Bibliotheca Classica Selecta Mythologie celtique Peuple Indo-européen, les Celtes ont émigré depuis l'est de l'Europe au cours du second millénaire avant notre ère. Lors de leur expansion maximale, ils occupaient toute l'Europe depuis l'Espagne jusqu'à la Turquie actuelle. Puis ils se sont retirés, autour de 200 avant notre ère, dans les territoires les plus à l'ouest: la Bretagne en France, l'Angleterre, le Pays de Galles, l'Irlande et l'ouest de l'Écosse. Dans les fiches qui suivent un dessin signalera l'appartenance à l'une ou à l'autre mythologie. Nous connaissons les Celtes continentaux à travers les historiens romains qui ont "interprété" à l'aune de leurs connaissances les dieux celtiques en termes de leurs équivalents romains approximatifs, leur faisant perdre leur saveur celtique en cours de route. On peut obtenir des informations plus sûres sur les Celtes de l'ouest parce que l'Irlande n'a jamais été romanisée et elle n'a été convertie au Christianisme qu'au Ve siècle de notre ère.
La Mythologie Celte La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Dès que l'on aborde le domaine celtique, que ce soit au niveau de la civilisation, du druidisme ou de la mythologie, on se trouve inévitablement confronté au problème des sources. Deux types de sources nous livrent des informations générales. En ce qui concerne le domaine gaulois les sources dont on dispose sont très rares et très fragiles. Outre les textes latins, les vestiges archéologiques (bas-reliefs, statues, monnaie) et la toponymie permettent d'en savoir un peu plus, et de localiser certains lieux de culte. Dieux Totémiques
Les 18 règles de vie du Dalai-Lama à partager le plus possible Le Dalaï-Lama, grand ambassadeur de l'humanisme dans le monde entier est une figure emblématique pour bon nombre d'entre nous. Ses philosophies sont évocatrices de paix de partage et d'échange. On retrouve bien sur ses valeurs dans le monde du voyage. Je tenais moi aussi, au nom de Voyager Loin, à parler de ces 18 règles de vie. Partagez les sans modération ! Photo © Jamie Williams 1. Le risque est impliqué dans chaque grande occasion de la vie. 2. Si vous oubliez ce que vous avez appris à ne pas faire, vous serez condamnés à répéter vos actions. 3. Respect de soi – La confiance est la clé de la réussite et si une personne ne se respecte pas, vous ne pouvez pas croire en elle. Respect des autres – Et vous serez respectés en retour. Responsabilité pour toutes vos actions – Vous êtes seul responsable de vos sentiments, de vos actions, de votre réussite, etc. 4. Essayer d’obtenir tout ce que vous désirez ne sera pas nécessairement bon pour vous dans le long terme. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11.
Mythologie nordique Moins connue que la mythologie gréco-romaine, la mythologie nordique (et germanique) recèle pourtant de nombreux trésors et apparait comme l'une des plus riches d'Europe. Elle nous présente le monde au travers d'une vision souvent contradictoire, de contes et de légendes des peuples nordiques. Ces peuples parlaient des langues saxonnes, et non celtes, slaves ou latines. BalderFenrirFreyja HelOdinRagnarokThor Les conditions de vie plus rudes ont largement contribué à créer de grandes différences avec la mythologie gréco-romaine dont la plus remarquable est sans doute le fait que les dieux sont mortels. Thor et le serpent de Midgard d'après Fuseli © Royal Academy of Arts Les rares témoignages écrits dont nous disposons nous viennent d'observateurs extérieurs tel l'historien romain Tacite, puisque les Saxons ne connaissaient pas l'écriture au sens où nous l'entendons. Il y a plusieurs façons d'orthographier les noms de la mythologie nordique. Panthéon
Mythologie celtique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Il y a cependant des correspondances entre les divinités des différentes zones géographiques, des équivalences dans les mythes et l’omniprésence des druides, tant en Gaule que dans les îles Britanniques. Des éléments importants de la mythologie celtique ont été repris dans le corpus littéraire appelé Matière de Bretagne, notamment dans le cycle arthurien. La problématique des sources[modifier | modifier le code] Sur le chaudron de Gundestrup (IIe siècle av. Gaule[modifier | modifier le code]
I. Anzar, dieu orphelin Détails Écrit par Ameziane Kezzar & Mohand Lounaci Affichages : 1209 Anzar, un dieu païen, sans temple et sans icône, mais ô combien vivant dans notre mémoire. Le bienfaiteur vers qui nous ne cessons de nous tourner chaque fois que la sécheresse menace et frappe notre terre. Il continue, jusqu'à nos jours, de par sa puissance et sa majesté, de hanter notre imaginaire. Anzar, dieu de la fertilité, celui qui crève les nuages et arrose de ses pluies nos terres. Maître de la métamorphose, c'est sous l’aspect d'un éclair immense qu'il venait en temps des sécheresses chercher ses Ganymède féminins. Anzar, dieu de la pluie surprit un jour, dans une rivière aux reflets d'argent, se baigner toute nue une fille de grande beauté. Mais la future déesse n'oublie pas les siens. Qui est l'équivalent d'Anzar chez les anciens Grecs et Romains? Car au même moment, - qui sait ? Se manifestant sous l'aspect d'un trait de lumière immense, notre dieu ne pourrait-il pas être Zeus-Jupiter lui-même ?
