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Littératie

Littératie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : littératie, sur le Wiktionnaire Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la littératie est « l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante, à la maison, au travail et dans la collectivité en vue d’atteindre des buts personnels et d'étendre ses connaissances et ses capacités. » (dans le rapport publié le 14 juin 2000 : La littératie à l’ère de l’information). Terminologie[modifier | modifier le code] « The next best thing to knowing something, is knowing where to find it. » « Ce qu'il y a de mieux en dehors de savoir quelque chose, c'est de savoir où le trouver » – Samuel Johnson Cette citation de l'écrivain et savant anglais Samuel Johnson n'a rien perdu de sa vérité encore aujourd'hui. Origine du concept[modifier | modifier le code] Le concept est issu du mot anglais literacy (« alphabétisme ») qui s'oppose à illiteracy (analphabétisme).

Architecture de l'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'architecture de l'information (AI) est l'art d'exprimer un modèle ou un concept d'information utilisé dans des activités exigeant des détails explicites dans des systèmes complexes. Parmi ces activités sont notamment les systèmes de gestion de bibliothèque, les Système de gestion de contenu, la programmation Web, les bases de données le développement, la programmation, l'architecture entreprise et l'ingéniérie logicielle de systèmes critiques. L'architecture de l'information a une signification quelque peu différente selon les différentes branches de l'informatique et des technologies de l'information. Les points habituellement communs de ces définitions sont une conception structurelle des environnements partagés, des méthodes d'organisation et d'étiquetage des site Internets, intranets et des communautés en lignes ainsi que des moyens d'amener les principes de design et d'architecture dans le monde digital. ↑ R.S.

Les bibliothèques troisième lieu Concept encore peu répandu en France, la bibliothèque troisième lieu 1 incarne un modèle phare aux États-Unis, où l’appellation « third place library » fleurit sur la biblioblogosphère et dans la littérature bibliothéconomique. Elle y fait figure de voie d’avenir et semble se matérialiser également dans plusieurs établissements européens, notamment au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Europe du Nord, où la filiation directe à ce modèle est parfois ouvertement revendiquée, à l’exemple du « Fil rouge », bibliothèque centrale de la ville de Hjoerring, au Danemark, présentée au dernier congrès de l’Ifla 2 (International Federation of Library Associations and Institutions). Si le concept est abondamment utilisé, il reste toutefois peu documenté, peu explicité, et son usage peut connaître des acceptions divergentes. Il paraît donc opportun de se pencher sur ses caractéristiques afin d’en restituer l’essence et de mieux saisir le succès qu’il remporte 3. Qu’est-ce que le troisième lieu ?

Éléments de cyberculture “L’honnête homme” de ce début de XXIe siècle, et les autres, ont assisté de près ou de loin à l’explosion de la communication sous toutes ses formes et en particulier, évidemment, celle de l’Internet. On commence à saisir que se développe sous nos yeux un ensemble inédit de technologies et de connaissances affectant profondément tous les aspects de notre mode de vie, ce dont les représentations culturelles traditionnelles ne suffisent plus à rendre compte. Un ensemble plus vaste est à concevoir. La cyberculture se présente comme un début de réponse. Public concerné Etudiants et enseignants-chercheurs des disciplines infocom, sociologie, sciences politiques, nouveaux médias, commerce électronique des universités et écoles de commerce. Le thème et sa pertinence D’abord, avant d’en résumer l’essentiel : le thème est pratiquement neuf. Introduction Une réponse à un contexte inédit Société d’information Rappel très sommaire des principales caractéristiques de cette société d’information.

Sociologie de la connaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Émile Durkheim et Marcel Mauss furent les pionniers de cette discipline. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe, ils ont écrit des œuvres qui cherchent à expliquer comment la pensée conceptuelle, la langue, et la logique peuvent être influencées par le milieu sociologique dont ils proviennent. Alors qu'aucun des deux utilisait le terme spécifique de "sociologie de la connaissance", leur œuvre est une première contribution importante à la discipline. Théories[modifier | modifier le code] Émile Durkheim[modifier | modifier le code] Émile Durkheim (1858–1917) est reconnu comme le premier professeur à établir la sociologie en tant que discipline académique. Les représentations collectives[modifier | modifier le code] Un des plus importants éléments de la théorie de connaissance de Durkheim est son concept de représentations collectives, un terme qui remplace le terme 'conscience collective' utilisé dans La division du travail social.

