La curation c’est de la merde J’aurais pu écrire m€46€, j’aurais pu être subtil, j’aurais pu essayer d’être plus consensuel mais ce ne doit pas être dans mon “ADN” … Mais finalement en utilisant le mot de Cambronne je reste finalement très soft par rapport au fond de ma pensée. Curation par-ci, curation par-là. Je ne reviendrai pas sur le terme. Ne jugeons pas le moine à son habit, allons voir ce qu’il a sous sa soutane… Car le fond, toi lecteur audacieux qui aura sauté sur ce titre vilement racoleur, c’est ce qui t’intéresse étant donné que tu as de saines lectures. Continuons donc dans le racoleur en cédant à la manie qui est de compter. 1) Les plateformes de curation et l’acte de curation en lui même n’apportent rien Curater (ou curer en fait… Je sais pas…) c’est quoi ? L’acte de la curation est un acte à très très très faible valeur ajoutée ! Je n’ai pas réussi finalement à trouver une once de valeur ajoutée dans la curation. 2) La curation constitue une atteinte au droit d’auteur Conclusion
La curation, un usage au cœur d’une nouvelle révolution du web La Social Media Week parisienne débutait hier avec une conférence organisée par Pearltrees, Scoopit, ReadwritewebFr et la Région Ile de France et consacrée à la curation. L’enjeu : la curation est-elle l’avenir du web ? Un terme encore à définir Le phénomène de curation serait tellement nouveau qu’il n’aurait pas encore de définition bien établie, sans parler d’une tentative de traduction en français. Tous curateurs ? Si le terme est récent, le phénomène est ancien. Le panel 2 du débat avec E. Curator, mais pour quoi faire ? Le curator peut être journaliste web, documentaliste, archiviste du net, voire même blogueur ou, plus vraisemblablement, aucun d’entre eux : le curator est le plus souvent un expert sur un sujet qu’il maîtrise et/ou qui le passionne. Le curator, simple dépollueur ou sauveur du web ? La curation serait, finalement, une conséquence naturelle de l’évolution du web, de la qualité et de la quantité de contenus partagés chaque jour.
Curation, nouveau terme à la mode. Le cas de Paper.li Depuis ce début d’année, je vois souvent revenir le même terme parmi mes lectures « technologiques » et « webesques »: la curation et tout le champ sémantique qui va avec. Je ne suis pas différente de vous, la curation me fait penser au curateur, celui qui fait l’inventaire et la répartition des biens quand une société fait faillite. Curation et web ? Quel est le lien ? Evidemment, le terme nous vient tout d’abord du monde anglophone et il faudra sans doute un peu de temps pour que le web francophone se l’approprie et en donne une traduction plus que douteuse (ex: le buzz qui devient ramdam). Le principe de la curation digitale c’est en gros: sélectionner, analyser, trier et partager les informations présentes sur la toile selon les destinataires. Si vous êtes sur Facebook ou sur Twitter, vous êtes déjà un curateur digital potentiel: une vidéo circule, vous la trouvez marrante, vous la partagez sur votre wall ou vous la twittez.
Curation : Méthodologie, objectifs, pratiques et choix des outils Consultant-formateur en intelligence économique et en veille, Christophe Deschamps est aussi l’auteur d’Outils froids, blog de référence sur les outils Web 2.0, services en ligne de veille et de curation et l’organisation personnelle de travail. Il a donné le 13 mars 2012 une conférence sur le thème de la curation (« ensemble de pratiques et une gamme d’outils destinés à des opérations de republication web ») pour le compte des rendez-vous 5 à 7 de l’ADBS (association des professionnels de l’information et de la documentation). 12 solutions de curation et 32 critères de choix Pour cette conférence-formation, le consultant-formateur fait le point sur la curation aujourd’hui à travers une définition avant de s’intéresser à un historique et à des pratiques liés à des contextes et à des enjeux professionnels ou individuels. Vidéo de la conférence curation Chaine ADBS Présentation de Christoophe Deschamps Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Île-de-France
» La « curation », un nouveau métier du Web? Très bientôt, le contenu accessible sur Internet doublera toutes les 72 heures. Trouver une information pertinente deviendra une tâche encore plus ardue! En réponse à cette préoccupation, une pratique est en vogue depuis plusieurs mois sur le Web: la curation. On mise désormais sur l’édition et la diffusion plutôt que sur la création de contenu. Qu’est-ce que la curation? Le terme anglais curator se traduit par conservateur dans le domaine de l’art. Source: prezi.com L’organisateur de contenu recherche l’information sur les réseaux sociaux ou dans les médias traditionnels, la sélectionne, la classe pour ensuite la partager à l’interne (site de l’entreprise, bulletin électronique) ou à l’externe (médias sociaux, blogue). Tout le monde fait de l’organisation de contenu sans le savoir, que ce soit en publiant un lien sur Facebook ou Twitter et en y intégrant un commentaire ou encore en émettant un avis sur TripAdvisor. Quels outils utiliser pour votre entreprise? Source: Scoop.it Sources:
Méthodologie de veille et curation : outils, moyens et étapes (présentation) Jean-Baptiste Dayez, psychologue et doctorant-chercheur à l’Université catholique de Louvain (Belgique) a publié en mai 2012 une présentation très complète à propos des moyens et de la méthodologie de veille sur Internet en tenant compte de son expérience professionnelle en la matière : lutter contre l’infobésité. La présentation Les outils de veille informationnelle, d’archivage, de rediffusion et de curation de l’information passe en revue différentes techniques et outils de veille de façon large avec une méthodologie de projet qui va de l’amont à l’aval. Conseils pour une veille et une curation efficace Présentation Sommaire de la présentation : Les outils de veille informationnelle, d’archivage, de rediffusion et de curation de l’information 0. Posture Convictions Proposition Infobésité 1. Définition Contexte et enjeux Méthodes de veille Qu’est-ce que le RSS ? 2. Observations Le social bookmarking Quelques outils Fonctionnalités fréquentes Ressources complémentaires 3. 4. 5. 6.