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La géographie des conflits / Yves Lacoste - Université Toulouse II-le Mirail

La géographie des conflits / Yves Lacoste - Université Toulouse II-le Mirail
La géographie des conflits / Yves Lacoste La géographie des conflits / Yves Lacoste. Conférence organisée par les Cafés géographiques et le Conseil Scientifique de l'Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre des Mercredis de la connaissance. Yves Lacoste : « Il faut distinguer différents types de conflits à la surface du globe, en fonction de leur ampleur, de leur contexte politique, des caractéristiques des adversaires : ainsi après le gigantesque conflit que fut la Seconde Guerre mondiale, les luttes pour l’indépendance de la 2° moitié du XX° siècle, et les confrontations entre « monde libre » et « monde communiste » elles aussi de la 2° moitié du XX°, n’existent plus aujourd’hui. - Géographie des conflits. - Bibliographie internationale de géographie politique et géopolitique. - Les conflits dans le monde 2010 : rapport annuel sur les conflits internationaux. - Géographie militaire et géostratégie. - Géopolitiques, manuel pratique. - Les espace de la politique. Diploweb

Les relations diplomatiques au Moyen Âge, Formes et enjeux Ce livre tente d'identifier, par les mots et les images du temps (lithographie ou grands genres), un " moment politique frénétique " français (1824-1834). A l'instar du " drame frénétique " lorsque, boulevard du Crime (notre boulevard du Temple), chacun allait pleurer, et plus encore se livrer aux délices de l'angoisse vécue en commun, de sept heures à dix heures du soir. Maïté Bouyssy interroge aussi bien l'usage des larmes et de la compassion, que la mise en scène de l'horreur. Autour de figures charnières - tel Louis XII, le roi malchanceux qui a accompagné la mode troubadour, avant et après la Révolution - et de l'expression de " flots de sang " qui circule dans les lettres et les arts, des images furent reçues comme politiques. Support Livre broché Nb de pages 322 p. Référence PUS124-09 Date de publication du format 01 mars 2012 Nombre de pages de contenu principal 322 Illustrations 3 Illustrations planches, noir et blanc Format 16 x 24 x 2 cm Poids 532 gr

Ligues urbaines et espace à la fin du Moyen Âge Érigée en principe général par la loi française de réforme des collectivités territoriales en 2010, l'intercommunalité est aujourd’hui appelée à couvrir tout le territoire français. L’ouverture des débats, au niveau local et national, sur le périmètre intercommunal idéal nous invite à sonder la dimension spatiale des ligues urbaines, ces ancêtres médiévales de l’intercommunalité. Elles nous ramènent à un temps où les réseaux de villes étaient en marge de l’espace politique français, tandis qu’ils prospéraient dans les espaces germaniques. Des chercheurs allemands, suisses et français proposent ici leurs regards croisés sur l’articulation des ligues à l’espace, entre perception, appropriations et représentations. Support Livre broché Nb de pages 248 p. Référence 114065-18 Date de publication du format 25 juin 2012 Nombre de pages de contenu principal 248 Illustrations planches, couleur Format 16,5 x 24 x 1,7 cm Poids 510 gr

FORMES ET GESTION DES CONFLITS Le rôle des interprètes en temps de guerre - Dire presque la même chose : traduire dans le Monde 3/4 - France Culture, 23 mars 2011 Accès à l’émission sur le site de France Culture.Durée : 51 minutes passionnantes sur un aspect souvent peu pris en compte. Le rôle de la langue, de la parole. Importance du passage d’une langue à une autre, d’une culture à une autre dans chacun de ces cas avec comme invité, Mathieu Guidère (professeur à l’UTM). Invité(s) :Mathieu Guidère, géopolitologue, spécialiste de veille stratégique multilingue et du monde arabe, Professeur titulaire de la chaire d’islamologie et pensée arabe à l’Université de Toulouse 2Bassam Baraké, professeur de linguistique à la faculté des lettres et sciences humaines de l’université libanaise de Beyrouth, secrétaire général des traducteurs arabesHasseb Hadeed, maitre de conférences à l’université de Mossoul Accès au fichier mp3 Suffit-il de se réconcilier pour avoir la paix ? Suffit-il de se réconcilier pour avoir la paix ?

