background preloader

Dette odieuse

Dette odieuse
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dette odieuse est une jurisprudence[1] avancée par certains auteurs en matière de droit international relative à une dette contractée par un régime, et qui sert à financer des actions contre l'intérêt des citoyens de l'État et dont les créanciers avaient connaissance. On parle aussi de « dette odieuse » lorsqu'elle a été contractée par une dictature et qu'elle doit être remboursée lors de la transition démocratique. Dans cette optique, ces dettes sont considérées comme des dettes du régime qui les a contractées, et non pas de l'État en entier. Historique[modifier | modifier le code] Le Mexique[modifier | modifier le code] Cuba[modifier | modifier le code] Le second exemple est fourni par les États-Unis, qui ont refusé que Cuba paye les dettes contractée par le régime colonial espagnol. Le Costa Rica[modifier | modifier le code] L'Irak[modifier | modifier le code] Définition de la dette odieuse[modifier | modifier le code]

Simulation en temps réel des intérêts de la dette Voilà l'estimation de ce que nous, Français, continuons de payer depuis 1973, en euros constants, au titre des seuls intérêts* sur la dette publique, pour avoir abandonné notre pouvoir de création monétaire à des acteurs privés (... oui, les 4 premiers chiffres représentent bien des milliards d'euros...) A l'heure du " pouvoir d'achat chancelant " et des " caisses vides ", ce forfait ne peut rester sans suite ! * la dette proprement dite, c'est-à-dire le capital du, était de 1250 milliards d'euros à fin 2007. Intérêts payés depuis le 1 er janvier 2007, par habitant euros Mais au delà de ces chiffres il est intéressant de comprendre le "pourquoi" de cette dette et de ces intérêts...

Debtocracy et Catastroïka : deux documentaires choc sur la crise des dettes souveraines en Grèce et dans le monde Quelles sont les véritables racines de la crise de la dette grecque ? Cette dernière est-elle réellement "grecque" ? Quel est le lien entre cette crise et celles qui frappent nombre d’autres pays européens ? Est-il possible de briser la spirale infernale de la spéculation ? Autant de questions abordées et développées dans deux documentaires de référence. Mémoire des luttes propose, avec l’aimable autorisation des auteurs, l’intégralité des deux documentaires en "streaming" dans des versions en sous-titrage français. Catastroïka sera présenté lors de la première édition du Festival international de cinéma de Porto Alegre (Democracine, 13-16 juin 2012) dont Mémoire des luttes est partenaire. Pour devenir co-producteur de ce projet : Catastroïka : (Cliquer sur le bouton CC en haut du player pour sélectionner la langue des sous-titres)

6 idées reçues sur la dette publique Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique cherche à explorer, développer et expliquer les enjeux révélés par la crise actuelle. Avec une certitude : il existe des solutions progressistes à la crise de la dette, il faut lutter contre la résignation, les imposer dans le débat public (disponible en 4 pages A4 PDF). Il nous faut dans un premier temps dénoncer la supercherie du discours dominant sur la dette, qui voudrait nous faire croire qu’il n’y a pas d’alternative à promettre «le sang et les larmes» aux peuples… pour mieux assurer les profits des banques. «La dette est la conséquence d’une explosion des dépenses publiques» «Nous vivons au-dessus de nos moyens» «Il faut rassurer les marchés financiers» «Il faut imposer la règle d’or, il faut imposer l’austérité…» Vraiment ? Ce document a vocation à prendre à contre-pied ces idées reçues, rabachées à longueur de temps dans les radios et télévisions. C’est faux. La France serait sur le déclin. C’est faux !

Les dettes odieuses Je vais vous parler de l’arme de demain … Il m’arrive encore de "tomber" sur les journaux télévisés en zappant. J’essaie pourtant d’éviter, c’est pas bon pour mon cœur, m’a dit le docteur ;o) Et voilà donc tous ces pseudos journalistes qui continuent de répandre la bonne parole des doctes politiques libéraux du Dogme. Je n’en peux plus de cette foi aveugle :o(( Je l’ai déjà évoqué brièvement mais je ne suis pas sûr que tout le monde soit aller regarder les tableaux que j’avais fourni en lien. Sans les intérêts, c’est à dire si la France avait pu emprunter (impossible de 1973, je rappelle) à sa banque centrale à un taux 0%, par création monétaire, il n’y aurait PAS DE DETTE ! Mais la France n’est pas encore attaquée par Moody’s, Fitch et Standard & Poor’s, me direz-vous ! Il ne s’agit donc pas de mauvaise gestion de l’état grec (même si on peut toujours s’améliorer, en particulier en prélevant plus sur les revenus du capital) mais bien d’un racket financier. Que faire ? Like this:

