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Mondialisation financière

Mondialisation financière
Mondialisation financière La mondialisation financière, définie comme la baisse des coûts sur les transactions internationales d'actifs financiers, ou comme l'accroissement des flux financiers entre pays, est un phénomène ancien. Le monde de la fin du 19e siècle était, à bien des égards, aussi intégré financièrement que le monde des années 1960-1970. Une étude approfondie des marchés internationaux d'actifs révèle d'ailleurs que, contrairement aux idées reçues, l'intégration financière mondiale semble toujours limitée en ce début de 20e siècle. Pourtant, cette mondialisation financière, même (ou peut être parce qu') inachevée, semble poser de nombreux problèmes. Quelles sortes de contraintes fait-elle peser sur les politiques économiques des pays ? Related:  Mondialisation

Les mécanismes du commerce international Les économistes expliquent le développement des échanges mondiaux par l'abondance relative au sein de chaque pays du travail et du capital, et ils prédisent un développement équilibré des échanges, favorables à tous. Une approche aujourd'hui largement contestée, aussi bien sur le plan théorique qu'empirique. 1. L'économiste américain Paul Samuelson, mis au défi par un de ses collègues physiciens de nommer une théorie économique scientifiquement rigoureuse et utile, cita après mûre réflexion la théorie de l'avantage comparatif (*) , élaborée par le Britannique David Ricardo cent cinquante ans auparavant. De fait, cette analyse d'une remarquable concision est encore au coeur des explications du commerce international.

Chine: les exportations dégringolent de 25% Le commerce extérieur de la deuxième économie mondiale continue de se creuser. La Chine a vu ses exportations s'effondrer d'environ 25% sur un an en février, à 126,1 milliards, selon les montants en dollars publiés mardi 8 mars par les Douanes. Dans la devise chinoise, la chute est juste un peu moins spectaculaire: les exportations du géant asiatique ont dégringolé le mois dernier de 20,6% sur un an, à 822 milliards de yuans. De leur côté, les importations du pays, qui s'enfoncent pour le 16e mois consécutif, ont plongé de 13,8% en février à 93,6 milliards de dollars. Une contraction plus grave que prévu Les statistiques commerciales de la Chine, grande consommatrice de matières premières et principale puissance commerciale de la planète, sont scrutées de près, d'autant que le commerce extérieur est un pilier traditionnel de son modèle économique. Le renchérissement de la main d'oeuvre en cause Les échanges avec l'UE et les États-Unis en berne (Avec AFP)

El algodón ya fue global Los historiadores señalan, bastante acertadamente, que el mundo en el que vivimos no puede entenderse sin asumir los cinco siglos de historia del capitalismo. Estos estudiosos adoptan distintos puntos de vista: nos muestran, por ejemplo, que la globalización, considerada un fenómeno nuevo, tiene en realidad una larga historia. Demuestran que el capitalismo no puede entenderse solo desde la perspectiva de los comerciantes de Londres, los industriales de Barcelona o los ingeniosos artesanos franceses, e insisten en que los tejedores de Dacca, los esclavos africanos y los dueños de las plantaciones de América son igual de cruciales. Hay muchas formas de entender esta historia, pero una especialmente interesante consiste en seguir los pasos de una materia prima por todo el mundo. El actual modelo industrial surgió del caldero de la esclavitud, el colonialismo y la expropiación Gracias a esa planta cultivada por los esclavos, EE UU empezó a influir en la economía mundial.

Au fil de l'éco (3/4) : L'odyssée mondiale du vêtement Troisième volet de notre série sur le textile : après avoir retracé l’histoire du coton, premier produit mondialisé, et observé les usages de l’habit depuis le 19ème siècle jusqu’à nos jours, nous nous intéressons aujourd’hui aux nouvelles usines du monde et à la grande odyssée du vêtement. Du coton récolté dans un champ sénégalais, exporté puis transformé dans une usine chinoise et enfin expédié dans un grand magasin espagnol : voilà le voyage classique du T-shirt, produit phare de la mondialisation. Depuis les années 1970, l’industrie textile a connu une série de bouleversements, la production ne cessant de se déplacer en quête de main d’œuvre moins cher. En tout, ce sont 80 milliards de vêtements qui sont fabriqués chaque année d’un bout à l’autre du globe pour répondre à la folle cadence de la mode. Aujourd'hui la plupart des vêtements que nous portons sont fabriqués un petit peu partout dans le monde, les distributeurs font leur marché aux quatre coins du monde.

L’Ethiopie, nouvelle usine du monde Peter Wan a le sourire jusqu’aux oreilles. Le quinquagénaire avance gaiement dans de grands hangars, où des dizaines d’ouvriers éthiopiens s’affairent près de machines à filer et à colorer du fil. « Nous en sommes au stade des essais de production », précise le consultant, en faisant visiter l’usine chinoise JP Textile, à l’entrée du parc industriel d’Hawassa, à 270 km au sud de la capitale éthiopienne, Addis-Abeba. Bientôt, la main-d’œuvre transformera le fil « importé de Chine » en tissu, explique M. Wan. Puis le tissu prendra la forme de chemises made in Ethiopia, qui porteront les marques Calvin Klein ou Tommy Hilfiger, pour être exportées vers l’Europe et les Etats-Unis à l’attention d’une clientèle aisée. Mais s’il est officiellement opérationnel, ce parc, construit par les Chinois en neuf mois seulement, n’a pas encore commencé à exporter. Ce projet de 220 millions d’euros est une nouvelle preuve de l’industrialisation accélérée de l’Ethiopie.

De « Nouvelles routes de la soie » durables, un défi impossible ? Après le retrait des États-Unis de l’accord de Paris sur le climat, tous les regards se tournent vers la Chine, deuxième économie mondiale et premier pays émetteur de CO2. La Chine se veut très active en matière de conservation de la biodiversité et de lutte contre le changement climatique. Elle sera d’ailleurs l’hôte, en octobre 2020, de la COP15 biodiversité qui aura la tâche de fixer de nouveaux objectifs mondiaux en la matière après 2020. Mais cette ambition se traduit-elle dans les faits ? Tandis que les émissions chinoises liées aux activités humaines auraient crû de 2,6 % en 2019, selon le Global Carbon Project, les financements chinois à l’étranger contribueront-ils, eux aussi, à une croissance des émissions mondiales de CO2 et à la destruction de la biodiversité ? 143 pays concernés Les coopérations s’étendent aujourd’hui jusqu’en Amérique latine (Chili, Équateur, Costa Rica), aux Caraïbes (République dominicaine, Jamaïque) et dans le Pacifique Sud (Fidji, Vanuatu).

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