Web sémantique Web sémantique La majorité du Web est destiné à être lu. Il n'est pas fait pour être manipulé de façon intelligente par des programmes informatiques, en général incapables de caractériser les informations qu’ils parcourent.Le Web sémantique vise à faciliter l'exploitation des données structurées, pour donner du sens au contenu des pages Web, en permettant leur interprétation par des machines. Il ne s’agit pas d’un web à part, mais plutôt d’une extension ou d’une amélioration du Web courant où chaque donnée acquiert un sens défini, afin de créer un réseau d'informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables. Généralités AMAR, Muriel et MENON, Bruno. SUR, Serge, BLOCH, Laurent, BOULLIER, Dominique, et al. BNF. PEYRARD, Sébastien. LACOMBE, Elisabeth et LINK-PEZET, Jo (trad.). BERNERS-LEE, Tim et FISCHETTI, Mark. Utilisation et mise en œuvre en bibliothèque BERMES, Emmanuelle. HANNEMANN, Jan, KETT, Jürgen, RIVIER Alexis (trad.). WILLER, Mirna, DUNSIRE, Gordon.
Valorisation des données publiques culturelles, moteur d’une économie numérique L’accès, l’organisation, de l’espace public numérique est l’objet d’une concurrence accrue entre les acteurs du secteur et questionne les modèles économiques établis jusqu’alors. L’un des enjeux apparaît ainsi être pour ces acteurs le développement de services innovants et attrayants permettant une mise à disposition au public de contenus dans un environnement Internet interopérable et sans frontière. Cette problématique trouve un écho particulier à l’heure où la réflexion s’intensifie autour des sujets liés à la diffusion et la valorisation des contenus culturels et plus encore des données publiques culturelles, sur Internet et les réseaux. Les données publiques sont au cœur des enjeux socio-économiques actuels et constituent une matière première de grande valeur qu’il convient de pouvoir valoriser, réutiliser et s’approprier. La valeur des données publiques en tant qu’actif immatériel réside au-delà et indépendamment de la personne de leur créateur.
Une définition simple du web sémantique | Why bioub? Pour paraître savant, il m’arrive de temps à autre de présenter BaseClip très vaguement : « on fait du web sémantique »… Je me doute bien que dans 99,99% des cas mon interlocuteur ne sait pas ce qui se cache derrière cette phrase, quand bien même il aurait déjà vu ou entendu l’expression. Logo BaseClip Mais alors le web sémantique, qu’est-ce que c’est ? Pour comprendre il faut commencer par s’intéresser à deux concepts de linguistique qui sont mis en opposition : la syntaxe et la sémantique. En somme la syntaxe porte sur la forme des phrases, c’est à dire les caractères et les mots employés, tandis que la sémantique concerne le fond, le sens. Ainsi les deux phrases suivantes ont deux syntaxes différentes mais une seule et même sémantique : Chef d’État américainPrésident des États-Unis d’Amérique Le web tel que nous le connaissons a été inventé par Tim Berner-Lee dans les années 80. Alors en quoi le web sémantique va-t-il améliorer notre quotidien ? Google Powerset TrueKnowledge Le challenger.
Archives « Archives masala Non, non, ce blog n’est pas (complètement) mort. Il est juste en hibernation profonde (on le comprend et on l’envie), avec quelques rares soubresauts de conscience. Donc, avant de retourner dormir roulée en boule au fond de ma grotte, voici en guide de soubresaut le compte-rendu de la journée d’étude "La recherche aux archives, nouveaux outils, nouveaux publics" organisée par les Archives de la Vendée le 29 novembre dernier, que j’ai rédigé pour la lettre Archivistes ! de l’AAF (oui, je me suis réveillée assez longtemps pour publier sur ce blog, pas pour écrire un billet spécifiquement dédié, on en reparlera à la fonte des neiges…). Bon, ben c'est pas tout, ça, mais après tous ces efforts je vais peut-être retourner me coucher, moi... Comme le rappelle en préambule M. Les Archives de Vendée ont en effet initié depuis quelques années les travaux qui aboutissent aujourd’hui à la mise en ligne d’un ensemble remarquable d’outils de diffusion innovants et collaboratifs :
PROF DOC Centres de connaissances et de culture : quel modèle politique d’éducation ? Dans un récent billet[1], nous nous sommes inquiétés des orientations et instructions pour la rentrée 2012 au sujet de la laïcité. Nous nous interrogeons aujourd’hui sur le sens d’une expérimentation proposée dans la même circulaire de préparation de rentrée[2] : la transformation des centres de documentation et d’information en centres de connaissances et de culture (3C). Le choix des mots Pour apprécier ce qui se joue dans ce changement d’appellation, on peut d’abord considérer ce qui est conservé et ce qui est modifié. Le terme de centre demeure. « De connaissances et de culture » remplace « de documentation et d’information ». Un modèle politique d’éducation vivant En valorisant les connaissances et la culture, la nouvelle appellation s’inscrit dans cette filiation : il s’agit bien, toujours, d’acquérir des connaissances qui constituent la culture nécessaire au citoyen. La transformation des CDI en centres de connaissances et de culture n’est pas un simple changement d’étiquette.
