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Unnamed pearl

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La création du délit d'identité numérique marque une avancée importante dans la prise en compte par le droit pénal de la spécificité des nouvelles technologies. Prévue par l'article 2 de la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, cette nouvelle incrimination vient combler un vide juridique au moment où le web participatif est en constante progression. Il ne s’agit pourtant pas d’une idée totalement nouvelle puisqu’elle avait déjà été proposée dès 2006 par le sénateur Michel Dreyfus-Schmidt qui regrettait le vide juridique en la matière. Il faut aussi noter que le Code pénal contient un article 434-23 selon lequel : « Le fait de prendre le nom d'un tiers, dans des circonstances qui ont déterminé ou auraient pu déterminer contre celui-ci des poursuites pénales, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende». I) Disposition pertinente de la loi Article 2 de la LOPPSI II (dans sa version du 16 février 2010) :

Nouvel enjeu pour les entreprises exposées sur la Toile, défendr La vitalité dévorante de la Toile et de nos objets numériques modifie le champ de nos valeurs, invente des pratiques, établit aussi de nouvelles dérives. Tous ces champs d'exploration ont été étudiés durant deux jours au quatrième Forum international sur la cybercriminalité à Lille. Par exemple, la « e-réputation » et l'ingénierie sociale se sont imposées en quelques années comme des enjeux colossaux pour le monde économique. À la SNCF, Liane Mathiaut est responsable de la veille image à la direction de la communication. L'enjeu est colossal. Deux personnes handicapées n'ont pas pu prendre le TGV. La SNCF va même plus loin en interne puisqu'elle a mis au point une formation aux bonnes pratiques sur les outils numériques : changer régulièrement de mot de passe, crypter ses mails confidentiels, retirer des référentiels... « Sur les réseaux sociaux, on se détend, on ne prend pas garde à la confidentialité. La Voix du Nord

Quelle protection juridique de votre e-réputation ? : Protection pénale de votre e-réputation par les cyber-délinquants Ouvrir un bureau de tabac L’activité de buraliste est une profession réglementée impliquant le statut de «préposé de l’administration douanière et commerçant». Aussi, il convient de respecter plusieurs conditions et d'effectuer plusieurs démarches pour ouvrir un tabac. En savoir plus (Encore) une nouvelle loi de simplification du droit : le point sur la loi du 22 mars 2012 Une nouvelle loi de simplification du droit est entrée en vigueur. En savoir plus TVA sociale Une loi sur la TVA sociale avait été adoptée par le gouvernement précédent mais elle a été abrogée par la nouvelle majorité avant même d'entrer en vigueur. En savoir plus Responsabilité pénale du dirigeant : tout savoir sur la délégation de pouvoir La délégation de pouvoir permet à un dirigeant peut s'exonérer de sa responsabilité pénale. En savoir plus L'usufruit temporaire, un bon plan pour vos locaux professionnels En savoir plus

E-réputation en 2020 : quelles perspectives Que sera le web dans les 10 ou 20 prochaines années ?! Les évolutions technologiques et les usages à venir vont-ils modifier les processus de gestion de la réputation en ligne des organisations ?! Pour avoir une idée de tout cela, CaddE-Réputation a sorti sa Delorean volante, pour aller interviewer Elli MacAll, consultant spécialiste de l'e-réputation... en 2020 ! Bonjour Elli. Elli MacAll, je suis consultant spécialisé dans la gestion de la réputation MediaOverview des organisations, au sein d'une agence du groupe OmniPubliHava (OPH). Globalement, mon travail consiste à identifier, mesurer et influer sur les recommandations sociales effectuées au sein des diverses communautés web, constituées des cibles de mes clients. Pour entrer directement dans le vif du sujet : vous parlez de « recommandation sociale », qu'entendez-vous par là ?! Depuis 2015 approximativement, les moteurs de recherches ont perdu de leur influence sur la recherche et le choix de produits ou services.

