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Reportage - Drogues Et Cerveau - Alcool Et Tabac

L'action des drogues sur le cerveau Les stupéfiants qui influencent le plus fortement l’humeur sont les opiacés et les psychostimulants. Les psychostimulants ont pour effet d’accroitre la vigilance et réduisent les sensations de fatigue. A l’inverse, les opiacés ont un effet sédatif. En dépit des effets radicalement opposés de ces deux types de substances, elles ont la propriété commune d’augmenter la libération de dopamine, un neuromédiateur synthétisé par les cellules nerveuses du cerveau. En réalité, l’ensemble des drogues comme le tabac, l’alcool, l’ecstasy, l’héroïne, les médicaments psychoactifs ou bien encore le cannabis possèdent la même propriété et c’est précisément cette dernière qui rend les consommateurs « accros ». La dopamine est le neuromédiateur du plaisir. Synapse L’influx nerveux est un message de nature électrique qui se transmet de proche en proche le long des cellules nerveuses ou neurones. r devenir chimique. Connexion entre deux neurones

Comment se libérer de ses pensées et émotions toxiques pour mieux communiquer Pour bien communiquer, nous devons nous rappeler ce qu'est la communication. Selon le Petit Robert, communiquer signifie « être en relation ». La communication est une relation d'influence réciproque entre individus, car elle se compose de deux facettes : la transmission et la réception. Nous transmettons de l'information par la parole lorsque nous partageons ce que nous vivons ou ce que nous désirons. Nous recevons de l'information par l'écoute. Et vous, savez-vous quelles sont vos forces et vos faiblesses ? De plus, il est très important de nous rappeler que la communication ne se fait pas seulement avec la parole et l'écoute. Les statistiques nous disent que les mots ne comptent que pour 7 % de la communication, la voix pour 38 % et le non-verbal pour 55 %. Pourquoi est-ce donc si difficile de bien communiquer ? Commençons avec les difficultés de transmettre, c'est-à-dire d'exprimer ce que nous ressentons ou de faire des demandes claires et précises. Avec amour, Lise Bourbeau

Salles de shoot : pourquoi il faut sortir du débat idéologique Atlantico : Marisol Touraine a indiqué Dimanche sur BFM TV qu'elle espérait lancer l'expérimentation des salles de consommation de drogue en France dès cette année. Que pensez-vous de cette initiative ? S'agit-il d'une banalisation de l'usage des drogues ou d'une mesure pragmatique qui a fait ses preuves en terme de santé publique ? Fatma Bouvet de la Maisonneuve : Autant, je trouve que Vincent Peillon a lancé le débat sur la dépénalisation du cannabis de manière légère, autant je suis partisane des salles de shoots. Je pense qu'il faut placer le débat sur le plan médical et non idéologique. Aujourd’hui, ce sujet est malheureusement au centre de discussions idéologiques et les positions de chacun varient en fonction de leur camp politique. On connaît davantage de nos jours l’efficacité des traitements de substitution : je pense donc qu’il faut être progressiste sur les thérapies d’autant plus que ces salles de shoot sont des réussites dans certains pays comme la Suisse.

Pourquoi avons-nous autant de peurs ? Cette question, très courante de nos jours, est due au nombre croissant de personnes ayant de plus en plus de peurs. La peur est un sentiment qui accompagne la prise de conscience d’un danger ou d’une menace. Grâce à ce sentiment, le cerveau réagit instantanément en donnant les commandes nécessaires au corps physique afin que ce dernier soit en mesure de faire face à la situation qui représente un danger, une menace. Le cerveau envoie d’abord un message aux glandes surrénales. Celles-ci produisent immédiatement l’adrénaline, qui a pour rôle de libérer la réserve de glucose du corps permettant à celui-ci de réagir adéquatement. Il existe deux sortes de peurs : les peurs réelles et les peurs irréelles. Peurs réelles Voici quelques exemples de peurs réelles : Un gros chien se jette sur vous;Une auto se dirige tout droit sur vous ou votre enfant;Une personne lève le bras pour vous frapper; Il est naturel et utile d’avoir peur lorsqu’on est face à une situation dangereuse. Peurs irréelles