Journée d'étude sur l'Ouverture et réutilisation des données culturelles Journée d’étude du 19 avril La première journée est construite sur un format conférences. Elle a pour objectif d’informer les participants sur ces questions inhérentes à l’Open data – qu’ils soient du côté producteurs de données et/ou réutilisateurs – mais aussi de permettre à chacun d’exprimer ses interrogations, ses attentes, ses craintes concernant les processus d’ouverture ou les modalités de réutilisation. Les interventions structurent la journée en deux. La première partie permettra : d’expliciter ce que l’on met derrière le terme « donnée », d’aborder la question de l’Open data général et son inscription dans la sphère culturelle en s’appuyant sur de nombreux exemples à travers le monde ; de faire un point sur les questions juridiques et économiques, ainsi que sur la question des licences libres. 9h – Présentation des projets numériques de l’AGCCPF PACAJakline Eid, AGCCPF PACA, responsable du groupe de travail « Publics » Pause déjeune Journée Ateliers du 20 avril
Les 3C ou comment faire cohabiter le livre et le numérique La côte ouest de la péninsule ibérique a cela de paradoxal d’offrir des paysages sauvages de toute beauté et ensoleillées mais d’être peu propices à la baignade tant les eaux sont froides en plein été. Depuis quelques jours cela fait l’objet de discussions familiales et pour nous assurer de l’explication scientifique d’un tel phénomène, rien de tel que l’internet pour vérifier l’état de nos connaissances ...en vacances ! En recherchant sur la toile, grâce au wifi que nombre de campings proposent, et à mon moteur de recherche traditionnel : « courant marin portugal » j’ai trouvé ce site très bien fait : Et quelle surprise en découvrant qu’il s’agit d’un TPE ( Travaux Personnels Encadrés ) réalisé en 2003 par trois élèves de première du lycée Chopin – mais impossible de découvrir la ville- dont je vous invite à lire bien sûr les travaux car particulièrement intéressants et très documentés .
Information Document Dépôt légal des sites Web Types de documents Le dépôt légal concerne tous les types de publications diffusées sur l’internet : sites institutionnels ou personnels, revues d’accès gratuit ou payant, blogs, sites commerciaux, plateformes de vidéos ou de livres numériques… Les contenus édités ou les éditeurs doivent avoir un lien avec le territoire français. Il s’agit avant tout des sites web enregistrés en .fr ainsi que ceux des départements et territoires d’outre-mer. D’autres sites web en .com, .org, .net, etc. édités par des personnes physiques ou morales domiciliées en France font également partie du périmètre. La correspondance personnelle et les espaces privés des réseaux sociaux ou des sites intranet sont exclus du champ d'application du dépôt légal. Modalités pour les éditeurs, producteurs et hébergeurs Contrairement au dépôt légal traditionnel (des publications imprimées ou sur support audiovisuel, par exemple), le dépôt légal des sites web n'implique aucune démarche active de la part de l’éditeur.
CRDP de Franche-Comté : Journées professionnelles des professeurs documentalistes Les professeurs documentalistes de l'académie se sont retrouvés au CDDP du Doubs à Besançon, au CDDP de la Haute-Saône à Vesoul le jeudi 31 mai 2012 et au CDDP du Doubs à Montbéliard le vendredi 1er juin 2012. Au programme de ces journées, les interventions de Madame Sapet-Reverdy (IA-IPR EVS académie de Besançon), de Madame Briziou (Directrice du CRDP du Centre à Orléans-Tours) et des ateliers tablettes numériques animés par Clémence Voizenet et Marie Boerlen (documentalistes au CDDP du Doubs). Intervention de Madame Sapet-Reverdy, IA-IPR EVS État des lieux des politiques documentaires dans les établissements scolaires de l'académie Présentation du Parcours de formation à la culture de l'information ( PACIFI ) Évolution des espaces et des temps scolaires : comment travailler autrement ? voir la présentation (pdf 1,14 Mo) Intervention de Madame Briziou, directrice du CRDP du Centre "Le CDI, un espace revisité pour un positionnement réaffirmé" voir le diaporama
Gallica, la Bibliothèque numérique de la BnF Gallica est l’une des plus importantes bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l’internet. Elle offre l'accès à tous types de documents : imprimés (livres, presse et revues) en mode image et en mode texte, manuscrits, documents sonores, documents iconographiques, cartes et plans. Gallica s’adresse à tout lecteur, du curieux au bibliophile, du lycéen à l'universitaire. Une bibliothèque patrimoniale et encyclopédique Témoignages du patrimoine écrit français et de son rayonnement en Europe et dans le monde, les documents retenus par la BnF ont été choisis de façon à constituer une bibliothèque encyclopédique et raisonnée, représentative des grands auteurs français et des courants de recherche et de réflexion par delà les siècles. Les équipes chargées de l’enrichissement de Gallica travaillent en outre en concertation avec les chercheurs pour accompagner les grands courants actuels de recherche. Le fonds Gallica Le fonds Gallica donne accès aux collections suivantes.
Guide Gérer les enjeux et risques juridiques du Web 2.0 | Éducation, Internet et droit... | Scoop.it Le CEFRIO (Centre francophone d’informatisation des organisations au Québec) a publié fin janvier 2012 un guide qui porte sur le volet des enjeux juridiques liés aux usages du Web 2.0 par les organisations (que ce soit des entreprises, associations ou institutions). Élaboré en partenariat avec HEC Montréal et le Centre de recherche en droit public de la Faculté de droit de l’Université de Montréal, le guide Gérer les enjeux et risques juridiques du Web 2.0 gratuit au téléchargement (en pdf, 125 pages) se saisit de questions essentielles autour des outils en ligne de plus en plus utilisés par les organisations : applications, réseaux sociaux, blogs… qui permettent des activités d’échange, de recherche et de diffusion d’information sur le Web. Des écueils existent relatifs à l’utilisation de ces outils. Une approche pragmatique basée sur des conseils Sommaire du guide Gérer les enjeux et risques juridiques du Web 2.0 : Avant-propos et Introduction I. II. III. IV. Licence :