Education : Sarkozy n'a pas les bons chiffres (détecteur de mensonges)
Invité de RTL lundi matin, Nicolas Sarkozy est revenu sur la volonté de son adversaire socialiste de créer 60.000 postes supplémentaires dans l'éducation nationale. Le président-candidat a dénoncé "la démagogie extravagante" de François Hollande. "Je suis effaré qu'on puisse dire, avant même de commencer la discussion sur l'école, qu'il faut créer 60.000 postes en plus, avant même d'obtenir la moindre réforme", a lancé le chef de l'Etat, désormais en campagne. Et ce dernier - pour justifier ses dires - a avancé des chiffres : "Il y a un peu plus de 400.000 élèves de moins dans l'Education nationale depuis dix ans, et il y a 45.000 professeurs de plus." Avant de conclure : "S'il suffisait d'embaucher des profs pour que l'école fonctionne et que les profs soient heureux, on devrait avoir l'école qui fonctionne le mieux au monde et les professeurs les plus heureux du monde." Sauf que les chiffres de Nicolas Sarkozy ne sont pas exacts. Une baisse et non une hausse du personnel enseignant
La France manquera de diplômés du supérieur en 2020
Notre pays ne forme pas assez de jeunes pour répondre aux développements de l'économie du savoir. Selon les prédictions d'une étude, les diplômés de l'enseignement supérieur risquent de manquer d'ici 2020 aux secteurs qui en ont besoin. Pas très optimiste, l'Institut McKinsey. Dans un rapport publié vendredi 4 mai, le cabinet de conseil annonce, en France, une poursuite de la dégradation du marché de l'emploi d'ici 2020. "D'ici 2020, si les conditions du marché du travail restaient inchangées, il manquerait à la France 2,2 millions de diplômés (NDLR : niveau égal ou supérieur au bac), tandis que 2,3 millions d'actifs sans diplôme ne trouveraient pas d'emploi", conclut le rapport, sur la base de projections réalisées par les économistes du cabinet. Comment ? L'enquête montre par ailleurs que pour un même niveau d'études, certaines filières de formation offrent des garanties inégales en matière d'insertion sur le marché du travail.
L’école, premier budget de la nation
Le projet de loi de finances prévoit une hausse de 2,4 % des moyens de l’éducation nationale, soit plus d’1 milliard d’euros. 9 000 postes pourront ainsi être créés. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maryline Baumard Au budget 2015, l’école reste une priorité. Les 65,02 milliards d’euros que l’Etat a décidé de consacrer à ses 12,3 millions d’élèves actent une hausse de 1,1 milliard d’euros pour l’année prochaine, soit 2,4 %. > Lire aussi la synthèse : Le détail des 7,7 milliards de coupes dans le budget de l’Etat 9 421 postes supplémentaires en 2015 Près de 95 % du budget de l’éducation nationale correspond à de la masse salariale. 352 millions pour l’éducation prioritaire Sur les 352 millions budgétés pour l’éducation prioritaire, environ les deux tiers (220 millions) sont utilisés en créations de postes, et 100 en revalorisation des indemnités des personnels. Des moyens pour le primaire La priorité au primaire serait-elle toujours d’actualité ? Des économies quand même…
Liste des conseillers TICE auprès des recteurs - Conseillers TICE auprès des recteurs
Le DAN pilote une mission académique pour le numérique éducatif (MANE). Il anime aussi des personnels en EPLE (référents numériques, etc.) et des personnels ayant une mission académique (Interlocuteurs académiques TICE disciplinaires, etc.) Il s'appuie notamment sur les IEN TICE pour le 1er degré. Rôle et activités du délégué académique numérique (DAN) L'activité du délégué académique numérique s'articule autour de quatre axes essentiels : Elle se déploie en synergie avec les initiatives menées par les différents réseaux et acteurs académiques, le réseau Canopé, corps d'inspection, etc. Les délégués académiques numériques font partie d'un réseau national animé par la DGESCO. Liste des délégués académiques numériques
Réinventer le système éducatif, un impératif de ce quinquennat.