Le Colorado légalise l'usage récréatif du cannabis par référendum Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Le Colorado, dans l'ouest des Etats-Unis, est devenu mardi 6 novembre le premier Etat américain à légaliser, par voie référendaire, la consommation de cannabis à des fins récréatives, selon les estimations des médias américains. Selon le quotidien Denver Post, la proposition a été approuvée par 52,7 % des votants, contre 47,3 % s'y opposant (sur plus de 50 % des bulletins dépouillés), tandis que CNN et NBC donnaient 53 % des suffrages aux défenseurs de la proposition (sur plus de 50 % des bulletins dépouillés). De nombreux Etats américains autorisent la consommation de cannabis à des fins médicales, mais aucun n'avait jusqu'alors étendu la légalisation à la consommation récréative. Deux autres Etats ont soumis mardi à référendum la consommation de cannabis à des fins récréatives : l'Etat de Washington (nord-ouest), qui l'aurait également adoptée, et l'Oregon (nord-ouest), qui l'aurait rejetée, selon des résultats provisoires.

Le cerveau des enfants se construit en relation (traiter la mémoire traumatique des parents agit sur les comportements problématiques des enfants) L’influence de la mémoire traumatique et des styles d’attachement des parents sur les relations familiales Dans leur livre La régulation des émotions dans la famille, les autrices (thérapeutes et formées en Intégration du Cycle de la Vie) insistent sur la boucle relationnelle à l’œuvre dans les familles : un comportement enfantin qui pose problème aux adultes s’inscrit forcément dans une relation et il se peut que la relation soit dysfonctionnelle du fait d’une histoire traumatique parentale. Dans leur approche, elles prennent en compte le vécu des parents et l’impact de leur histoire de vie traumatique sur le fonctionnement de l’enfant. Les enfants sont par nature dépendants des adultes qui les entourent et ils ne naissent pas “hors sol” : ils se construisent en relation. Il est important de rappeler que la construction du système émotionnel d’un enfant dépend en grande partie de la qualité de la régulation émotionnelle dont ses figures d’attachement sont capables.

Comprendre la mémoire traumatique [Boris Cyrulnik] "Si la mémoire est saine, elle est évolutive." C’est par cette affirmation que Boris Cyrulnik débute sa conférence sur la mémoire traumatique. La mémoire d’un souvenir est évolutive, c’est-à-dire qu’elle change selon les âges et les contextes ; le trauma, lui, fige la personne dans le passé, le souvenir ne s'efface pas et se répète sans cesse. "La mémoire n’est plus saine". Elle est figée dans le passé. Traumatisée, il n’y a donc plus de présent possible pour la personne. Peut-on guérir de ses mémoires traumatiques ? Selon Boris Cyrulnik, "si on ne peut pas guérir de sa souffrance, on peut en faire quelque chose, à condition de pouvoir en faire un récit." Lors de ma première naissance, je n’étais pas là. Une conférence enregistrée en 2013. Boris Cyrulnik, neurologue, psychiatre et psychanalyste.

La blessure d’abandon et vos souffrances amoureuses Le concept des 5 blessures de l'âme (rejet, abandon, humiliation, trahison, injustice) initialement été mis en lumière dans les travaux de recherches du psychiatre américain John Pierrakos qui lui s'était inspiré de Wilhelm Reich, médecin, psychiatre, psychanalyste autrichien et Lise Bourbeau a par la suite fait connaître ce concept à plus grande échelle dans son livre Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même. Dans ma carrière en tant qu’auteure, coach, conférencière en santé, mieux-être, joie de vivre et libération émotionnelle depuis 20 ans, j’ai beaucoup étudié le concept des 5 blessures de l’âme et le partage à mes clients car c’est une base solide pour mieux comprendre nos scénarios de souffrance. Aujourd’hui, je porte la réflexion sur la blessure d’abandon spécifiquement car elle fait suscite bien des difficultés dans les relations affectives. Chaque blessure porte ce qu’on appelle un masque ou un mécanisme de défense. Vous arrive-t-il d’avoir la larme à l’œil facilement ?

