que l’on vénéra le plus longtemps dans les pays nordiques. Quand son mari, Odr, était absent, Freyja pleurait des larmes en or, qui se transformaient en ambre quand elles tombaient à la mer.
Mythologie celtique gauloise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sources[modifier | modifier le code] Les témoignages antiques[modifier | modifier le code] La classe sacerdotale des druides connaissait l'écriture, mais privilégiait systématiquement la transmission orale. Aussi les premiers documents écrits sont ceux d'écrivains grecs et latins, depuis Hécatée de Milet au VIe siècle avant JC jusqu'à Tacite au IIe siècle[1]. Hécatée, puis Hérodote, mentionnent simplement la localisation des Celtes. Les premières descriptions sont celles des grecs Polybe et Posidonios au IIe siècle avant JC. L’archéologie[modifier | modifier le code] Depuis les années 1950, l'archéologie a fait de nouvelles découvertes ; l'archéologie aérienne a ainsi permis de repérer des vestiges enfouis, décelables sur les photographies par les modifications de couleur du sol ou de développement des cultures. Les littératures médiévales[modifier | modifier le code] Les Dieux[modifier | modifier le code] Lug[modifier | modifier le code]
les dieux de la mythologie nordique Hel Publié le 28/12/2010 à 21:28 par darkdreamsTags : Hel déesse Hel est la déesse des morts, elle est la fille de Loki et de Angrboda sœur de Fenrir et de Jörmungand. Dans les croyances nordiques ancestrales pré-chétiennes Hel est l'une des hypostases de Freyja la Grande Déesse mère le nom hel (helja) signifie : accueillir, cacher, car Freyja est aussi la déesse de la mort qui accueille la moitié des guerriers. Elle est également la déesse guerrière. Forseti Publié le 28/12/2010 à 21:13 par darkdreamsTags : forseti dieu Forseti (Fosite, Foseti, Forsete) était un des Ases, le fils de Balder et de Nanna. Il joue un rôle peu important dans la mythologie telle que nous la connaissons. Sa demeure, Glitnir (qui signifie brillant), était dans les cieux. Frigg Publié le 28/12/2010 à 21:07 par darkdreamsTags : frigg déesse Frigg est une Ase, déesse-mère épouse d'Odin, mère de Baldr et de Hödr. Frigg patronne le mariage et la maternité dans la mythologie nordique. Hermod Balder Hoder Heimdall Tyr Njörd Loki
Mythologie celtique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Il y a cependant des correspondances entre les divinités des différentes zones géographiques, des équivalences dans les mythes et l’omniprésence des druides, tant en Gaule que dans les îles Britanniques. Des éléments importants de la mythologie celtique ont été repris dans le corpus littéraire appelé Matière de Bretagne, notamment dans le cycle arthurien. La problématique des sources[modifier | modifier le code] Sur le chaudron de Gundestrup (IIe siècle av. Gaule[modifier | modifier le code]
Gilgamesh Gilgamesh Palais de Sargon Gilgamesh est un roi à demi légendaire de la cité d'Ourouk (Uruk), qui aurait régné vers 2600 avant notre ère. D'origine sumérienne, ce récit s'est transmis d'abord de manière orale, puis il fut écrit vers 2000 avant notre ère à Babylone. Celui qui a tout vu, [Sha nagba imuru]. Monarque semi-légendaire Gilgamesh, "celui qui a tout vu" , est le héros à la fois despotique et humain d'une longue épopée mainte fois remaniée qui est la base de la littérature antique. « La courtisane Shamhat enlève ses vêtements dévoile ses seins, dévoile sa nudité et Enkidu se réjouit des charmes de son corps. Pour mettre un frein à la fougue tyrannique du roi Gilgamesh, les dieux qui reçoivent les doléances de son peuple, demandent à la déesse Aruru de faire naître dans le désert un homme fort et sauvage, Enkidu ou Enkidou (la créature d'Enki), qui saura s'opposer à l'activité fébrile du roi. Enkidu sous la forme semi animale combat Gilgamesh.
La Mythologie Celte La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Dès que l'on aborde le domaine celtique, que ce soit au niveau de la civilisation, du druidisme ou de la mythologie, on se trouve inévitablement confronté au problème des sources. Deux types de sources nous livrent des informations générales. En ce qui concerne le domaine gaulois les sources dont on dispose sont très rares et très fragiles. Outre les textes latins, les vestiges archéologiques (bas-reliefs, statues, monnaie) et la toponymie permettent d'en savoir un peu plus, et de localiser certains lieux de culte. Dieux Totémiques
Liste de créatures fantastiques de la mythologie grecque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article se veut une liste, aussi complète que possible, des créatures fantastiques présentes dans la mythologie grecque. Les noms sont regroupés par catégorie quand c'est possible, et triés par ordre alphabétique. Enfants de Gaïa (la Terre) et de son fils Ouranos (le Ciel), ce sont des géants pourvus de cinquante têtes et de cent bras. Le Petit Albert (1782) -- première partie This is another French Grimoire or handbook of magic. L'editeur n'endorse ni ne recommende les methodes et recettes inclus dans ce livre. -JHP NOTE: the editor does not endorse or recommend any of the recipes found in this book. Des secrets contenus dans ce petit trésor. Page 11. VOici une nouvelle édition du livre des merveilleux secrets du Petit Albert, connu en Latin soius le titre de Alberti Parvi Lucii Libellus de mirabilibus naturæ arcanis: l'auteur, à qui on l'attribue, ayant été un de ces grands hommes, qui par le peuple ignirant ont été accusés de magie; (c'étoit autrefois le sort de tous les grands esprits qui possédoient quelque chose d'extraordinaire dans les sciences, de les traiter de magiciens.) Or, il est besoin de savoir que par l'ascendant des astres on doit entendre leurs favorables dispositions entre elles; comme font leurs aspects ou regards, leurs entrées & demeure [8] dans les signes célestes. Autre pour l'amour. Enula Campana [figure] Pour nouer l'aiguillette. [38.
Les Barbares : vraiment différents ? Chez tous les peuples, la peur des autres s’est toujours entremêlée, dans des proportions inégales, avec une curiosité pour leur différence, avec une fascination en face de leur étrangeté, avec, parfois, une sympathie pour ceux que l’exil a déraciné. Notre actualité, qui est grosse d’incertitudes sur le sort des Syriens et des Africains que la guerre ou la faim jettent sur les rives de l’Europe, est destinée à exaspérer ces sentiments et à exalter les passions du rejet. A telle enseigne que beaucoup de nos concitoyens sont portés à refouler au-delà de nos frontières les hommes et les femmes qui, nourris d’un patriotisme différent et alourdis de malheurs, prétendent à rejoindre notre sol et notre façon de vivre. Mon invité, Bruno Dumézil, maître de conférences à l’Université de Paris Ouest Nanterre La Défense, a été récemment l’instigateur et l’organisateur d’un magnifique dictionnaire intitulé tout simplement Les Barbares, auquel sa propre science a beaucoup contribué. Bibliographie :