République populaire de Chine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. République populaire de Chine 中华人民共和国 (zh) 中華人民共和國 (zh-TW) Zhōnghuá Rénmín Gònghéguó (zh) La République populaire de Chine (RPC) (chinois simplifié : 中华人民共和国 ; chinois traditionnel : 中華人民共和國 ; pinyin : Zhōnghuá Rénmín Gònghéguó), couramment appelée Chine[Note 4] et parfois Chine populaire, est un pays d'Asie de l'Est. Début décembre 2014, la République populaire de Chine devient la première puissance économique mondiale, sur la base du produit intérieur brut à parité de pouvoir d'achat[5] ; mais elle reste derrière les États-Unis en produit intérieur brut nominal[6]. La Chine a connu une période néolithique et des âges des métaux plutôt tardive par rapport à l'Anatolie et à la Mésopotamie, mais elle a été et reste le foyer de nombreuses innovations dans les domaines des sciences et des arts[10]. Étymologie[modifier | modifier le code] Tout au long de leur histoire, les Chinois ont utilisé plusieurs noms pour désigner leur pays.
Religion traditionnelle chinoise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Temple Hui-an à Tainan, Taïwan Née dans une région du monde où l'adhésion exclusive à une confession est une pratique presque inconnue, la religion traditionnelle repose sur une vision de l'univers et de la place qu'y occupe l'être humain partagée par tous. Elle est ainsi absente de presque toutes les statistiques sur les religions d'Asie, ses fidèles étant enregistrés dans les catégories « taoïste » ou « bouddhiste », voire « confucianiste ». Religion traditionnelle, taoïsme, bouddhisme et confucianisme[modifier | modifier le code] Le taoïsme est resté un ensemble d’écoles et non une confession religieuse à proprement parler. De même, l'identification « bouddhiste » est ambiguë. Doctrine morale, sociale et politique, le confucianisme a profondément influencé les relations familiales et la vision du rôle de l'individu dans la communauté. Quelques notions et pratiques générales[modifier | modifier le code] L'univers[modifier | modifier le code]
Religion en Chine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Fidèle devant un brûle-encens Le fait religieux dans le monde chinois se caractérise par le pluralisme, favorisé par l’attitude de l’État : celui-ci exerce depuis le début de l’empire (IIIe siècle av. Les principales religions pratiquées sont le taoïsme et le bouddhisme (représentés par divers courants) ainsi que la religion traditionnelle qui emprunte aux deux précédentes et aux traditions locales tout en intégrant le culte des ancêtres. Hormis les cinq grandes religions citées ci-dessus, la Chine a connu une grande quantité de cultes locaux ou importés. Ambiguïté de l’identité religieuse et statistiques[modifier | modifier le code] Certains facteurs rendent les statistiques sur l’appartenance religieuse difficilement interprétables : Quelques statistiques :
Cité interdite Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Cité interdite (故宫,palais historique) également appelé Musée du palais (故宫博物馆) est le palais impérial au sein de la Cité impériale de Pékin dont la construction fut ordonnée par Yongle, troisième empereur de la dynastie Ming, et réalisée entre 1406 et 1420. Ce palais, d'une envergure inégalée — il s'étend sur une superficie de 72 ha — fait partie des palais les plus anciens et les mieux conservés de Chine. De nos jours, il est devenu un musée, le Musée du Palais, qui conserve les trésors impériaux de la civilisation chinoise ancienne et de très nombreuses œuvres d'art chinois de première importance : peintures, bronzes, céramiques, instruments de musique, laques, etc. Noms[modifier | modifier le code] Ce site monumental a plusieurs dénominations : Description[modifier | modifier le code] Plan de la Cité interdite. - - - Ligne de séparation approximative entre les cours intérieure (au nord) et extérieure (au sud) .
Noël en Chine la fête de Noel et traditions Autrefois, c'étaient des Chinois catholiques qui passaient Noël et le réveillon plutôt dans les églises et en famille. Et au fur et à mesure de l'ouverture sur l'extérieur, la fête de Noël devient un mode de vie dans de grandes villes ou régions côtières ; de plus en plus nombreux sont ceux de la jeune génération célèbrent cette fête à différentes manières. Il n'y a pas de congé au Jour de Noël. Prenons par exemple une enquête effectuée par Sina, media officieux auprès des citadins dans trois municipalités : Beijing, Shanghai et Guangzhou (Canton). Dans Beijing, capitale Traditionnellement, une grande messe sous l'égide de l'évêque Fu Tieshan se tient au soir de Réveillon dans l'Eglise Nantang situé près de la porte Xuanwu au sud du Carrefour Xidan sur le grand Boulevard Chang'an. Cette année, la neige chutée pendant 6 jours consécutifs, record depuis 128 ans, embellit le paysage de la ville, aussi la Fête de Noël.
