La théorie des opérations énonciatives / Antoine Culioli | controappuntoblog.org La théorie des opérations énonciatives / Antoine Culioli La Théorie des opérations énonciatives / Antoine Culioli. Journée d’études organisée conjointement par le Cercle d’Étudiant Pour l’Étude du Langage (CEPEL) et l’UFR d’Études du monde anglophone de l’Université Toulouse II-Le Mirail, 17 avril 2000. Ouverture et présentation assurée par une étudiante et par la présidente du CEPEL ; modération par M. Antoine Culioli explique la manière dont il appréhende et manie certains concepts qu’il utilise dans ses recherches théoriques sur la communication, notamment au regard de certains courants linguistiques (référentialisme, représentationnalisme…). Théorie des opérations énonciatives : définitions, terminologie, explications Rédacteurs Traduction anglaise Ronald Flintham, Maître de Conférences à l’Université Paris 7Hélène Chuquet, Professeur à l’Université de Poitiers
List of constructed languages This list of notable constructed languages is in alphabetical order, and divided into auxiliary, engineered, and artistic (including fictional) languages, and their respective subgenres. Auxiliary languages[edit] International auxiliary languages are languages constructed to provide communication among all human beings, or a significant portion, without necessarily replacing native languages. Controlled languages[edit] Controlled languages are natural languages that have in some way been altered to make them simpler, easier to use, or more acceptable in certain circumstances, such as when a person does not speak the original language well. Visual languages[edit] Visual languages use symbols or movements in place of the spoken word. Engineered languages[edit] Human-usable[edit] Knowledge representation[edit] Artistic/fictional languages[edit] Languages used in fiction[edit] J. (see also Languages constructed by J. Other literature[edit] Comic books[edit] Film and television[edit] Music[edit] Furbish
Capsule outil: La voix et l'appareil de phonation Capsule outil: La voix et l'appareil de phonation Parler sa langue maternelle se fait tellement inconsciemment et sans effort que l'on ne se rend pas compte, outre les processus cognitifs hypercomplexes qui sous-tendent la parole, comment le simple fait d'articuler correctement des mots découle d'une mécanique d'une grande précision. L'appareil vocal humain peut être comparé à la fois à un instrument de musique à vent et à corde. Il comprend une source de vent, les poumons; une structure qui vibre, les cordes vocales dans le larynx; et une série de caisses de résonance que forme le pharynx, la bouche et les fosses nasales. D'un blanc nacré, les cordes vocales sont attachées horizontalement entre le cartilage thyroïde (la " pomme d'Adam " chez l'homme) situé à l'avant et les cartilages aryténoïdes situés à l'arrière. Sous la pression de l'air expiré, les cordes vocales s'écartent, puis se referment aussitôt, entraînant à nouveau une hausse de la pression sous la glotte.
Langage et évolution : nouvelles hypothèses En croisant de nombreuses données issues de différentes disciplines, il est désormais possible d'élaborer des scénarios sur l'émergence du langage, les raisons de son apparition, et même d'imaginer quelle langue ont parlée les premiers hommes. La question de l'origine du langage, fort prisée des philosophes des Lumières, devint centrale pour nombre de savants du xixe siècle : les théories se mirent à pulluler et chacun y allait de son hypothèse plus ou moins fantaisiste... Le philologue Friedrich Max Müller s'était d'ailleurs plu à classer toutes ces théories en leur donnant des noms péjoratifs (1) : ainsi la théorie « bow-bow », selon laquelle les onomatopées étaient à l'origine du langage ; ou encore la théorie « pooh-pooh », qui supposait que le langage dérivait des cris d'alerte chez les animaux. Il a fallu attendre la fin du xxe siècle pour que ce sujet sorte du ghetto dans lequel elle avait été plongée pendant un siècle. Quand le langage est-il apparu ? L'hypothèse de M. NOTES 1 P.
La variation La variation, c'est-à-dire le fait qu'une même unité apparaisse selon des formes différentes, est un phénomène qui existe dans toutes les langues. Mais ce phénomène est peut-être encore plus net dans le domaine des créoles, langues orales, qui en outre ne sont encore que très peu instrumentalisées, standardisées, dotées de manuels d'enseignement, qui, nécessairement, finissent par engendrer une certaine "unité" linguistique, en constituant pour ceux qui s'y réfèrent, une certaine "pression normative". Aussi, lorsque l'on prend en considération un créole, on peut très vite constater qu'un même "mot" sera prononcé différemment par des locuteurs différents, parfois résidant seulement dans la commune voisine ; qu'une forme grammaticale bien attestée ici, peut apparaître sous la forme d'une variante, là ; qu'un élément de lexique chargé de désigner un objet ou un concept, devra être différent ailleurs pour désigner à peu près le même objet ou le même concet.
Fonctionnalisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme fonctionnalisme désigne des théories différentes selon les disciplines. Le fonctionnalisme en anthropologie[modifier | modifier le code] Il a été initié par Bronislaw Malinowski et Radcliffe-Brown. Ce courant s'oppose à l'évolutionnisme et au diffusionnisme. Malinowski veut ce courant de pensée au confluent de trois disciplines, pour une étude de l'homme tridimensionnelle et totale. Appliqué à la sociologie politique, sa pertinence est défendue par Almond et Powell qui ont démontré à l'aide de moyens d'investigations scientifiques que pour être pleinement légitimé, c'est-à-dire véritablement fonctionnel, le gouvernement doit rester structurellement en phase avec la culture politique de la société qu'il régit. Les prémisses du fonctionnalisme apparaissent avec Émile Durkheim et Herbert Spencer. Edward Evan Evans-Pritchard (1902-1973) succède à A.R. Le fonctionnalisme en sociologie[modifier | modifier le code]
Commutation (linguistique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode dite de commutation a été inventée par les phonologues. C'est l'un des outils fondamental du fonctionnalisme d'André Martinet. La commutation consiste à commuter un son avec un autre pour savoir si ce son permet de distinguer des unités significatives, c'est-à-dire des paires minimales (comme roi et foi). Si les deux sons se révèlent des unités non distinctives d'unités significatives, alors ce ne sont pas des phonèmes, mais seulement des variantes (allophones) d'un même phonème. Parmi elles, on distingue les variantes contextuelles et les variantes libres. Un exemple est fourni par le phonème /r/ en français peut servir de bon exemple. La phonologie n'ayant pas besoin de viser à une aussi grande précision que la phonétique, elle n'utilise pas autant de symboles que cette dernière et suit souvent des notations qui sont propres à l'étude de chaque langue. /waɪˈt͡ʃuːz/ why choose? /waɪtˈʃuːz/ white shoes Portail de la linguistique
Anglais basic Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Basic. L'anglais basic (pour British American Scientific International Commercial) est un sous-ensemble très restreint (850 mots) de la langue anglaise qui forme en soi une nouvelle langue. Contexte d'émergence et diffusion du Basic english[modifier | modifier le code] L'un des objectifs premiers de ce projet était de donner une langue aisément et rapidement assimilable par les peuples issus de la colonisation. « Cet anglais élémentaire a été mis au point en 1940 à destination des populations nombreuses, souvent issues d'anciennes colonies, de faible niveau intellectuel, parfois illettrées, qui allaient être appelées à servir dans les armées américaine et britannique pendant la Seconde guerre mondiale. Cette langue est le fruit du travail, entamé en 1934[5], d'Ogden assisté par Richards et Graham. Cependant, l'émergence du Basic English a également été rapidement décriée. Les bases du basic sont : ↑ B.
Toki pona Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les parties du corps en toki pona. La carte de l'Europe en toki pona. Le toki pona est une langue construite inventée par la linguiste et traductrice canadienne Sonja Elen Kisa et publiée pour la première fois en 2001 sur Internet. Le mot toki pona signifie « langue bonne, langue du bien ». La langue est basée sur la philosophie du Tao et se caractérise par la simplicité extrême de sa phonologie[1], de sa grammaire et surtout de son vocabulaire, ce qui la rend facile à apprendre. Le toki pona possède 14 phonèmes et son vocabulaire ne comporte que 123 mots (et pas un de plus : le dictionnaire officiel est intentionnellement figé). Tout s'écrit en minuscule (même après un point), sauf les mots « non officiels » qui servent à nommer. Le toki pona compte peu de locuteurs. Bien que basique, le toki pona fonctionne. Noms[modifier | modifier le code] Le toki pona ayant un vocabulaire particulièrement restreint, il recourt souvent aux mots composés.
Langue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition : langue et langage[modifier | modifier le code] Langue et dialecte[modifier | modifier le code] Il n'existe pas de critère strictement linguistique permettant de distinguer une langue d'un dialecte. Langue naturelle et langue construite[modifier | modifier le code] On appelle langue naturelle, une langue qui s'est formée au cours du temps par la pratique de ses locuteurs, à partir d'états de langues antérieurs et/ou d'emprunts à d'autres langues. Langue vivante et langue morte[modifier | modifier le code] On appelle langue vivante une langue qui est utilisée oralement par des personnes dont elle est la langue maternelle, ou par une communauté suffisamment nombreuse — et de façon suffisamment intensive — pour permettre une évolution spontanée de la langue sur le plan grammaire et bien d'autres cas. Il est possible de « ressusciter » des langues mortes, comme le montre l'exemple de l'hébreu. Autre[modifier | modifier le code]
SIL Linguistics Linguistics illuminates patterns and variety in the structure and use of language, providing a foundation for language development work of all kinds. Understanding Language Linguistics - the study of language in all its aspects - has been a central activity of SIL since its beginning. SIL workers living in a language community for any extended period of time generally learn that language, aided by the tools of linguistics. Working Together Working in partnership with language communities, SIL linguists have been and continue to be involved in a great variety of linguistics projects. Scholarship SIL linguists serve host governments and institutions as well as the worldwide academic community by publishing the results of linguistic research. Sharing In addition to other academic publications, SIL produces the Ethnologue, a “catalog” of information about languages of the world, building on over 75 years of research.
Logarithmical: Zipf’s Law and the mathematics of punctuation Let’s try an experiment. If we start with some large body of text — post-war American novels, say, or twentieth-century British newspapers — and count all the occurrences of all the words in those texts, we can put together a fairly accurate list of the most popular words in English. The word “the” would be at the top, followed by “of” and then “and”. With this list of word counts in hand, you could turn to any other similar body of work — British novels or American newspapers, for example — and have a good idea of how often you’d expect to find each of the words on your list. Simple enough. Next, imagine that you throw away those word counts. In the English language, the probability of encountering the rth most common word is given roughly by P(r) = 0.1/r for r up to 1000 or so.[2] Word counts (blue) in the Brown Corpus, ordered from most to least common. Not bad, I think. Word counts (blue) in the Brown Corpus, ordered from most to least common. Better! Well then. Now to the red line.