Le site de la dette publique ... Cette page "En savoir plus" est en construction ...donc un peu "en vrac" - Site "Dette et monnaie" - Site "faux monnayeurs" - Site "Chomage et monnaie" - Site du Mouvement Sociétal - Site de l'ADED L'Association pour les Droits Economiques et Démocratiques - Site de Jean Jégu - Vidéo sous - titrée " la monnaie-dette" money as debt, de Paul Grignon - Site "libérons la monnaie" - Livre d'A-J Holbecq et Philippe Derudder La dette publique, une affaire rentable Ci-dessous, l'évolution en euros constants de la dette publique (courbe rouge) et ce qu'elle serait devenue (courbe verte) dans un systeme monétaire où l'état, à partir de 1980 (en partant d'une dette de 229 milliards d'euros fin 1979, déja litigieuse), aurait récupéré son droit de création monétaire. Traité de Maastricht - Article 104

L'agriculture est plombée par le prix du pétrole, voici des solutions « Une agriculture qui dépend du pétrole est une agriculture qui va dans le mur », prédisait il y a deux ans Olivier De Schutter, rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à l’alimentation. Un rapport publié ce jeudi lui donne entièrement raison. L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie) y tire le signal d’alarme en montrant que l’agriculture française consomme toujours plus d’énergie, que ce soit sous la forme d’électricité ou de fuel, ou encore sous la forme d’engrais et de nourriture importés. Et – puisque le prix de l’énergie ne cesse lui aussi de grimper – les budgets des agriculteurs s’en ressentent. « Le montant total des charges liées à l’énergie a augmenté de 130% entre 1990 et 2009 » s’inquiète l’Agence, ce graphique à l’appui : Pire, la hausse à venir du prix de l’énergie devrait aggraver toujours plus la dépendance des agriculteurs. N’en jetez plus ! 1) La prairie plutôt que le maïs 2) Le trèfle plutôt que le soja 3) La fin de l’engrais

Des municipalités livrent bataille contre les banques et les marchés financiers - Emprunts toxiques Villes et collectivités se sont vu refourguer des emprunts toxiques, aggravant leur endettement. Pour éviter de se voir dicter leurs politiques locales par la finance, plusieurs municipalités ont contre-attaqué : contrat rompu avec les agences de notation, banques assignées en justice… À Aubagne, à Saint-Étienne ou en Seine-Saint-Denis, la révolte a commencé. Le chantier d’un futur tramway menacé par les marchés financiers. Une politique municipale de transports publics contestée par les banques. C’est ce qui a failli arriver à la ville d’Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône. La municipalité communiste a décidé, en mai 2009, d’instaurer la gratuité totale des transports en commun. De quoi faire grincer des dents l’opposition municipale qui fustige « une dette lourde de 2 600 euros par habitant. Rompre avec les agences de notation Pour son budget 2012, Aubagne affiche 18 millions d’euros d’investissement [1]. Sortir les biens communs locaux des marchés Attaquer les banques en justice

Semences : Kokopelli vent debout contre la décision de la CJUE L'association Kokopelli fait éclater sa colère suite à la décision de la Cour de justice de l'UE du 12 juillet dernier. La juridiction européenne, allant à l'encontre des conclusions de l'avocat général, a en effet validé la législation européenne actuelle sur la commercialisation des semences. "Ce changement de cap absolu ne manque pas de nous surprendre et de nous interroger", s'indigne l'association. "Toute puissance du paradigme productiviste" L'expression "productivité agricole accrue", "utilisée 15 fois dans la décision de la Cour", consacre selon l'association "la toute puissance du paradigme productiviste". "De plus, cette biodiversité, qui a nourri les populations européennes pendant les siècles passés, est l'objet de la plus grande suspicion. "Agriculture chimique mortifère" "Il n'existe pas de catalogue officiel obligatoire pour les clous et les boulons.

Related: