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Nomophobie

Nomophobie
La "nomophobie", vous connaissez ? Ce terme étrange est un raccourci pour "no mobile phobia" (la phobie de l'absence de mobile), apparu au Royaume-Uni en 2008. Une récente étude britannique révèle maintenant que 66% des utilisateurs de téléphone portable ressentent une forte angoisse à l'idée d'égarer leur petit bijou. Chez les plus jeunes, entre 18 et 24 ans, le taux de nomophobie atteint 76%. Une pathologie qui s'explique par le progrès technologique, selon le spécialiste Damien Douani. Chacun a accès à une panoplie de services : où suis-je ? Autres responsables : les réseaux sociaux, qui "créent des liens avec des communautés et font qu'il y a un besoin de mise à jour constante et de consultation en permanence". D'après un sondage en ligne de la société Mingle, 22 % des Français avouent qu'il leur est "impossible" de passer plus d'une journée sans leur téléphone portable. atlantico sur facebook notre compte twitter Ajouter au classeurLecture zen Lire ou relire plus tard Je m'abonne

La nomophobie ou dépendance au téléphone portable La nomophobie ou dépendance au téléphone portable L'avènement des smartphones et des forfaits illimités a créé de nouvelles phobies. L’une des plus fréquentes est la nomophobie, c’est-à-dire l’angoisse d’être séparé de son téléphone mobile. Nous vous proposons de décrypter ce phénomène qui concerne de plus en plus de gens. ©John Karakatsanis Partager Qu'est-ce que la nomophobie ? Nouveau concept apparu en 2008, la nomophobie désigne l’angoisse d'être séparé de son téléphone mobile. Ce mot vient de la contraction de l'expression anglaise no mobile phobia. Comme toutes les phobies, la phobie de perdre son téléphone portable ou de se le faire voler se traduit par des symptômes de peur : respiration courte, nausées, tremblements, accélération du rythme cardiaque ou même par de véritables attaques de panique. Un phénomène très répandu Mais rassurez-vous, vous n’êtes pas un cas isolé. A noter : la phobie inverse existe également. Auteur : Audrey | Date de création : 18/09/2012

Une nouvelle forme de dépendance nommée nomophobie – CRDM – IU Préoccupée par la place grandissante qu’occupe le cellulaire dans nos vies, Brigitte Vincent, coordonnatrice du programme jeu pathologique et cyberdépendance du CRDM-IU, nous en apprend davantage quant à cette nouvelle dépendance nommée nomophobie. Lisez l’article, en page 14, de La Voix de l’Est Plus.

La nomophobie Le but de ces journées est de provoquer une réflexion de fond autour des téléphones portables, de l'usage qui en est fait et de leur place dans la vie quotidienne (Peut-on vivre sans portable ? Est-il nuisible pour la santé ? A-t-il modifié les comportements humains ? Faut-il instaurer une charte de bonne conduite dans les lieux publics ? Mais est-ce que, comme dans cette chanson, les téléphones sonnent encore sans que personne n'y réponde ? Il semble au contraire que de plus en plus d'utilisateurs de téléphones portables vivent connectés en permanence. Selon plusieurs études récentes en effet, une proportion importante des utilisateurs de smartphones reconnaissent être totalement dépendants de leur téléphone mobile. On voit donc se développer une véritable addiction à l'usage des nouvelles technologies ; couramment appelée "Nomophobie", terme issu de la contraction de "No Mobile Phone Phobia", autrement dit; la peur de se passer de GSM. Auteur : Eve Hanson

Royaume-Uni: étude Poste révèle «NoMo Phobia» The PostOffice has released the results of a study looking at the ‘stress’ caused by being out of contact on your mobile, and coined the term “NoMo Phobia” – a cunning play on words from having “No Mobile” I presume…. They ‘sampled’ 2163 adults (I assume asking questions, rather than taking their DNA…) and the results make for interesting, if predictable (in this day and age) reading: When asked why they never switched their mobile off: 55% said keeping in touch with family and friends is the top reason 10% said they needed to be contactable for their jobs 9% said it just made them anxious for it to be off. Here is a list of what activities people are willing to interrupt in order to take a call: When watching TV: 80% When shopping: 79% When doing the housework/gardening: 78% When in bed alone: 58% When spending time with family/children: 48% When eating a meal: 40% When in bed with someone else: 18% Well, well, well – who’d have thought not having a Moby could be so stressful … Ben Robinson

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