Cité Interdite La Cité Interdite de Beijing (pékin) 故宫 (gùgōng) est le palais impérial au sein de la Cité impériale. De 1420 à 1911, durant 491 ans, il a été la résidence principale de 24 empereurs des Ming et des Qing. C'est aussi l'ensemble architectural d'anciens palais le plus vaste et le mieux conservé du monde. Introduction S'étendant sur plus de 72 hectares, la Cité interdite compte 9 999,5 pièces, protégé par une muraille d'enceinte de 10 mètres de haut, de 960 mètres de long du nord au sud, et de 750 mètres de large de l'est à l'ouest. La plupart des bâtiments ont été construits en bois. L'architecture a divisé la Cité Interdite en deux parties : la cour extérieure et la cour intérieure. Architecte de la Cité interdite Dix ans plus tard, il eut enfin la chance d'être convoqué à Beijing, la capitale, pour diriger les travaux de restauration des trois grandes salles du Palais impérial. Murs et toitures de la Cité Interdite Cependant, il y a quelques exceptions. Toiture des bâtiments
Nouvel an chinois Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Danse du lion à New York en 2008. Défilé de filles à Paris en 2009. Fourgonnette décorée à Paris en 2009. Défilé de jeunes hommes et femmes à Paris en 2009. Le Nouvel an chinois, Nouvel an du calendrier chinois ou nouvel an lunaire (sinogrammes traditionnels : 農曆新年 ; sinogrammes simplifiés : 农历新年 ; hanyu pinyin : nónglì xīnnián) ou « passage de l’année » (traditionnels : 過年 ; simplifiés : 过年 ; pinyin : guònián) est le premier jour du premier mois du calendrier chinois. Le calendrier chinois étant un calendrier luni-solaire, la date du Nouvel An chinois dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 20 février. Pratique et appellation[modifier | modifier le code] Il est observé individuellement partout dans le monde par les membres de la diaspora chinoise, et parfois également par les Japonais (vieux premier mois 旧正月), les Miao, les Mongols, les Tibétains, les Népalais et les Bhoutanais.
Cité Interdite Construction L'emplacement faisait partie de la cité impériale mongole Khanbalik depuis la dynastie Yuan. Quand la dynastie Ming lui succéda, Hongwu le premier empereur transféra la capitale à Nankin, en 1369, et ordonna que le palais mongol soit rasé. Son fils Zhu Di, nommé Prince de Yan, s'établi à Pékin. Un palais princier fut construit dans cette ville. En 1402, Zhu Di renversa son neveu Jianwen et devint empereur sous le nom de Yongle. La capitale retourna à Pékin. La construction de la Cité Interdite, qui débuta en 1406, durera 14 années. Dynastie Ming et Qing De son inauguration en 1420 à 1644, quand elle fut envahie par Li Zicheng qui menait la révolte paysanne, la Cité fut le siège de la dynastie Ming. Après avoir été la résidence de vingt-quatre empereurs - quatorze de la dynastie Ming et dix de la dynastie Qing - la Cité Interdite cessa d'être le centre politique de la Chine en 1912 après l'abdication de Puyi, le dernier empereur de Chine.
La cité interdite de Pékin (Beijing) - Chine Notre activité suggérée : Excursion privée à la place Tian'anmen, à la Cité interdite et au Temple du Paradis Au XVIème siècle, la cité interdite était le plus grand palais du monde. Depuis cette forteresse, l'empereur, le Fils du Ciel, gouvernait 120 millions de personnes. Lien sacré entre le peuple et Dieu, il avait un pouvoir infini. La cité se voulait tournée vers le vaste territoire qu'elle gouvernait, mais ses murailles l'isolaient de la réalité. Sa conception reflète les dogmes de la pensée confucéenne, qui a servi de modèle à la Chine depuis l'époque de la dynastie des Han (2nd siècle avant JC). La cité interdite possède trois secteurs d'activité. la grande cour entre la porte du méridien (Wumen) et la porte de l'harmonie suprême (Taihemen). La cité interdite a été construite selon les règles du fengshui (géomancie). Elle compte quelques 9000 pièces, et les murs d'enceinte entourent la cité sur 900 mètres de longueur et 700 mètres de largeur. Informations pratiques
La Cité Interdite à Beijing, Pékin La Cité Interdite (紫禁城 Zǐjìn chéng), fut la résidence de la famille impériale pendant les deux dernières dynasties Ming et Qing. Son nom vient du fait que l'entrée était strictement interdite à tout étranger au palais et que son organisation ressemblait à une ville en "miniature". L'ensemble architectural est impressionnant mais la grande majorité des objets précieux comme les peintures et les porcelaines ont été emportés à Taiwan par Tchang Kai-chek (Jiǎng Jièshí en mandarin) et sont exposés au musée de Taipei (Táibĕi en mandarin). La Cité Interdite est située au nord du centre ville de Beijing. La Cité Interdite est longue de 960m et large de 750m. La Cité Interdite est aussi appelée « Ancien Palais » (故宫Gùgōng) mais ce terme désigne plus exactement la partie centrale de la Cité Interdite sans la partie comprise entre la Porte de la Paix Céleste (Tiān'ānmén) et la Porte du Midi (Wǔmén). Histoire de la Cité Interdite Visite de la Cité Interdite Visite de la Cité Interdite par l'entrée sud