Travailler en équipe pour améliorer sa productivité Nous sommes tous amenés à travailler en équipe, pour certains c’est un plaisir et un gain d’efficacité indéniable, pour d’autre c’est source d’amertume et de régression. Mais nous ne devrions jamais faire l’impasse sur le travail d’équipe, car c’est la source de notre créativité et l’essence de notre productivité. De la difficulté de travailler en équipe Le travail en groupe est souvent générateur de frustration, d’incompréhension et de discorde. Les difficultés identifiées dans une équipe de travail se trouvent à tous les niveaux, organisation, individus, mise en œuvre… En voici quelques unes clairement pointées par la plupart des entreprises : difficultés en lien avec la tâche (manque d’information, problème de répartition du travail…)difficultés en lien avec l’organisation du travail (absence de synthèse, manque de moyens pour atteindre les objectifs…)difficultés en lien avec la communication au sein du groupe (hiérarchie, mauvaise répartition de la parole, management vertical…)
Management 2.0 : le secret des équipes à haute performance Quelle est la différence entre un simple groupe et une véritable équipe ? Qu’est-ce qui fait que certaines équipes arrivent à relever des défis alors que d’autres échouent lamentablement ? Depuis de nombreuses années, le cabinet de conseil en stratégie McKinsey étudie les sources de la performance de dizaines d’équipes dans le monde entier, afin d’en tirer des enseignements en termes de management coopératif. 1- La généralisation du modèle d’organisation par équipe Les équipes sont omniprésentes dans l’exercice du management. 2- Groupe vs équipe : quelle différence ? On parle d’équipes alors qu’il ne s’agit souvent que de groupes. Depuis de nombreuses années, le cabinet de conseil McKinsey étudie les sources de la performance de dizaines d’équipes travaillant dans le monde entier. 3- Qu’est-ce qu’une équipe à haute performance ? Selon les recherches du cabinet McKinsey (i) les membres des équipes à haute performance possèdent les qualités suivantes : (i) M.
Management Post Moderne La logique du manager de demain: adaptée à l'âme de sa tribu pour créer de la performance durable Le manager de demain réveillera l´envie d´entreprendre Tout lasse, tout casse, tout passe. Le moteur du management moderne était la conquête de l’espace et du temps par soucis de domination et de planification. Cette logique arrive aujourd´hui à saturation. Formulons l´hypothèse que le moteur du management postmoderne sera de résonner avec l´espace-temps par soucis d´harmonie, de reliance et de synchronisation. La vraie compétence de demain : réinventer le temps et l´espace de travail La logique du manager de demain Nous avons besoin de réhabiliter la valeur travail pour retrouver une performance durable. Retrouver une logique artisanale pour réhabiliter le travail Pour réhabiliter le travail, le manager postmoderne devra retrouver une logique artisanale en abandonnant la logique industrielle caractérisée par son uniformisation et sa standardisation du temps et de l´espace : l’artisan ne vend pas son temps, il vend ce qu’il fait de son temps. Passion, manager!
Religion au travail: les managers de plus en plus confrontés au sujet, sans que cela ne crée de conflits RELIGION - Près d'un manager sur quatre est confronté régulièrement au sujet de la religion au travail (demandes d'absence pour une fête, port de signes religieux...), presque deux fois plus qu'un an auparavant, selon une étude rendue publique mardi 21 avril. Selon cette enquête de l’institut Randstad et de l'Observatoire du Fait Religieux en Entreprise (OFRE), menée pour la troisième année, 23% des managers déclarent rencontrer régulièrement, c'est-à-dire de façon quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle, le fait religieux dans l'entreprise. Ils n'étaient que 12% dans ce cas en 2014. Selon les auteurs de l'enquête, ce résultat peut traduire une "banalisation" de ces sujets, les salariés hésitant moins à faire des demandes à leur hiérarchie en lien avec leurs croyances ou pratiques religieuses. Globalement, un manager sur deux a déjà été confronté au moins une fois à la question. Difficultés à "comprendre les besoins par rapport à certaines religions" Envoyer une correction Contactez-nous
La compétition peut pousser des employés à moins bien travailler Classer les employés améliore-t-il leur productivité ? Cela dépend de la culture de l'entreprise et du type de management qu'elle utilise, répond une étude américaine parue le 14 avril dans le Social Science Research Network. Dans les entreprises où le groupe est plus important que l'individu, cette pratique peut être contre-productive. L'expérience est la suivante: les chercheurs ont décidé de «noter» des routiers suivant leurs performances dans une entreprise ayant une culture individualiste, plutôt portée sur la compétition, et une entreprise où la culture du «lean» a été instaurée. Inspiré des techniques de management développées au Japon dans les usines de Toyota, le «lean» (maigre) vise à faire produire plus avec moins de moyens. Résultat, dans une entreprise classique, noter les individus fonctionne plutôt bien. Une culture collective contre-productive Pour les chercheurs, ces résultats sont dus à l'aspect «collectif» de la culture du lean instauré dans l'entreprise:
Comment lutter contre le gaspillage de temps au bureau - Les Echos Accueil Au lieu d'avancer sur leurs missions, certains employés passent plus de temps à « se la couler douce » ou à effectuer des recherches improductives. Il est nécessaire de les repérer pour les aider à regagner en productivité.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Politique Dialogue social : ce que dit le projet de loi Initialement centré sur la réforme du dialogue social en entreprise, le projet de loi s’est enrichi d’autres sujets sociaux sensibles. Jour J pour François Rebsamen et la réforme du dialogue social La réforme est présentée par François Rebsamen en conseil des ministres. France Jacques Freyssinet : "Il va falloir du temps aux acteurs sociaux... La réforme du dialogue social est-elle un simple dépoussiérage ou une révolution ? à lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Marine Le Pen à New York pour le gala du «Time» Les sites optimisés pour le mobile sont mis en avant.