Les 6 problèmes les plus courants des enfants hypersensibles (face aux personnes qui ne comprennent pas l'hypersensibilité) 1.La conscience des subtilités Tous les enfants hypersensibles ne remarquent pas les détails subtils (moindre petite odeur, micro changement de position d’un objet, modification d’une recette…). Certains n’y semblent plutôt pas conscients parce qu’ils sont davantage préoccupés par leur monde intérieur. Ou alors c’est plutôt l’intensité qui les dérange : un bruit fort, une lumière vive, un plat épicé… Mais cette subtilité s’exprimera d’une manière ou d’une autre : alimentation, vêtements ou encore situations sociales (micro expressions faciales qui passent inaperçues pour d’autres personnes). Par exemple, un enfant hypersensible va immédiatement remarquer l’absence d’un objet qui devrait être à sa place ou qu’il y a un sac près de la porte comme si quelqu’un avait essayé de le cacher en vitesse. Elaine Aron, spécialiste mondiale de l’hypersensibilité, propose quelques pistes pour accompagner cette hypersensibilité aux détails : 2.Le fait d’être facilement surstimulé ou surexcité

Hypersensibilité : comment identifier un hypersensible en 16 points PSYCHOLOGIE - Vous avez l’impression d’être souvent dans l’analyse? De beaucoup vous préoccuper de ce que ressentent les autres? Vous aimez les ambiances calmes, loin de l’agitation? Le succès de livres comme La force des discrets de Susan Cain a suscité un regain d’intérêt pour les personnalités introverties, mais Elaine N. Aron remarque que les hypersensibles sont encore considérés comme minoritaires. Ce qui n’est pas un défaut. LIRE AUSSI:• 18 choses que les gens créatifs font différemment des autres • 7 choses que les gens calmes font différemment des autres • 10 choses que les employés productifs font différemment des autres 1. La capacité à ressentir les choses plus vivement que les autres est l’une de leurs caractéristiques principales. 2. Les hypersensibles sont plus touchés par ce qui les entoure. 3. En fonction des cultures, la sensibilité peut être perçue comme un atout ou un défaut, ajoute Ted Zeff. 4. 5. Son conseil? 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. Contactez-nous

Savoir identifier la violence psychologique : première étape pour s'en sortir Dans son livre Le décodeur des violences psychologiques , Ariane Calvo définit la violence psychologique. Elle rappelle que, au quotidien, les violences psychologiques sont faites d’humiliations, de dévalorisations répétées, de reproches cassants ou insistants, qui visent à rabaisser l’autre. Elle précise que la violence psychologique est caractérisée par le fait qu’aucune réciprocité n’est possible. La violence psychologique n’est pas synonyme de dispute ou de conflit sur la base d’un désaccord, parce que, dans ces cas précis, les deux personnes s’expliquent. A l’inverse, dans le cas de la violence psychologique, la riposte est étouffée, dénigrée et finit par être anéantie. En effet, l’auteur ou l’autrice de violence psychologique réduit sa victime au silence parce que cette dernière renonce à son droit de réponse pour ne pas exciter l’escalade des reproches et des rabaissements et parce qu’il ne sert à rien de remettre en question le “système”, d’expliquer, d’argumenter.

Peut-on être sain d’esprit dans un monde de fous ? Brigitte Axelrad « Il est clair que nous ne pouvons pas distinguer le fou du non-fou dans des hôpitaux psychiatriques. L’hôpital lui-même impose un environnement spécial dans lequel les significations des comportements peuvent être comprises de travers. Les conséquences pour les patients hospitalisés dans un tel environnement – impuissance, dépersonnalisation, ségrégation, mortification et étiquetage diagnostique – semblent indubitablement contre-thérapeutiques. » David L. Rosenhan, “On being sane in insane places”, Science, 1973 [1] Si la santé mentale (sanity) et l’aliénation mentale (insanity) existent, comment les reconnaître ? » Telle est la question à laquelle David L. D. Association (APA) a publié en 1952 un manuel présentant 106 catégories clairement définies : le Diagnostic and Statistical Manual of mental disorders ou DSM-I » [3]. L’expérience des « faux patients » En février 1969, David Rosenhan se présenta à l’accueil d’un hôpital psychiatrique de Pennsylvanie. Les réactions des psychiatres

La perversion relationnelle (2017) de Yvane Wiart

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