18 | 2011 Le Japon et le fait colonial I La colonisation moderne, qui débute au milieu du xixe siècle, s'est déployée dans toute sa puissance entre le dernier tiers de ce siècle et la Première guerre mondiale sous l'impulsion des puissances ouest-européennes, de la Russie et du Japon. C'est à ce moment que le Japon constitue son empire colonial, en posant un pied dans la péninsule coréenne en 1876, avec le Traité d’« ouverture » du royaume de Chosŏn. L'archipel étend ensuite ses possessions coloniales jusqu’en 1914, en prenant l'île de Taiwan, conquise sur l'empire Qing en 1895, la péninsule coréenne (protectorat en 1905, annexée en 1910), la moitié sud de l'île de Sakhaline (1905), la péninsule du Liaodong, située au sud de la Mandchourie (1905) tout en étendant des concessions ferroviaires au sud-mandchourien, et l'archipel micronésien (1914).

Après la conquête coloniale Recensé : Mary Dewhurst Lewis, Divided Rule. Sovereignty and Empire in French Tunisia, 1881-1938, Berkeley, University of California Press, 2014, 320 p. Depuis ces dernières années, l’histoire des empires coloniaux est florissante [1]. Tout en s’inscrivant dans ce courant, Divided Rule frappe par sa démarche. Suivant des « géographies de pouvoir » (p. 5), Mary D. Hiérarchie française Par la méthode qu’elle emprunte et ses conclusions, l’auteure se refuse à juger la colonisation française en termes « absolus et moraux ». L’ouvrage est construit autour de deux formes de contestation et de reformulation de cet ordre colonial : d’abord, autour des affaires qui concernent les ressortissants européens puis, autour de cas qui impliquent des sujets maghrébins et ouest-africains. « Protégés » et « sujets » Avec la conquête française de la Tunisie, ces protégés réclament plus que jamais de continuer à bénéficier de ces exemptions. Degrés d’action locale

Les étapes de la politique de la ville en France Dans les années 1980, une succession d'émeutes urbaines (à Lyon, Paris, Marseille, Avignon) révélaient le mal-être de certains quartiers, de certaines banlieues. Ces territoires coïncidaient souvent avec ceux des "grands ensembles" (barres, immeubles) tels qu'ils s'étaient développés au cours des années 1950 et 1960 (dans le cadre des ZUP par exemple). Il s'agissait alors de traiter une situation d'urgence. Dès 1972 des opérations "Habitat et vie sociale", directement pilotées par l'État, avaient été expérimentées puis généralisées en 1977. À partir de 1994, les Grands projets urbains (GPU) concentraient les actions sur treize sites particulièrement difficiles (quartiers nord de Marseille, le Val Fourré à Mantes, les frichesindustrielles de la plaine Saint-Denis, Roubaix-Tourcoing, Dreux, etc.). Un zonage territorial complexe Les zonages d'intervention Les 416 Zones de redynamisation urbaine (ZRU) rassemblaient 3,2 millions d'habitants en 1999. Les zonages contractuels L'état des lieux

Vocabulaire et notions générales Auteur(s) : Sylviane Tabarly, professeure agrégée de géographie, responsable éditoriale de Géoconfluences de 2002 à 2012 - Dgesco et École normale supérieure de LyonMarie-Christine Doceul, professeure de chaire supérieure, responsable éditoriale de Géoconfluences - DGESCO, ENS de LyonJean-Benoît Bouron, agrégé de géographie, responsable éditorial de Géoconfluences - DGESCO, ENS de Lyon. Etudiants du master "Systèmes territoriaux, développement durable et aide à la décision" sous la direction d'Emmanuelle Boulineau, maître de conférence à l'ENS de Lyon, pour l’année 2012-2013 : Constance Berte, Pauline Brunschwig, Paula Dolci, Marie-Caroline Gaymard, Chloé Reiser, Jean-François Perrat