La communication non verbale pour détecter quatre types de stress Le corps, les gestes, la voix, le regard, les mots ciblés comptent pour 93% de la compréhension des messages. La communication, notamment non verbale, est donc capitale pour faire baisser la pression dans l'équipe. L'idée pour le manager est de se synchroniser avec l'autre, afin d'être en phase avec lui. Mais attention à trouver le bon canal d'émission sinon le récepteur ne captera rien, ce qui augmentera le stress. Inspiré des travaux sur l'analyse transactionnelle (1), voici comment adopter quatre types d'attitudes en fonction des profils des collaborateurs. 1. Signaux du n-1 sous stress. >> Votre réponse : le toucher et la tonalité rassurantes. 2. Signaux du n-1 sous stress. >> Votre réponse: des contorsions toniques. 3. Signaux du n-1 sous stress. >> Votre réponse : une posture impavide et carrée. 4. Signaux du n-1 sous stress. Le profil "introverti", hésite avec des "euh", enchaînant les silences, les épaules rentrées, le regard intériorisé. >> Votre réponse: la prestance du corps.
Le "bore out", ou quand l'ennui du travail rend malade On connaissait le burn out, l'épuisement des travailleurs débordés. Mais on parle de plus en plus du "bore out", un syndrome très sérieux qui touche ceux qui n'ont pas assez de travail ou un travail inintéressant. Ça n'est pas très politiquement correct dans un pays qui compte 3,5 millions de chômeurs, mais une nouvelle "maladie" inquiète les professionnels de la prévention des risques au travail. Il s'agit du bore out. Bore comme ennui en anglais. Le syndrome d'épuisement professionnel par l'ennui commence à faire parler de lui. Ne souriez pas : selon les spécialistes qui l'ont étudié, notamment dans le journal d'épidémiologie d'Oxford, il multiplierait par trois le risque de maladies cardio-vasculaires chez ceux qui y sont exposés. Le travailleur est parfois surqualifié pour un poste Selon le cabinet Technologia, ce sont le secteur tertiaire et la fonction publique qui seraient les premiers concernés.
L'émergence d'un nouveau modèle performant : le management appréciatif, Le Cercle "Dans notre monde en constant changement, aux composantes de plus en plus complexes...", " l'année a été marquée par des difficultés économiques et financières, des déficits, un chômage important. Dans ce contexte, des efforts sont demandés à tous Alors, sommes-nous confrontés à vivre dans la peur ? Dans cette morosité ambiante, comment un manager ou un dirigeant peuvent-ils susciter au quotidien l'engagement, la motivation et la coopération dans leur organisation ? Là où les anciens modèles peuvent trouver leurs limites, là où se présente toujours la contrainte de "du plus" ou "du mieux" dans un paysage où la menace des risques psychosociaux et de la crise rodent, nous nous sommes posés la question de profiter des solides apports d'une discipline scientifique récente : la psychologie positive. De nos réflexions, nous posons qu'un manager est appréciatif quand il s'est construit une vision positive des êtres humains au travail et de leurs relations.
10 conseils pour le manager de demain Meryel Le Saget Sommaire Page 1. Changer sa conception du futur 3 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.S’adapter en permanence 12 Changer sa conception du futur Nous avions l’habitude d’envisager l’avenir en fonction de notre expérience et des évolutions prévues : trouver un travail à la fin de ses études, se marier et avoir des enfants, monter dans la hiérarchie, améliorer son niveau de vie... L’entreprise de son côté faisait ses plans en fonction des réalisations précédentes et extrapolait le passé pour se fixer des objectifs. Dans cette incertitude, il faut néanmoins assurer la pérennité de son entreprise et prendre des décisions importantes qui engagent l’avenir. La planification traditionnelle est dépassée, parce qu’il se peut que la crise soit définitive et que l’on ne revienne plus jamais au monde que l’on a connu. La manager du futur consacre du temps à développer une vision, plutôt qu’un plan stratégique. La vision que l’on développe du futur n’est jamais complète. Equilibrer son style de management 1. 2.
Cadre de proximité, une mission impossible ? Pris entre leurs directions et les équipes de terrain, les cadres de proximité sont soumis à rude épreuve. D’autant que les méthodes de management se doivent d’être respectueuses du bien-être des salariés. « J’ai mis 15 ans à apprendre mon métier de cadre. Et encore, je culpabilise souvent de ne pas être à la hauteur. Hervé, 47 ans, est cadre infirmier dans un hôpital psychiatrique. « Je passe beaucoup de temps à calmer le jeu, souligne Hervé. On les appelle désormais les « cadres de proximité » (ou encore manager de proximité) : ils sont cadres infirmiers, responsables d’agence dans une banque, chefs d’équipe dans une usine, chefs de chantier dans le bâtiment, chefs de rayon dans un supermarché, chefs de projet informatique et même rédacteurs en chef, etc. Fin des chefs et montée des exigences Longtemps, les cadres de proximité étaient des « chefs » dont le rôle était de commander et de surveiller. D’autant que les managers de proximité n’ont jamais reçu de formation. Stratégies