Consommateur La théorie classique du consommateur : un être passif Traditionnellement, l'analyse économique traite le consommateur comme un agent final. C'est un individu qui gagne un certain revenu, est doté d'un certain nombre de besoins ou de désirs qu'il essaie de satisfaire en achetant sur le marché un certain nombre de biens et de services, dans la limite du pouvoir d'achat qui est le sien. Bien que, conformément au postulat de départ de toute la théorie économique, ce soit un être rationnel, calculateur et maximisateur, son rôle est très passif. Il se contente d'agencer son « panier » (basket) d'achats en fonction de l'intensité de ses besoins, entre lesquels il effectue une série d'arbitrages compte tenu, d'une part, des sommes d'argent dont il dispose ; d'autre part, des prix qu'il doit payer pour obtenir les biens et services qui satisferont ses désirs. Moyennant quoi, la théorie économique prend les besoins et les désirs comme des données exogènes. Un élément fondamental : le temps
Ecodynamics See also[edit] External links[edit] M. King Hubbert on the Nature of Growth. Testimony to Hearing on the National Energy Conservation Policy Act of 1974, Subcommittee on the Environment of the committee on Interior and Insular Affairs House of Representatives, June 6, 1974.Herman E. References[edit] Jump up ^ M. Jalousie sociale La jalousie sociale est un sentiment d'envie ou de haine à l'égard du bonheur matériel d'autrui[1]. Ce désir de posséder le bien d’autrui conduit à divers crimes et délits ; en politique, il motive les théories collectivistes et antilibérales, qui tendent à l'égalitarisme sous le paravent de la "justice sociale". Humaine, trop humaine La jalousie semble être un sentiment profondément ancré en l'homme. Le « jeu de l'ultimatum »[2], bien connu en sociologie, montre que la plupart des gens préfèrent renoncer à un gain plutôt que d'accepter que leurs semblables gagnent davantage qu'eux, ce qu'ils jugent « injuste ». Ceux qui sont révoltés par la richesse de certains (sentiment humainement compréhensible) devraient se poser la seule question qui compte : quelle est l'origine de cette richesse ? Religion et philosophie Pour Aristote l'envie (φθόνος) est "la douleur causée par la bonne fortune d'autrui"[3]. Droit Exemples Notes et références Citations Bibliographie Voir aussi Liens externes
Kinetic exchange models of markets Kinetic exchange models are multi-agent dynamic models inspired by the statistical physics of energy distribution, which try to explain the robust and universal features of income/wealth distributions. Understanding the distributions of income and wealth in an economy has been a classic problem in economics for more than a hundred years. Today it is one of the main branches of Econophysics. Data and Basic tools[edit] In 1897, Vilfredo Pareto first found a universal feature in the distribution of wealth. Basic tools used in this type of modelling are probabilistic and statistical methods mostly taken from the kinetic theory of statistical physics. Overview of the models[edit] In the context of kinetic theory of gases, such an exchange model was first investigated by A. Criticisms[edit] See also[edit] References[edit] Jump up ^ Chatterjee, A.; Yarlagadda, S.; Chakrabarti, B.K. (2005). Further reading[edit] Brian Hayes, Follow the money, American Scientist, 90:400-405 (Sept.
