Créer de bonnes habitudes de mémorisation | Mémoire & Concentration ©stockxpert_orla Vous savez quoi ? Le principal problème avec les techniques de mémorisation, c’est de s’en rappeler ! Sérieusement, il existe quantité de méthodes et d’exercices pour stimuler la mémoire, mais si vous ne prenez pas l’habitude de les utiliser, vous allez les oublier… Quelle que soit la mnémotechnique, vous devez faire un effort conscient pour l’appliquer jusqu’à ce qu’elle devienne automatique. C’est comme cela qu’on développe sa mémoire. Nous sommes tous conscients du fait qu’il est possible de développer nos mémoires avec des exercices quotidiens prévus pour une augmentation graduelle de la difficulté; Comme la pratique régulière d’un sport augmente nos capacités physiques. Nous pouvons donc stimuler notre mémoire grâce à de simples activités quotidiennes du cerveau. Donnez-vous l’ordre d’enregistrer. 2 Exercices simples pour stimuler la mémoire à long terme 1° Vous souvenez-vous de 15 détails de votre vie au moment de la mort de la princesse Diana ?
[Vidéo] Le cerveau : comment le cerveau fonctionne quand on apprend ? (partie 2) (4,52 minutes) Comment le cerveau apprend ?(partie 2) Reportage Arte © (Voir la première partie de la vidéo) En situation d'apprentissage, comment fonctionne le cerveau ? (Voir la deuxième partie de la vidéo) L’expérience sur les aveugles montrent que les zones du cerveau non activées ne se détériorent pas: un aveugle a toujours une zone de vision intact dans le cerveau. (Voir la troisième partie de la vidéo) Comment fonctionne les neurones dans le cerveau? (Si vous n'arrivez pas à lire la vidéo, utilisez le navigateur firefox) Télécharger Firefox Retour accueil Stratégies d’apprentissage efficaces D’après ma lecture du livre Mets-toi ça dans la tête ! Les stratégies d’apprentissage à la lumière des sciences cognitives, de P.C. Brown, L. memorisation-a-long-terme L’apprentissage par coeur reste incontournable pour : – les tables de multiplication, théorèmes, formules… – la conjugaison – le lexique en Langues Vivantes – les poésies… Que l’apprentissage se fasse par coeur ou non, il est nécessaire que l’élève intègre le fait qu’apprendre demande des efforts réguliers et constants. Bien entendu, cette fiche a besoin d’être complétée par l’utilisation d’autres outils (cartes mentales, flashcards, stratégies de compréhension de texte… cf. Laetitia Ferrari WordPress: J'aime chargement…
Apprendre à apprendre (1/4) : deux modes d’apprentissage Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ? Même le plus fameux des MOOCs, Coursera, s’est intéressé à la question et propose maintenant un cursus « Apprendre à apprendre« . A sa tête, on trouve un neuroscientifique connu, Terrence Sejnowski et surtout Barbara Oakley, auteur d’un excellent livre sur l’apprentissage des sciences, A Mind for Numbers. Son éducation scientifique, Barbara Oakley l’a effectuée sur le tas. Mode « concentré » et mode « diffus » La créativité occupe une place importante dans le livre d’Oakley. Un des premiers principes sur lesquels elle s’étend dans son livre c’est ce qu’on pourrait appeler le paradoxe de la créativité. Le mode diffus, au contraire, est celui de l’inconscient.
Apprendre à apprendre : Se connaitre soi-même 1. SE CONNAITRE SOI-MÊME : pour s'engager dans l'action L'apprentissage ne peut être efficace que si l'apprenant s'y engage activement, c'est un point essentiel. Cette action va s'engager à partir de nos représentations, qui fondent notre expérience et nous constituent, et à partir desquelles nous allons penser, faire des choix, agir. C'est pourquoi il est utile de les interroger dès le début de la démarche d'apprentissage, d'accepter si nécessaire de les modifier, de les faire évoluer, afin de lever des sources de difficultés potentielles et insoupçonnées. Il importe de prendre conscience également de nos perceptions émotives et affectives, car elles influencent notre engagement dans l'apprentissage, de sorte qu'elles peuvent le freiner, voire même le bloquer, ou au contraire le favoriser. Cette action a ensuite besoin d'un moteur, c'est la motivation. Selon notre type perceptif ou notre type d'intelligence, nous percevons et intégrons de façon privilégiée certains types d'information.
