Livres sibyllins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sybille de Cumes présente les livres sibyllins au roi Tarquin (illustration d'un livre scolaire anglais, 1912). Les livres sibyllins sont un recueil d'oracles grecs conservé à Rome dans l'Antiquité. Les livres sibyllins ne sont consultés qu'à la suite d'un prodige (ou présage) grave. À la fin de l’Empire romain d'Occident, probablement lors des mesures antipaïennes promulguées par Honorius à partir de 404, les chrétiens s’emparèrent des livres sibyllins et les brûlèrent[5]. Liste (non exhaustive) des consultations de livres sibyllins[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Les Nocturnes du Plan de Rome - 3D - Les origines de Rome (03 février 16) [archive] Portail de la Rome antique
Évhémère 316 av. J.-C. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Évhémère (en grec ancien Εὐήμερος / Euhếmeros), né aux alentours de 316 av. J.-C., est un mythographe grec de la cour de Cassandre, auteur de L'Écriture sacrée, roman de voyage fantastique. Le lieu de naissance d'Évhémère est contesté : il serait né à « Messine » (mais ce nom peut désigner soit Messine en Sicile, soit Messène dans le Péloponnèse), alors que d'autres penchent plutôt vers Chios, et Théophraste le dit de Tégée[1]. Son roman est à l'origine de la théorie de l'évhémérisme. Son œuvre (roman)[modifier | modifier le code] Elle ne nous est connue que de seconde ou de troisième main, traduite en latin par le poète Ennius, puis perdue mais transmise par un compte rendu donné dans les Institutions divines de l'apologiste chrétien Lactance, puis par un autre résumé transmis par Diodore de Sicile, mais on trouve des allusions à Évhémère chez plusieurs autres auteurs grecs et latins[2],[3],[4],[5]. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Walther Kranz Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vie[modifier | modifier le code] Kranz étudia la Philologie Classique à Berlin de 1903 à 1907 avec Ulrich von Wilamowitz-Moellendorf, Hermann Diels et Eduard Norden. Il reçut son doctorat en 1910 avec Wilamowitz-Moellendorf. Il enseigna pendant plusieurs années à Berlin dans l'école expérimentale de Grunewald. En 1932, il rejoint l'Université de Halle en tant que professeur honoraire de langues classiques. Postérité[modifier | modifier le code] Avec Hermann Diels et comme lui, il est aujourd'hui surtout connu pour leur catalogue de fragments des textes perdus des penseurs présocratiques, qui est encore une référence incontournable de nos jours. « La guerre est le père de toute chose, et de toute chose il est le roi[1]. » Œuvres[modifier | modifier le code] Stasimon. Bibliographie[modifier | modifier le code] Gerhard Baader. Références[modifier | modifier le code]
Culte de Mithra Le mithraïsme — parfois mithriacisme ou mithrach[k]isme — ou culte de Mithra (en persan : مهرپرستی ) est un culte à mystères apparu probablement pendant le IIe siècle av. J.-C. en Perse. Durant les siècles suivants il se propage dans tout l'Empire romain et atteint son apogée durant le IIIe siècle. Ce culte est particulièrement bien reçu et implanté chez les soldats romains. À la fin du IVe siècle, l'empereur Théodose entreprend d'éradiquer les religions autres que le christianisme. Mithra sacrifiant le Taureau (100-200 apr. Principes du mithraïsme[modifier | modifier le code] Les informations, plutôt fragmentaires, disponibles sur le culte de Mithra et sa pratique pendant le Bas-Empire romain le situent parmi les « cultes à mystères » de type initiatique. Le mithræum[modifier | modifier le code] Le culte de Mithra s'exerce dans des temples nommés mithræa (au singulier, mithræum). Le mithræum type comporte trois parties : Mythologie et iconographie[modifier | modifier le code]
Mazdéisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mazdéisme est une religion de la Perse antique qui doit son nom à son dieu principal, Ahura Mazda. Le livre sacré du mazdéisme est l'Avesta. Le mazdéisme a été la religion officielle des empires perses mède, achéménide, parthe et sassanide. Il s'articule autour de l'opposition entre Ahoura Mazdâ, « Le seigneur Sage », et les démons, dont Angra Manyou, « L'Inspirateur Maléfique », est le chef. C'est cette opposition dualiste qui fonde la cosmologie, l'activité rituelle et la fonction royale[1]. Le zoroastrisme, du nom de Zoroastre/Zarathoustra, est, selon les auteurs, un autre nom pour mazdéisme[2], ou bien une réforme du mazdéisme[3][source insuffisante]. Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Grands livres du mazdéisme[modifier | modifier le code] En anglais : Zoroastrian Archives [1] [archive] Études sur le mazdéisme[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Les mystères des Montagnes Bucegi À l’été de 2003, dans une région inexplorée des monts Bucegi, Roumanie, une équipe du Département Zéro (une section top secrète du Service roumain de renseignements – SRI), avait fait une découverte archéologique qui pourrait complètement changer le destin de l’humanité. Les Etats-Unis d’Amérique ont exercé une pression diplomatique colossale sur le gouvernement roumain, qui désirait divulguer les résultats au monde entier. Les implications sont devenues beaucoup plus complexes en raison de l’ingérence brutale de l’Ordre des Illuminati, qui a cherché à prendre le contrôle à la fois du lieu de la découverte et de l’expédition commune roumano-américaine. L’expert en phénomènes étranges, et aussi le chef des opérations pour l’Etat roumain, Cezar Brad, est le «héros» des événements choquants survenus dans les monts Bucegi. II . En mai 2003, Cezar a été visité par un personnage très important. Cezar a ressenti une pression élevée et un poids lourd autour de cette personne. III. IV . V. VI .
