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De rouille et d'os (2012) Jacques Audiard

De rouille et d'os (2012) Jacques Audiard
Adaptation Le film de Jacques Audiard est une adaptation du recueil de nouvelles de Craig Davidson, "Un goût de rouille et d'os", publié en septembre 2005. Cet auteur américain assez controversé, souvent comparé à Chuck Palahniuk (Fight Club), se lança, après le succès de ce recueil, dans une consommation excessive de stéroïdes, et alla même jusqu'à se battre avec le poète Michael Knox pour promouvoir son nouveau roman, "Juste être un homme", centré sur le monde de la boxe. Remis de ses élucubrations, il publia en 2010 un autre roman, "Sarah Court", évoquant l'envers du décor dans un petit lotissement américain. S'attacher à l'ambiance Dans leur travail d'adaptation, Jacques Audiard et le scénariste Thomas Bidegain ont pris quelques libertés avec le roman de Craig Davidson.

The Artist (2011) A l'heure où la pellicule se meurt, où les superproductions font entendre leurs voix à grands renforts d'effets spéciaux, d'images de synthèse, et de projections en 3D, le réalisateur du diptyque OSS 117 retrouve son acteur fétiche pour un retour au source plein de charme et de fraîcheur, une ode aussi sobre que salvatrice pour les amoureux d'un septième art sans artifice. Un film muet en noir et blanc lancé au milieu d'une horde de ... Lire plus A l'heure où la pellicule se meurt, où les superproductions font entendre leurs voix à grands renforts d'effets spéciaux, d'images de synthèse, et de projections en 3D, le réalisateur du diptyque OSS 117 retrouve son acteur fétiche pour un retour au source plein de charme et de fraîcheur, une ode aussi sobre que salvatrice pour les amoureux d'un septième art sans artifice.

Canine (2009 Welcome (2008) L’auteur de “Je vais bien ne t’en fais pas” réalise une oeuvre particulièrement sombre et poignante qui flirte entre le drame humain et le thriller social, à l’état brut. Il évoque ici de façon très habile les difficultés liées à l’émigration, et met en lumière une magnifique histoire d’amitié qui, contre toute attente, conduit un maître-nageur français à aider un jeune émigré kurde dont le seul espoir est de ... Lire plus L’auteur de “Je vais bien ne t’en fais pas” réalise une oeuvre particulièrement sombre et poignante qui flirte entre le drame humain et le thriller social, à l’état brut. Les 15 films de 2012 | Marc Cassivi et Marc-André Lussier | Cinéma De rouille et d'os de Jacques Audiard Jacques Audiard a tiré d'un recueil de nouvelles du Canadien Craig Davidson une histoire d'amour atypique, prenante et déchirante entre un ex-boxeur bourlingueur, sans ressources, sans amis ni éducation, qui décide de se livrer à des combats extrêmes pour survivre, et une femme plongée du jour au lendemain dans le noir, prisonnière de son fauteuil roulant, qui s'isole pour ne pas affronter le regard d'autrui. Marion Cotillard, puisant dans les zones obscures du désarroi, et Matthias Schoenaerts, d'une présence physique brute et irrésistible, sont éblouissants. De rouille et d'os est un film dur, violent, lumineux, puissant, poignant, splendide, tourné à fleur de peau, qui ne laisse personne indifférent. Présentement à l'affiche Amour de Michael Haneke Un moment magique a eu lieu au Festival de Cannes. À l'affiche le 11 janvier The Master de Paul Thomas Anderson À venir en DVD Bullhead de Michael R. Disponible en DVD Au-delà des collines de Cristian Mungiu

Forfaiture (1915) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Image du film. Forfaiture (The Cheat) est un film américain de Cecil B. Edith Hardy, femme de la haute société, perd en Bourse les dix mille dollars de l'organisation caritative dont elle est trésorière. Réalisation: Cecil B. Fanny Ward : Edith HardyJack Dean : Richard HardySessue Hayakawa : Aka ArakauJames Neill : JonesYutaka Abe : le valet d'ArakauDana Ong : l'avocatHazel Childers : Mrs Reynolds Parmi les acteurs non crédités Lucien Littlefield : Le secrétaire de Hardy (en) Forfaiture sur l’Internet Movie Database Portail du cinéma américain Mes meilleurs films de 2009 - Marc Cassivi | Marc Cassivi | Marc Cassivi Le défi : des quelques centaines de films ayant pris l’affiche au Québec cette année, en choisir 10.Je suis longtemps resté coincé à 11. Casse-tête incontournable. Le meilleur film que j’ai vu en 2009? Un prophète de Jacques Audiard, au Festival de Cannes. Brillant exercice de style, brutal, sulfureux et cauchemardesque, baroque, dense et visuellement splendide, Antichrist est aussi un film dérangeant, d’une violence sordide, qui donne dans la mutilation génitale autant que dans le délire satanique. 2. Film de guerre puissant et maîtrisé, qui rend hommage aux westerns spaghetti, Inglourious Basterds est sordide, cynique et archiviolent, grandiloquent et ambitieux, mais aussi grandiose et majestueux. 3. Raymond Depardon, prolifique photographe et documentariste, a suivi pendant 10 ans le parcours de paysans des Cévennes. 4. 5. 6. Un film dur et bouleversant, brutal et fin. 7. L’œuvre remarquable, âpre et épurée, de Steven Soderbergh sur le mythe Ernesto Guevara. 8. 9. 10.