Mythologie celtique gauloise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sources[modifier | modifier le code] Les témoignages antiques[modifier | modifier le code] La classe sacerdotale des druides connaissait l'écriture, mais privilégiait systématiquement la transmission orale. Aussi les premiers documents écrits sont ceux d'écrivains grecs et latins, depuis Hécatée de Milet au VIe siècle avant JC jusqu'à Tacite au IIe siècle[1]. Hécatée, puis Hérodote, mentionnent simplement la localisation des Celtes. Les premières descriptions sont celles des grecs Polybe et Posidonios au IIe siècle avant JC. L’archéologie[modifier | modifier le code] Depuis les années 1950, l'archéologie a fait de nouvelles découvertes ; l'archéologie aérienne a ainsi permis de repérer des vestiges enfouis, décelables sur les photographies par les modifications de couleur du sol ou de développement des cultures. Les littératures médiévales[modifier | modifier le code] Les Dieux[modifier | modifier le code] Lug[modifier | modifier le code]
Art des Aborigènes d'Australie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bûche creuse de tombe aborigène. Le terme art aborigène désigne aussi bien l'art des Aborigènes d'Australie qui précédèrent la colonisation que celui d'artistes aborigènes contemporains encore influencés par leur culture traditionnelle. De rares teintures ocre ont aussi servi de monnaie d'échange dans le nord de l'Australie. Sculptures, gravures, dessins de sable[modifier | modifier le code] Nacre gravée, Lonka-Lonka aborigène. Coquillages gravés. Le plus souvent qualifiés de "Lonka-Lonka", les larges coquillages en nacre sont gravés de motifs figuratifs ou abstraits. Aspects religieux et culturel de l'art aborigène[modifier | modifier le code] Presque toujours, l'art aborigène traditionnel se rapporte au Temps du rêve mythologique, qui remonte à plusieurs siècles si ce n'est plusieurs milliers d'années, dans une sorte de continuité historique où le présent et le passé ne cessent de se conjuguer et se réinventer.
Le Petit Albert (1782) -- première partie This is another French Grimoire or handbook of magic. L'editeur n'endorse ni ne recommende les methodes et recettes inclus dans ce livre. -JHP NOTE: the editor does not endorse or recommend any of the recipes found in this book. Des secrets contenus dans ce petit trésor. Page 11. VOici une nouvelle édition du livre des merveilleux secrets du Petit Albert, connu en Latin soius le titre de Alberti Parvi Lucii Libellus de mirabilibus naturæ arcanis: l'auteur, à qui on l'attribue, ayant été un de ces grands hommes, qui par le peuple ignirant ont été accusés de magie; (c'étoit autrefois le sort de tous les grands esprits qui possédoient quelque chose d'extraordinaire dans les sciences, de les traiter de magiciens.) Or, il est besoin de savoir que par l'ascendant des astres on doit entendre leurs favorables dispositions entre elles; comme font leurs aspects ou regards, leurs entrées & demeure [8] dans les signes célestes. Autre pour l'amour. Enula Campana [figure] Pour nouer l'aiguillette. [38.
Serpent arc-en-ciel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Peinture aborigène représentant le serpent arc-en-ciel Le Serpent arc-en-ciel ou Ndjamulji appelé aussi Waagal, Wagyl ou Yurlungur est un être mythologique majeur pour le peuple Aborigène d'Australie. Il est considéré comme l'habitant permanent des puits et contrôle ainsi l'eau, la source de vie la plus précieuse. Parfois imprévisible, c'est le Serpent arc-en-ciel qui rivalise avec l'implacable soleil, pour reconstituer les réserves d'eau. Ce combat épique est décrit dans le Temps du rêve. C'est donc un protecteur bienfaiteur de son peuple, mais il peut aussi punir ceux qui enfreignent la loi. Pour le nomade aborigène marchant dans le 'bush', le serpent est un signe de la Terre indiquant un point d'eau proche et l'arc-en-ciel est un signe du Ciel indiquant une pluie récente dans cette direction. Yurlungur Portail des créatures et animaux légendaires
Le Petit Albert (1782), part 2 Part 2. This edition by Joseph H. Peterson, Copyright © 2002, 2003, 2006, 2009. All rights reserved. It took me over six years to complete this transcription. L'editeur n'endorse ni ne recommende les methodes et recettes inclus dans ce livre. NOTE: the editor does not endorse or recommend any of the recipes found in this book. On trouve des petites pierres rondes & verdâtres au pied du mont Cenis, qui ont telle vertu, que si vous en mettez une dans chaque oreille d'un cheval furieux, & que vous serriez ses oreilles avec laa main, le cheval deviendra doux & traitable; ensorte que non-seulement on le montera facilement, mais le maréchal le ferrera sans qu'il regimbe aucunement. [55.] [56.] On rapporte du fameux Gigés, qu'il parvint au trône de la Lidie par le moyen d'un anneau magique, qui le rendant invisible, lui donna la facilité de commettre adultere avec la reine & de tuer le roi. Jesus passant + par le milieu d'eux + s'en alloit +; [57.] [58.] [59.] Dimanche, les heures de la nuit.
Mère, déesse Mère. Le nom de Mère des dieux ou de Déesse Mère a d'abord été donné à une divinité féminine de l'Asie Mineure, dont le culte prépondérant en Phrygie constituait la religion principale de ce pays. Il se retrouve également en Thrace et dans le monde hellénique. assimilèrent à la Mère des dieux leur Rhea, mère de Zeus et des principaux dieux olympiens. La Vénus de Lespugue, une statuette en ivoirevieille de plus de 20 000 ans. Si haut que nous remontions - et il apparaît que l'on pourrait faire remonter les cultes de la Déesse mère jusqu'aux tréfonds du Néolithique et probablement du Paléolithique, s'il l'on interprète ainsi ces statuettes féminines qui se répandent dans toute l'Europe depuis le Gravettien (30 000 - 20 000 ans) -, la Mère des dieux se présente comme la divinité suprême d'une religion naturaliste, où elle était regardée comme le principe de toute vie. . , elle devient même déesse de la mer. Souvent la Mère des dieux est considérée spécialement comme déesse de la Terre. , Pergame .