Hermann Diels Hermann Diels. Vue de la sépulture. Hermann Alexander Diels, né à Biebrich le 18 mai 1848 et mort à Dahlem le 4 juin 1922, est un philologue allemand, spécialiste de la philosophie antique. Il est enterré au cimetière de Dahlem. Travail sur les doxographes[modifier | modifier le code] Diels et Hermann Usener, son maître et inspirateur, avaient remarqué les similitudes existant entre les Placita, résumé des opinions des philosophes antérieurs faussement attribués à Plutarque, et les Eclogæ physicæ, surtout leur livre premier, de Jean Stobée, un compilateur du Ve siècle. « Diels se propose donc de reconstruire la table des matières d'un "simulacre du monument théophrastéen", parce qu'il a l'obsession du retour aux sources (si possible une source unique) et qu'il veut retrouver la filiation historiquement exacte. L'édition des Présocratiques[modifier | modifier le code] Le même Jean Bollack avait écrit (op. laud., p. Autres œuvres[modifier | modifier le code] Élèves[modifier | modifier le code]
Tétrarchie Il ne faut pas confondre les tétrarques de l'Empire romain avec ceux de Judée, mentionnés dans l'évangile de Luc, qui font référence à un titre issu de la division en quatre du royaume d'Hérode, en l'an 4 apr. J.-C. Le terme « Tétrarchie » vient du grec ancien τετραρχία / tetrarkhía signifiant « gouvernement des quatre », par adjonction de la quantité τέσσαρες / téssares « quatre » au substantif ἀρχία / arkhía « gouvernement »[réf. nécessaire]. Sous la pression des invasions barbares, l’Empire romain connaît une grave crise tout au long du IIIe siècle[1]. Cependant, l’empire n’est pas divisé, et Dioclétien garde toute autorité sur son césar, ainsi que sur l’ensemble de l’empire et des légions. Dioclétien considère l’imperium comme une fonction, et non comme un pouvoir personnel à vie. Les deux premiers césars, tous deux généraux, sont Galère, choisi par Dioclétien, et Constance Chlore, choisi par Maximien. Dominée par Dioclétien, la première tétrarchie fonctionne parfaitement.
Là où brûle le feu de Zarathoustra | Ma vie à Téhéran C’est l’histoire d’un feu qui brûle depuis presque deux millénaires. Sans interruption – ni du feu, ni de l’histoire. Nous sommes à Yazd, au centre de l’Iran. Les oiseaux reconnaissent cette oasis à des kilomètres : en plein désert, impossible de ne pas voir ces toits pommelés, couverts de petits dômes couleur ocre, entourés par les tours des bâdgir (littéralement : « attrape-vent ») et par d’immenses minarets qui semblent surgir des profondeurs de la terre. Le taxi qui m’a récupérée à la gare routière essaye de s’engager dans le labyrinthe yazdi, parmi les vendeurs d’amulettes, de miroirs, de tapis, de pierres de turquoise, et de faloodeh yazdi (un dessert glacé). On arrive enfin devant la khoone-ye sonati où je vais rester pendant mon séjour à Yazd. Entretenir la flamme Il existe une histoire de caravansérail et de feu sacré qu’il convient de raconter, tant elle illustre le syncrétisme historique de la région. Ainsi parlait Zarathoustra La montagne qui ne cesse de pleurer
Une mystérieuse base « alien découverte en Roumanie | «Michelduchaine Introduction (*texte traduit du roumain …les sources sont roumaines) Dans l’été 2003, dans une zone inexplorée des monts Bucegi , une équipe du Département zéro (une section top secret du Service roumain de renseignements – SRI), avait fait une découverte d’époque, ce qui pourrait changer complètement eu le destin de l’humanité. Les Etats-Unis d’Amérique ont exercé une pression diplomatique colossale sur le gouvernement roumain, qui vise à divulguer les résultats pour le monde entier. Les implications sont devenus beaucoup plus complexes en raison de l’ingérence brutale de l’Ordre des Illuminati, qui a cherché à prendre le contrôle de deux l’emplacement de la découverte et de la Roumanie conjointe -. expédition américaine L’expert sur les phénomènes étranges, et aussi le chef de file des opérations de l’Etat roumain, Cezar Brad, est le «héros» des événements choquants survenus dans les monts Bucegi. Cezar sentait une pression élevée et un poids lourd autour de cette personne. III.
Diagoras de Mélos Diagoras de Mélos (en grec ancien : Διαγόρας ὁ Μήλιος), parfois dénommé Diagoras le Mélien ou Diagoras l'Athée, est un législateur, poète lyrique et sophiste grec du Ve siècle av. J.-C. Disciple de Démocrite, il est resté dans l’histoire comme l'un des plus célèbres athées de l'antiquité[1],[2]. Notice biographique[modifier | modifier le code] Une allusion des Nuées d'Aristophane - pièce représentée pour la première fois en 423 av. Procès d'impiété[modifier | modifier le code] Vers 416/415 av. La Souda[3] évoque une autre explication, liée à un premier procès, où Diagoras accuse un homme de lui avoir volé un péan. Il n'est pas impossible non plus que l'accusation soit due au contexte politique de la guerre du Péloponnèse. Quelle qu'en soit la cause, le procès condamne Diagoras à mort, sa tête étant de plus mise à prix (un talent pour sa mort, deux s'il est arrêté vivant)[11],[9]. Selon les sources, il meurt dans un naufrage[n 4] ou à Corinthe[3]. Œuvres[modifier | modifier le code] (en) W.