Liberté (2008) En l'espace de trois semaines, le cinéma français présente trois films qui traitent de la déportation : "L'Arbre et la Forêt", qui évoque la question de la déportation des homosexuels, "La Rafle" sur la Rafle du Vel'd'Hiv' qui va sortir le 10 mars, et ce "Liberté" sur la déportation des Roms. Je n'ai pas vu "La Rafle", mais la bande-annonce me fait craindre le pire, dans le registre du pathos appuyé ("Ils prennent les enfants !!!") et ... Lire plus En l'espace de trois semaines, le cinéma français présente trois films qui traitent de la déportation : "L'Arbre et la Forêt", qui évoque la question de la déportation des homosexuels, "La Rafle" sur la Rafle du Vel'd'Hiv' qui va sortir le 10 mars, et ce "Liberté" sur la déportation des Roms. Je n'ai pas vu "La Rafle", mais la bande-annonce me fait craindre le pire, dans le registre du pathos appuyé ("Ils prennent les enfants !!!")

Mes meilleurs films de 2009 - Marc-André Lussier | Marc-André Lussier | Marc Cassivi Ma liste des meilleurs films de 2009 ne reflète pas tout à fait la réalité. À vrai dire, les deux plus grandes oeuvres cinématographiques vues cette année, toutes deux primées à Cannes, ne seront admissibles que l'an prochain, leur sortie québécoise n'étant prévue que dans deux mois. Un prophète, le drame carcéral de Jacques Audiard (sortie le 26 février), se serait facilement glissé en tête de ce palmarès, suivi de près par Le ruban blanc de Michael Haneke (sortie le 5 février). 1. Un film remarquable à tous points de vue, tant sur le plan de l'écriture, de la réalisation (Jason Reitman), que de l'interprétation. > La critique 2. Dans cet extraordinaire documentaire, Rodrigue Jean braque sa caméra sur les visages d'une douzaine de jeunes hommes qui s'adonnent à la prostitution dans le Village. > La critique 3. > La critique 4. Plusieurs ont dit de ce film très controversé qu'il serait complètement passé inaperçu s'il n'avait pas été signé par Lars Von Trier. > La critique 5. > La critique

L'Horloger de Saint-Paul (1974) Adapté de Simenon par Bost et Aurenche Avant de devenir le premier long métrage de Bertrand Tavernier L'Horloger de Saint-Paul est un roman connu sous le titre de L'Horloger d'Everton et dont l'action se situe dans le Connecticut, aux Etats-Unis. Le récit du film est transposé dans l'environnement lyonnais, terre natale du réalisateur, qui tient beaucoup à cette ambiance. Les auteurs ajoutent également un contexte politique de la France sous Pompidou. Premier jour de tournage angoissé pour Tavernier Le premier jour du tournage de son premier long métrage, L' Horloger de Saint-Paul, Tavernier a peur et craint d'être confronté à des techniciens qui connaissent le métier mieux que lui. Ma décennie de films en 30 catégories | Marc Cassivi | Marc Cassivi Le plus poétique, bronzé, bouleversant, cru ou humain: une sélection de films en 30 catégories. Le plus poétique: Still Life de Jia Zhang-ke. Le plus décalé: The Royal Tenenbaums de Wes Anderson. Le plus cauchemardesque: Inland Empire de David Lynch. Le plus décapant: Bad Santa de Terry Zwigoff. La plus belle fable: Atanarjuat de Zacharias Kunuk. Le secret le mieux gardé: Celui des personnages incarnés par Bill Murray et Scarlett Johansson dans Lost in Translation de Sofia Coppola. La plus séduisante chronique familiale: Yi Yi: A One and A Two d'Edward Yang. La meilleure musique (ex aequo): Half Nelson de Ryan Fleck. Broken Flowers de Jim Jarmusch, une tragicomédie sympathique, bercée par le jazz hypnotique de l'Éthiopien Mulatu Astatqé. Le plus bouleversant: Elephant de Gus Van Sant. Le plus audacieux: Dogville de Lars Von Trier. Le plus «pinot noir»: Sideways d'Alexander Payne. Le plus sensuel: Lust, Caution d'Ang Lee. Le road-movie le plus captivant: Eurêka de Shinji Aoyama. Le plus beau prof:

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