Grands Magasins
MA VIE est l’exposé croisé de deux séries de souvenirs personnels, précis, infimes et authentiques. Nous nous émerveillons ensuite que ces faits passés restent présents dans la mémoire, tout en laissant percer le doute quant à la stricte fidélité du souvenir. Preuves à l’appui, nous constatons que la mémoire déforme, transforme bien des détails alors même que les sensations restent vivaces. Quantité d’événements semblent, ajoutons-nous, définitivement effacés. Que je me souvienne ou pas, fidèlement ou non, tous les instants vécus me constituent et ma tendresse va, c’est notre conclusion, à ceux que j’ai oubliés. Le passé ne cesse d'augmenter et avec lui le stock des souvenirs. Je me rappelle un nombre incalculable de choses. un matin de 1966, je me vois à l'envers dans la cuillère en 1973, j'essaye une mobylette en 1986, je m'érafle un doigt en râpant du fromage 1999 : j'aperçois des moutons de la même couleur que le pré 2006 : je fais un bond quand le téléphone sonne
élément trouvé + instruction + hasard
Le Grand Verre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Grand Verre est une œuvre de l'artiste français Marcel Duchamp, dont le nom original est La Mariée mise à nu par ses célibataires, même. Elle fut réalisée entre 1915 et 1923 à New York et est composée de deux panneaux de verre assemblés, peints pour partie à l'huile, et comprenant des inserts en plomb, de la poussière, etc. Elle fut brisée involontairement quelques années plus tard puis reconstituée. Marcel Duchamp arrêta de travailler sur Le Grand Verre en 1923. Dans un autre entretien accordé à Lewis Jacobs (Marcel Duchamp - In His Own Words, MoMA, 1978), Duchamp explique que cette composition doit beaucoup au poème Impressions d'Afrique (1910) de Raymond Roussel. Plus fondamentalement, Le Grand Verre serait la consécration d'un paradoxe découvert par Marcel Duchamp à la suite du refus de son œuvre Le Nu descendant un escalier par le salon cubiste de Paris en 1912. Notes et références[modifier | modifier le code]
la main d'oeuvres
Ouvroir de littérature potentielle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Ouvroir de littérature potentielle, généralement désigné par son acronyme OuLiPo (ou Oulipo), est un groupe international de littéraires et de mathématiciens se définissant comme des « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir[1]. » L'OuLiPo se définit d'abord par ce qu'il n'est pas[2] : Ce n'est pas un mouvement littéraire.Ce n'est pas un séminaire scientifique.Ce n'est pas de la littérature aléatoire. Premier d'une longue série d'ouvroirs rassemblés sous le terme Ouxpo — prononcé « Ou-X-Po », le X étant généralement remplacé par une syllabe articulable tel que OuMuPo (musique) ou OuBaPo (bande-dessinée) —, l'Oulipo est une association fondée en 1960 par le mathématicien François Le Lionnais, avec comme cofondateur l'écrivain et poète Raymond Queneau. L'Oulipo anime parfois, sans les organiser, des ateliers d'écriture[3]. Historique[modifier | modifier le code] Présentation[modifier | modifier le code] l’âge
Nasa : deux points brillants dénichés sur la planète Céres
La sonde américaine Dawn en route vers Cérès a retransmis des images de la plus petite planète naine du système solaire sur lesquelles apparaissent deux mystérieux points brillants. "Le point le plus lumineux reste encore trop petit pour être net sur l'objectif de la caméra mais en dépit de sa taille c'est le point le plus brillant sur Cérès, ce qui est vraiment inattendu et reste un mystère pour nous", indique jeudi dans un communiqué Andreas Nathues, un chercheur responsable de la caméra à l'Institut Max Planck pour la recherche sur le système solaire en Allemagne. Une origine volcanique possible "Les deux points se trouvent apparemment dans le même bassin, ce qui pourrait indiquer une origine volcanique", pense quant à lui Chris Russell, principal responsable scientifique de la mission Dawn de la Nasa, basé à l'Université de Californie à Los Angeles. Une première détection véritable de vapeur d'eau
Amorosart
Fluxus
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. George Maciunas, Manifeste Fluxus, 1963 Fluxus est un mouvement d'art contemporain né dans les années 1960 qui touche aussi bien les arts visuels que la musique et la littérature[1], par la réalisation de concerts, d'events, la production de livres, de revues, la confection d'objets. §Histoire[modifier | modifier le code] §Genèse du mouvement[modifier | modifier le code] Entre 1958 et 1961[5], de jeunes artistes, influencés par le dadaïsme, par l'enseignement de John Cage - lui-même inspiré par la philosophie zen et les ready-made de Marcel Duchamp -, effectuèrent un minutieux travail de sape des catégories de l'art par un rejet systématique des institutions et une profonde remise en question de la notion d'œuvre d'art[6]. George Maciunas, inspiré par Yoko Ono, organise alors dans sa galerie AG des événements[12]. §Festivals européens[modifier | modifier le code] §La revue Fluxus cc V TRE et les boîtes[modifier | modifier le code]