Soken La génération Z passée aux rayons X Ces derniers jours, une nouvelle expression s’est imiscée dans les médias : celle de "génération Z". Une nouvelle catégorie sociologique qui chasse la génération Y du devant de la scène. Mais que représente-t-elle vraiment ? Et quelles sont ses caractéristiques ? Après les générations X et Y, voici venu le temps de la génération Z. Si les enfants de la génération Z font aujourd'hui leur apparition dans les médias, c'est qu’ils atteignent l'âge adulte, et ne vont donc pas tarder à faire leur entrée sur le marché du travail. Au vu de son hyperconnectivité constante, les prophéties au sujet de cette génération se succèdent. Le second, tout juste âgé de 16 ans, appartient à cette génération Y. Des incompétents ? En 2012, Le Figaro écrit un article intitulé : "Génération Z" : des connaissances superficielles. "Le titre de l’article du Figaro veut clairement dire que les jeunes sont incompétents, ce qui est choquant, analyse Eric Delcroix. "Vous me suivez ou je dégage" Eric Delcroix poursuit :
2025 : la génération Z prend le pouvoirMilkCheck A l’horizon 2025, la génération Z atteindra la trentaine, ce qui signifie qu’elle sera implantée en entreprise, prenant ainsi le pouvoir et en même temps le relais de la génération Y à des postes hyperconnectée. Cet article s’attardera sur ce que l’on entend par génération Z et ce que cela va changer au niveau des RH en 2025. Après la génération Y, terme qui est devenu à la mode — la vidéo de l’agence Adesias & la une du magazine les Inrocks en sont les exemples — place à la génération Z (génération C ou génération Y’). La génération Z, aussi appelé génération C ou génération Y’ La frontière est assez mince entre la génération Y et la génération Z, mais il fallait trouver une limite. Bien que ces deux générations n’aient que peu d’années d’écart, il semblerait qu’elles aient chacune grandit dans un contexte marqué par des évolutions (principalement technologiques) extrêmement rapides, ce qui ne fait qu’amplifier le fossé qui les sépare. Conclusion générationnelle Arthur
3. Catalogues et langages documentaires « Etudoc’s Weblog 3.1. Bibliothèques et lieux de ressources Quel intérêt pour les bibliothèques, lieux physiques, à l’ère de la dématérialisation : importance de la médiation et de la diversité culturelle (comparaison entre la durée de vie d’un livre en bibliothèque et en librairie). Description des différents types de bibliothèques à partir de la définition donnée par l’UNESCO : bibliothèque nationale (Bnf), bibliothèques universitaires et scolaires (BU Paris 8), bibliothèques publiques à vocation scientifique (BPI), centres de documentation, bibliothèques municipales et BDP (Réseau de Plaine Commune). Réseaux scientifiques et partage des savoirs : Cadist (ressources documentaires universitaires thématiques), pôles associés de la Bnf. Principales missions des bibliothèques : missions d’information, de formation et d’accès à la culture et aux loisirs. Lieux de ressources généralistes à connaître en infocom : • BNF, site Tolbiac : Salle de la Presse (Salle A), salle de la recherche bibliographique (Salle I).
La génération Z : les rois du monde digital A peine le temps de mettre en place une conduite du changement à l’égard du management de la fameuse Génération Y, qu’il faut déjà anticiper l’arrivée rapide de la génération suivante ! Certains l’appellent Génération Z (pour la suite logique de X et Y), d’autres parlent de Génération C (pour Communication, Collaboration, Connexion et Créativité), ou encore de la génération silencieuse, de la Y’, de la AA ou des Emos (pour « émotionnels »). Chaque expert tente d’imposer son nom. Née aux alentours de 1995, elle concerne les jeunes qui ont aujourd’hui entre 8 et 18 ans et qui ne vont pas tarder à faire leur entrée sur le marché du travail. On peut penser que la Génération Z n’est que la petite sœur de la Y, avec les mêmes comportements et les mêmes attentes. Concrètement, la Génération Z est « hyper connectée »: elle gère ses contacts virtuels et alimente ses réseaux de manière naturelle et cela fait partie de sa vie courante. Désintérêt du papier au profit de l’écran… 02 Février 2012
Comment les outils numériques modifient notre cerveau Des études scientifiques ont montré que l’utilisation massive d’Internet transforme notre mémoire et notre attention Réécouter l'émission de France Inter "La tête au carré" présentée par Mathieu Vidard, en partenariat avec La Croix. « Internet rend-il bête ? » Tel est le titre un peu provocateur d’un best-seller de l’essayiste américain Nicholas Carr, qui vient d’être traduit en français (1). S’appuyant sur des études scientifiques effectuées outre-Atlantique, il y montre comment l’utilisation d’Internet a opéré une véritable « révolution » dans notre cerveau. Éminemment plastique, cet organe se serait déjà adapté à l’usage intense des nouvelles technologies, comme il l’a fait dans le passé avec l’invention de l’écriture ou avec le développement de la lecture. Les nouveaux outils numériques auraient modifié le fonctionnement de notre mémoire, de notre attention et, plus profondément, de notre intelligence, de notre façon d’appréhender le monde et de le penser. (1) Éd. Newsletter
La C.I en sept leçons E07 (épisode final) : La culture de l’information repose sur le contrôle de soi et la prise de soin (de l’autre): Fin de série. Voici le dernier épisode de la série. l’épisode 1 est ici, le second est là , le troisième ici , le quatrième puis le cinquième et le sixième. La culture de l’information repose sur des hypomnemata qui présentent un caractère double. La formation aux objets techniques notamment numériques constitue une piste intéressante afin de montrer aux élèves les possibilités pédagogiques et les potentialités de construction. Le besoin d’information demeure souvent inconscient et la priorité notamment des jeunes générations se situe ailleurs dans des démarches de reconnaissance et d’inscription au sein de groupes. Ce genre de description nous fait demeurer dans une vison tantôt technophile, tantôt technophobe. Un contrôle de soi qui s’opère par la skholé, cette capacité à s’arrêter, à prendre le temps de l’analyse et de la réflexion, cette distance critique sans laquelle il ne peut y avoir de culture de l’information. Prochaine série… sans doute sur le Learning Center….
Portrait de la Génération C : hyperconnectée et en contact continu (enquête Ipsos Santé) La thématique de la 8e étude quantitative annuelle Adolescences d’Ipsos Santé pour la Fondation Pfizer est : les différences intergénérationnelles. Elle confronte sur le même sujet les avis d’adolescents et d’adultes. Cette approche en regards croisés permet de mettre en relief les points de vue, perceptions et vécus des jeunes aux opinions des adultes. Génération C : génération hyper connectée, en contact continu Les adolescents interrogés sont nés entre 1994 et 1997. C’est une génération connectée, trait consensuellement reconnu par une majorité d’adolescents et d’adultes. Ainsi les nouveaux médias sont utilisés pour leur permettre de concrétiser leur idéal de fusion avec leur entourage, ne jamais quitter leurs amis. 83 SMS reçus et émis par jour pour un adolescent en France En moyenne, un adolescent utilise chaque jour 10 fois plus de SMS qu’un adulte : il reçoit et émet au total en moyenne 83 SMS. Méthodologie d’enquête Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : France
Au secours... la génération Z arrive ! OpenSpace le blog On avait même pas fini de s'habituer à la nébuleuse génération Y (autrefois, génération Y ça se disait "les jeunes d'aujourd'hui"), que débarque la génération Z (question subsidiaire, puisque nous sommes arrivés à la fin de l'alphabet, comment va se nommer la future génération ? ). Pour faire court, la génération Z est celle qui a aujourd'hui moins de 20 ans, qui est née avec le digital intégré au coeur de son expérience de vie. Elle est bien gentille cette génération Z, mais elle va manquer de bases. L'article des Echos précise que cette génération fera cohabiter parfaitement un statut de salarié et d'entrepreneur, comme si ce n'était pas déjà le cas de ceux qui ont aujourd'hui la trentaine, et qu'elle cumulera facilement plusieurs jobs à temps partiels pour éviter la précarité. Un exemple pour illustrer mon propos.
La formation à l’attention (des jeunes générations): Pour faire écho aux propos de Philippe Meirieu sur la classe cocotte-minute, et sans doute pour monter aussi les enjeux de former « les petites poucettes« , je publie un extrait de mon article – (2010) « La skholé face aux négligences : former les jeunes générations à l’attention », Communication & Langages n°163, mars 2010, p.47-61 PaternitéPartage selon les Conditions Initiales Certains droits réservés par carmen zuniga Les usages des objets techniques impliquent parfois l’acquisition de compétences qui s’opère de manière « informelle ». Il en résulte une double nécessité de la formation à l’attention. 1.1 L’attention ou l’arrêt opéré par la Skholé Cependant qu’entendons-nous par attention ? « Tout le problème de l’attention consiste donc dans la polarisation de l’activité intellectuelle de l’élève sur un objet, tout en l’incitant à produire des relations dans un milieu. » Cette attention nécessite un apprentissage. 1.2 L’attention en désordre [1] GO, H. [2] LIQUETE, V., MAURY, Y. (2007).