Enjeux et problématiques des Learning Centres : l’exemple de Lille 3 Le site de la Conférence des présidents d’université a mis en ligne un rapport ayant pour ambition de synthétiser l’ensemble des questions que peuvent soulever la conception et la mise en place d’un Learning Centre. Nous en proposons ici un résumé, augmenté d’autres publications récentes et de nos propres commentaires. Notre propos sera illustré par l’exemple de Lille 3, université pleinement engagée dans cette problématique, avec la création d’un Learning Centre thématique. Le rapport « Mettre en place un Learning Centre : enjeux et problématiques » est le deuxième volet réalisé par la Caisse des dépôts, faisant suite à une étude portant sur l’université numérique dont nous avions également donné un long écho dans Insula en août 2010 pour sa partie documentaire. Sa publication intervient alors qu’un mouvement général de réflexion sur le concept de LC et son adaptation au système français est aujourd’hui lancé dans le supérieur. Learning Centre : un nom Le nom du LC de Lille 3 Rapports :

Culture informationnelle et droit à l’éducation au XXI° siècle - Culture et veille informationnelle - LeWebPédagogique Les nouvelles technologies de l’information et de la communication d’une part et la mondialisation et la globalisation d’autre part sont les principales conséquences du nouveau paradigme éducationnel du XXI° siècle.En faisant passer nos sociétés d’une didactique de la rareté de l’information à une didactique de l’abondance d’information, il apparaît en effet que l’un des grands enjeux du XXI° siècle sera de créer les conditions pour que le savoir collectif de l’humanité soit à la disposition du plus grand nombre possible de femmes et d’hommes et pour que les enfants, où qu’ils soient, puissent s’éduquer tout au long de la vie et devenir des adultes maîtres d’eux-mêmes et des citoyens responsables. Pour entrer dans la société de l’information Parmi ces compétences nous pouvons citer celles de mieux connaître son environnement informationnel, ses différents lieux, sources et outils de consultation, de déterminer ses propres centres d’intérêts et propres besoins précis en information.

KM Actu - management des connaissances - gestion des connaissances Le Guide de la curation (1) - Les concepts 01net le 14/03/11 à 16h00 Etymologie La pratique qui consiste à sélectionner, éditorialiser et partager du contenu a été baptisée par les Américains curation ou Content Curation, par analogie avec la mission du curator, le commissaire d’exposition chargé de sélectionner des œuvres d’art et de les mettre en valeur pour une exposition. Les termes curation et curator prennent leurs racines étymologiques dans le latin cura, le soin. Ils n’ont pas d’équivalent en français, nous les utiliserons ici dans leur contexte anglais (curation en français désigne le traitement d’une maladie). Le terme curation est apparu en France fin 2010. Historique La curation est la convergence des deux principales activités sur internet : la recherche et le partage. Elle est indissociable de la culture du partage, dont elle est l’héritière. Parallèlement, le volume d’informations n’a cessé de croître. Mais avant que le terme curation ne consacre l’usage, il y a eu quelques tentatives de coller une étiquette.

BBF 1995-03 | Tour d'horizon Tour d'horizon Chronique Informations ABCD est la toute jeune inter-association, présidée par Jean-Luc Gautier-Gentès, directeur de la Bibliothèque d’art et d’archéologie, qui rassemble les principales associations de bibliothécaires, de documentalistes et d’archivistes. Elle organisait à la Villette en mars dernier un colloque sur la « culture de l’information », dont l’objectif principal était d’examiner les places et rôles, propositions et stratégies des différents acteurs de la chaîne documentaire dans la vie des citoyens, quels que soient leur âge et leur statut. L’enseignement secondaire Les contributions des spécialistes de la documentation scolaire furent particulièrement remarquables. Odile Brittan, de l’Institut universitaire de formation des maîtres de Créteil, a rappelé les principales étapes de la création des BCD (bibliothèques-centres documentaires) des écoles. L’université Du citoyen au professionnel Une visibilité brouillée

Génie des technologies de l'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette discipline regroupe les connaissances informatiques suivantes : éléments de génie logiciel ;ingénierie des systèmes informatiques ;technologies multimédias ;conception et gestion de réseaux informatiques ;technologies d'Internet et du multimédia ;conception et gestion de bases de données;conception de systèmes de commerce électronique. Cette discipline s'intéresse aux technologies de l'information pour permettre aux étudiants de pouvoir exploiter leurs applications directes dans un environnement destiné à : collecter les informations ;stocker les informations ;traiter les informations ;diffuser les informations. Champs d'expertise[modifier | modifier le code] Le génie des TI en tant que discipline[modifier | modifier le code] Par la suite, en fonction d'un schéma directeur que l'entreprise a fixé, l'analyste tracera une topologie et une cartographie des systèmes informatiques de l'organisation. Voir aussi[modifier | modifier le code]

« Learning centres : vers un modèle à la française » Les journées sur les learning centres organisées par Médiat Rhône-Alpes et le SCD de l’université de Lyon 1 ont été introduites par Suzanne Jouguelet, auteur du rapport « Les learning centres : un modèle international de bibliothèque intégrée à l’enseignement et à la recherche 1 ». Elle s’est risquée à proposer une définition, en rappelant que learning signifie apprentissage mais aussi appropriation des savoirs, et que le terme center implique qu’il s’agit d’un lieu central. En effet, un learning centre est un lieu que l’on se préoccupe d’aménager de façon accueillante et d’ouvrir largement, mais aussi un ensemble de services qui visent à faciliter l’acquisition de connaissances. Elle a rappelé également que le créateur du premier learning centre, Graham Bullpitt, considère que l’anticipation des besoins des usagers est fondamentale et que, par conséquent, il ne peut y avoir de modèle « prêt-à-porter ». De multiples comptes rendus d’expérience Pédagogie, recherche et documentation

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