Penser la ville et l’urbain, les paradoxes de la géographie française 1La ville, l’urbain sont des notions qui renvoient à des lieux et à des aires, à des sociétés inscrites territorialement, à des formes spatiales, à des paysages, à des polarisations et à des distances particulières. Aussi, la ville et l’urbain constituent-ils logiquement des objets de la géographie. L’expression « géographie urbaine » utilisée par Jean Bruhnes en 1900 est ainsi antérieure à celui de « sociologie urbaine » (1930) voire de « géographie rurale » (1960). 2Dès le début du XXe, Elisée Reclus se passionne pour certaines villes comme Londres et Raoul Blanchard publie en 1911 une étude de géographie urbaine sur Grenoble. 3Après une période d’affirmation foisonnante des études urbaines durant l’entre-deux guerre, le tournant majeur est opéré dans les années 50-60. 4Pour autant, la difficulté restait encore grande de proposer une définition de la ville, « objet spatial complexe et multidimensionnel », donc scientifiquement légitime (Lussault, Lévy, 2003). 10Bibliographie

Banlieue Le mot « banlieue » est polysémique puisqu’il recouvre trois significations qui se suivent chronologiquement : une signification juridique se rapportant aux droits et devoirs d’une partie des habitants à l’époque médiévale, une signification géographique, celle de ceinture urbanisée dépendante du centre, une signification symbolique relative à la marginalité et au discrédit qui pèsent sur ceux qu’on qualifie « d’exclus » par réduction hâtive.La première banlieue est étroitement liée à l’approche juridique de la ville au Moyen Âge. Finalement, par l’usage inconsidéré qui en est fait dans le cadre français, le mot banlieue renvoie non pas à une entité spatiale précise, mais à une notion vague susceptible de s’appliquer à tout secteur enclavé et à toute population qui s’écarterait de la norme. Le malaise des banlieues recouvrirait ainsi une approche géographique inexacte et une conception sociologique passablement floue. voir aussi « périurbain » Références

Bertrand SCHNERB Charles le Téméraire : la chute du "Turc de l’Occident", par Philippe Contamine (6/6) Dernière émission de la série "Les grands Ducs de Bourgogne", par Philippe Contamine, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres et l’historien Bertrand Schnerb Depuis le début du XVe siècle, la puissance bourguignonne avait suscité l’inquiétude. La progression de cette puissance, et la violence étatique du Téméraire, firent naître la peur. Cette peur, qui coalisa ses ennemis, est-elle, seule, à l’origine de la dislocation de l’État bourguignon ? Le duc Charles avait-il le sens dynastique ? dimanche 1er juillet 2012 - Emission proposée par : Anne Jouffroy L’Apogée de Charles le Téméraire : quatrième et dernier duc de Bourgogne (5/6), par Philippe Contamine Cinquième émission de la série sur "Les grands Ducs de Bourgogne", par Philippe Contamine, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres et l’historien Bertrand Schnerb dimanche 29 avril 2012

Les citoyens à Rome à la fin de la République Ont le droit de cité (civitas, jus civitatis) tous les hommes libres (patriciens et plébéiens) nés d'un père et d'une mère libre (Gaius) ; à partir de 49 av. JC. tous les hommes libres habitant l'Italie sont citoyens (ce droit sera étendu à de nombreuses cités sous l'Empire, (Tacite) à tous les habitants de l'Empire en 212). Leurs droits. Les citoyens jouissent de deux types de droits: a) des droits politiques (jura publica): - de vote (jus suffragii) - d'être élu (jus honorum) -.de participer aux sacerdoces (jus sacrorum) - d'interjeter appel au peuple dans les procès criminels (jus provocationis) (Cicéron) sous l'Empire on peut faire appel à l'Empereur (St Paul) b) des droits civils (jura privata): Mais les citoyens ont aussi des devoirs (munera) ; ils doivent: - se présenter au recensement (census) - faire leur service militaire (militia) et la guerre - payer le tribut (tributum) Le citoyen doit participer au culte de la Cité. Qui peut devenir citoyen ? Quand perd-on le droit de cité ?

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