11/22 > BE Canada 393 > Deux parties distinctes du cerveau sont nécessaires à la prise de décision NeurologieDeux parties distinctes du cerveau sont nécessaires à la prise de décision De nouvelles recherches en neurologie élucident le processus décisionnel Choisir entre des arbres fruitiers -pour des oiseaux - ou entre des valeurs immobilières -pour des investisseurs - relève du même défi : faire des choix optimaux dans un environnement présentant divers coûts et avantages. Jusqu'à présent la communauté scientifique pensait que pour prendre une décision, le cerveau effectuait, en série, des comparaisons de valeurs : l'information sur la valeur du "bien" contribuant ensuite aux actions. Les scientifiques ont examiné l'apprentissage axé sur la valeur d'actions et la valeur de biens chez des individus présentant une lésion dans différentes parties des lobes frontaux. Ces résultats indiquent que le cortex orbitofrontal joue un rôle important pour faire le lien entre des biens et leurs valeurs relatives subjectives.
5 principes essentiels issus des neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage en formation – FormaVox Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. Le problème de notre mémoire de travail, c’est qu’elle dispose d’une capacité très limitée : elle ne peut conserver simultanément que 7 éléments (+/- 2 en fonction des individus) pendant une période de 30 secondes. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. Les recherches nous montrent qu’au bout de 20 minutes, le taux d’assimilation d’informations chute de plus de 50%. 3. 4. 5. [hr] Source : J.
Styles d’apprentissage : la typologie de Kolb Beaucoup d’encre a coulé au sujet des styles d’apprentissage. Vous aurez sûrement l’occasion de constater que votre apprenant a de la difficulté à saisir des concepts qui paraissent fort simples. Il est fort probable qu’il ait un style d’apprentissage différent du vôtre et que vos stratégies d’apprentissage s’avèrent inefficaces pour lui. Les recherches dans le domaine de l’enseignement nous démontrent qu’on a tendance à enseigner en se basant sur notre propre style d’apprentissage. Or, si notre apprenant n’a pas le même style d’apprentissage que nous, il y aura des difficultés à l’horizon. Le style d’apprentissage dominant, c’est la manière préférentielle de résoudre un problème. Nous utilisons les quatre styles de base, mais 75% des gens ont un style dominant. On ne peut pas hiérarchiser les styles d’apprentissage : leur efficacité spécifique varie en fonction des circonstances … Le cycle de Kolb et ses dérivés Le cycle des phases d’apprentissage. 1. Le cycle de McCarthy 1. 2. 3. 4. 1.
12 stratégies de mémorisation... pour réactiver les informations efficacement Pour mémoriser de nouvelles informations, certains facteurs comme la répétition, les images mentales, les associations, le jeu et l’imagination sont très importants. 1.L’exagération Plus on exagère la représentation d’une chose dans nos images mentales, mieux on les mémorise. 2.La pensée positive On apprend mieux quand on se sent mieux. Kevin Finel, conférencier et enseignant spécialisé en hypnose, propose une manière de tirer profit du fonctionnement du cerveau pour apprendre plus efficacement, basée sur les ancrages positifs volontaires. – Proposez un objet à l’enfant ou demandez-lui de choisir un objet. – Demandez à l’enfant de le placer dans son champ de vision, proche de lui. – Demandez à l’enfant de se rappeler un souvenir positif, au cours duquel il s’est senti bien. – Demandez à l’enfant d’ouvrir les yeux et de fixer l’objet choisi comme stimulus (stylo, trousse, bijou…). – Il ouvre les yeux et fixe une dernière fois l’objet. 3.L’ordre, le classement et les associations d’idées etc…
Dyslexie : désaccords cérébraux Que se passe-t-il lorsqu’un enfant présente des troubles de la lecture ? On suspecte depuis plusieurs années que la capacité à analyser les composantes sonores des mots est altérée chez les sujets dyslexiques. Une étude récente de plusieurs équipes de l’Inserm, du cnrs, de l’ehess et de l’École normale supérieure semble confirmer ce modèle. L’étude consiste à observer les oscillations électriques produites par chaque hémisphère cérébral en réponse à des sons de différentes fréquences. Chez les sujets non dyslexiques, le cortex auditif gauche réagit en émettant des oscillations électriques à un rythme de 30 par seconde, ce qui correspond à la fréquence des phonèmes (les plus petits sons audibles, par exemple s et ou dans la syllabe sou). Normalement, lors de la perception du langage, l’hémisphère gauche oscille au rythme des phonèmes (30 hertz) et le droit au rythme des syllabes (5 hertz).