L’élection présidentielle derrière nous, nous pouvons en retenir une chose : les cinq prochaines années seront décisives et l’équipe en place a un devoir de réussite. Sans quoi la France perdra non seulement sa stature à l’échelle mondiale mais, plus grave, notre génération handicapera durablement celle qui vient. En choisissant une croissance par la relance et une politique de demande, la France n’a pas d’autre solution que de réussir son pari. C’est un risque, mais c’est aussi probablement une réelle chance. En somme, nous avons 5 ans pour trouver des solutions aux dérèglements sociaux que la crise a générés et des solutions de financement optimales, peu coûteuses et à fort effet de levier. Ré-initialiser notre modèle éducatif est un impératif. Vous l’aurez compris, nous nous dirigeons vers un nouveau modèle radicalement ouvert, asynchrone et collaboratif. Il existe des initiatives, des projets qui ont montré la voie comme la célèbre Khan Academy.
La France, pays des inégalités à l'école
Liberté, égalité, fraternité. Tels sont les mots qui composent la devise nationale. Or sur le deuxième point, le compte n'y est pas pour les jeunes pousses du pays. C'est ce que montre l'Unicef ce 14 avril dans son rapport "Equité entre les enfants : tableau des inégalités de bien-être entre les enfants des pays riches". L'étude a pour but de "suivre" et "comparer la capacité des pays économiquement avancés à garantir les droits et le bien être de leurs enfants". Inégalités dans l'enseignement Le rapport de l'Unicef montre qu'en France il y a un fossé entre les élèves en fonction de leur milieu social. L'écart relatif de réussite entre les élèves en difficulté et l'élève moyen est également l'un des plus important des pays de l'OCDE. Ces chiffres s'appuient sur les résultats au test du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA). Quant au pourcentage d'enfants sous le niveau de compétence dans ces trois matières, la France affiche un taux de 12,7%.
La privatisation mondiale de l’éducation : Jean Charest au service d’une élite mondialiste « Le DÉCODEUR – média citoyen
Par Eric Granger | La hausse des droits de scolarité au Québec s’insère dans un processus de privatisation mondiale de l’éducation, un processus dicté par une élite mondialiste dont Jean Charest fait partie. Line Beauchamp (Ministre de l’éducation) et Jean Charest (PM) Photo : Agence QMI L’entêtement du gouvernement Charest à vouloir augmenté les droits de scolarité, à bonifier les prêts étudiants et à instaurer un régime de remboursement proportionnel au revenu (RPR), cet entêtement est facile à comprendre lorsqu’on regarde de plus près d’où proviennent ces idées de réformes de l’éducation. De l’Angleterre au reste du monde Le programme mondial de privatisation du financement de l’éducation a débuté en Angleterre en 1998. Selon Barr, le RPR permet de maintenir l’accessibilité aux études supérieures pour les moins fortunés. Le cas du Québec Au Québec, une réforme du régime de prêts et bourses a été entreprise en 2003-2004 afin de le privatiser. Le secteur privé se réjouit M. M. M. M. M. M.
How Open Education is Changing the Texture of Content
Digital Tools Teaching Strategies thinkstock By Frank Catalano Schools are moving from creamy to chunky — but not in relation to cafeteria peanut butter. Instruction that was structured linearly, captured in books that were all-inclusive monoliths with a predetermined progression for a uniform, somewhat “creamy” consistency, is shifting to newer forms of instructional content that are more “chunky,” beginning as a scattered landscape of digital pieces that are then assembled to support full courses The trend, steady and apparently inexorable, is inspired by higher education, driven by financial pressures, propelled by foundations and the federal government, and enabled by technology. Digital course materials are, of course, nothing new. Pluto’s planetary status in flux? Encouraging this acceleration of digital chunky content, in large part, is the Open Educational Resources (OER) movement. PRICE. AVAILABILITY. DISCOVERABILITY. Last November, the U.S. FLEXIBILITY. Related