Croissance économique En macroéconomie la notion de croissance économique désigne une augmentation continue de la quantité et de la qualité des biens et des services produits chaque année dans un pays ou zone géographique, liée à l'augmentation de la productivité du travail et du capital. Définition de la croissance économique L'indicateur le plus utilisé pour mesurer le taux de croissance et la somme des valeurs ajoutées est le PIB (Produit intérieur brut). Jacques Garello et Jean-Yves Naudet, en 1991, en précisent la définition : « La croissance économique se caractérise par une augmentation durable de la production et des principales grandeurs économiques – comme le Produit Intérieur Brut (PIB). » En général la croissance économique est définie en termes de grandeur synthétique mesurant le résultat de l'activité économique, un état final mettant en rapport des périodes données, mesurées statistiquement par des taux de variation en termes de volume. La « croissance du PIB » mesure du progrès économique ? Annexes
List of energy storage projects This is a list of energy storage projects worldwide. Many individual energy storage projects augment electrical grids by capturing excess electrical energy during periods of low demand and storing it in other forms until needed on an electrical grid. The energy is later converted back to its electrical form and returned to the grid as needed. Another energy storage method is the consumption of surplus or low-cost energy (typically during night time) for conversion into resources such as hot water, cool water or ice, which is then used for heating or cooling at other times when electricity is in higher demand and at greater cost per kilowatt hour (KWh). Such thermal energy storage is often employed at end-user sites such as large buildings, and also as part of district heating, thus 'shifting' energy consumption to other times for better balancing of supply and demand. System types[edit] Common forms[edit] Gravitational potential energy storage[edit] Projects and sites[edit] Listing[edit]
Chômage Le chômage désigne la situation du chômeur, personne "active" (valide et en âge de travailler) recherchant un emploi sans succès. Le chômage est un des modes de régulation du capitalisme, au même titre que la faillite. Dans un cadre libéral, les entreprises performantes embauchent, celles qui ont des difficultés débauchent. Et, globalement, l'économie s'adapte à la réalité sociale, régie par la demande. L'existence du chômage induit l'existence de la Politique de l'emploi. Les causes du chômage sont nombreuses : L’État crée le chômage Le chômage que les libéraux condamnent est le chômage institutionnel, qui a des causes politiques : En 2010, Christopher Pissarides, Peter Diamond et Dale Mortensen obtiennent le Prix Nobel d'économie, pour avoir démontré que « plus les allocations chômage sont importantes, plus le taux de chômage est élevé et la durée de recherche [d'emploi] est longue ». Erreur courante « Ce sont les entreprises qui créent le chômage en licenciant. » L'exemple de la Suisse
Heterodox economics Heterodox economics family tree. Heterodox economics refers to methodologies or schools of economic thought that are considered outside of "mainstream economics", often represented by expositors as contrasting with or going beyond neoclassical economics.[1][2] "Heterodox economics" is an umbrella term used to cover various approaches, schools, or traditions. These include socialist, Marxian, institutional, evolutionary, Georgist, Austrian, feminist,[3] social, post-Keynesian (not to be confused with New Keynesian),[2] and ecological economics among others.[4] In the JEL classification codes developed by the Journal of Economic Literature, heterodox economics is in the second of the 19 primary categories at: JEL: B - History of Economic Thought, Methodology, and Heterodox Approaches. One study suggests four key factors as important to the study of economics by self-identified heterodox economists: history, natural systems, uncertainty, and power.[9] History[edit] See also[edit] Articles[edit]
Théorie du déversement La théorie du déversement d'Alfred Sauvy[1] s'oppose à l'idée que le progrès technique nuise à la croissance et à l'emploi. Ce cliché est fortement ancré dans l'esprit de nombreuses personnes. Les machines détruiraient les emplois, disent-elles. Alfred Sauvy, économiste et sociologue français (inventeur de l'expression Tiers-Monde en comparaison du modèle social pré-révolutionnaire français du Tiers-État) montra que le progrès technique a des effets positifs sur la croissance et l'emploi à long terme. L'innovation technologique engendre des gains de productivité qui se traduisent par des hausses de salaires ou des baisses de prix. Les entreprises doivent donc embaucher pour s'ajuster à la croissance de la nouvelle demande. Alfred Sauvy et Jean Fourastié considèrent en commun que l'analyse classique se trompe. « Ce n’est pas l’accumulation du capital et de l’épargne qui est le facteur déterminant des transformations de la société, mais le taux de progrès technique »[2]. Voir aussi
Thermoeconomics Thermoeconomics, also referred to as biophysical economics, is a school of heterodox economics that applies the laws of thermodynamics to economic theory.[1] The term "thermoeconomics" was coined in 1962 by American engineer Myron Tribus,[2][3][4] Thermoeconomics can be thought of as the statistical physics of economic value.[5] Basis[edit] Thermoeconomics is based on the proposition that the role of energy in biological evolution should be defined and understood through the second law of thermodynamics but in terms of such economic criteria as productivity, efficiency, and especially the costs and benefits (or profitability) of the various mechanisms for capturing and utilizing available energy to build biomass and do work.[6][7] Thermodynamics[edit] Thermoeconomists maintain that human economic systems can be modeled as thermodynamic systems. Economic systems[edit] See also[edit] References[edit] ^ Jump up to: a b Sieniutycz, Stanislaw; Salamon, Peter (1990). Further reading[edit]