Le cadre juridique de la protection de l’e-réputation Il est très souvent laissé entendre qu’internet serait une zone de non droit dans laquelle les internautes malveillants peuvent dire, médire, diffamer et mettre en cause des individus sans moyens légaux efficaces pour les victimes de ces infractions d’y répondre et d’en obtenir réparation. La récente proposition de loi déposée par le Sénateur Jean-Louis Masson qui suggère la fin de l’anonymat sur internet participe, dans une certaine mesure, de ce postulat. De nombreuses sociétés sont venues se positionner, ces derniers mois, sur le marché du contrôle ou de la veille des messages, propos, vidéos et images diffusés sur internet qui touchent aussi bien les personnes physiques que les personnes morales. En pratique, avant même le recours à une action en justice, il existe donc quelques moyens juridiques pour la victime d’une infraction de presse puisse faire valoir ses droits. Selon l’article 6, IV de la loi du 21 juin 2004 :

Interrogations sur l’éthique dans l’e-réputation | Bloc-Notes de Devant la montée en puissance des médias dits sociaux, l’entreprise se retrouve à devoir gérer sa réputation sur une échelle et un terrain nouveau pour elle. Elle peut, bien sur, s’en charger elle même ou confier cette tâche à des professionnels de ce marché nouveau qui mettront leur connaissance de ces nouveaux médias et de leurs codes au service de l’entreprise novice. Jusque là rien de spécialement nouveau. Par contre il m’arrive de rester dubitatif face à certaines promesses qui peuvent être faites à l’entreprise novice. • “Faire supprimer les contenus négatifs” J’aimerai bien savoir sur quoi s’appuyer pour réussir un tel miracle. • “La génération de contenus positifs” Si on ne peut supprimer les contenus négatifs argumentés et factuels, tout au moins peut on les noyer dans un océan de contenus positifs. Entendons nous bien, travestir la réalité pour donner la meilleure image possible d’un produit ou d’une entreprise ne me dérange pas du tout : cela s’appelle de la publicité. Google+

E-Reputation L'e-reputation est un terme émergent désignant la réputation d'une personne ou de quelque chose (marque, produit, site...) sur internet. Cela peut ainsi se traduire par tout ce qui se dit sur quelqu'un ou quelque chose sur le web (sites, blogs, réseaux sociaux...) ou encore par courrier électronique. Cet article présente les enjeux de travailler sa réputation sur la toile et les méthodes pour veiller sur sa réputation. Enjeux Internet est un média bien particulier qui permet d'accélérer la communication. Ce constat est d'autant plus fort que de nos jours beaucoup de personnes possèdent un espace de communication sur internet (tel qu'un blog) et que l'opinion d'un anonyme qui nous ressemble a plus de poids qu'une publicité provenant de la marque. Réputation des personnes La réputation d'une personne prend de l'ampleur dans certains cas de figure, cela se révèle particulièrement vrai lorsqu'il s'agit d'un candidat pour un recherche d'emploi. Réputation des entreprises Méthodes pour réagir

DOSSIER : Web en Temps Réel & E-réputation des Marques 16 avril 2010 dans Dossiers & présentations, Sites web La gestion de leur réputation pour les entreprises n’est pas un phénomène nouveau car les marques ont toujours veillé à leur image, le plus souvent en diffusant leur propre message. Mais aujourd’hui les choses ont changé. Avec l’arrivée d’Internet, du web 2.0, de la montée en puissance des échanges sur les médias sociaux, du partage de contenus et des contributions des internautes, le phénomène va prendre une toute autre ampleur avec une nouvelle donnée à prendre en compte : le web en temps réel. La réputation est devenue mondiale, publique avec une notion d’instantanéité que l’on ne connaissait pas auparavant. On imagine bien les dangers que cela représente pour une marque et sa réputation qui va s’ancrer dans une nouvelle temporalité car rien (ou presque) ne disparaît d’internet. Des exemples de plus en plus fréquents ont montré que la gestion de la réputation d’une marque sur Internet était loin d’être évidente.

Usurpation d'identité d'entreprise : un fléau grandissant | Protegez-vos-donnees.fr Un nouvelle forme d’arnaque débarque en France : l’usurpation d’identité des entreprises. Tout commence par une demande de devis. Les escrocs récupèrent ainsi les informations dont ils ont besoin. Une récolte facile d’informations sur votre entreprise Les escrocs commencent par contacter votre entreprise afin d’obtenir un devis. Les fraudeurs vont ensuite vous demander un RIB, pour soi-disant vous régler par virement. La mise en place de l’usurpation d’identité de votre entreprise Les escrocs vont désormais ouvrir une adresse mail la plus proche possible du nom de votre entreprise, par exemple contact@votre-entreprise.com. Ils vont ouvrir des comptes professionnels au nom de votre entreprise chez un transporteur permettant l’envoi à l’international (UPS par exemple). De nombreuses commandes au nom de votre entreprise Les vices de l’usurpation d’identité d’entreprise L’usurpation d’identité d’entreprise donne aux escrocs trois avantages majeurs :

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